Axelou

Ouaaah je m'attendais pas à voir des réactions si excessives pour une si petite video. Perso, j'ai été touché plus par nostalgie qu'autre chose, mais touché quand même. Fergie-Ronaldo, symbole d'une époque qui semble si lointaine... Pas besoin de les voir se caliner pendant 2 heures. Il y avait un titre de champion d'Europe à célébrer dans toutes les têtes, et peut-être encore plus pour Ronaldo qui est passé par toutes les couleurs et tout les états d'âme, ce soir là. L'accolade est brève, mais franche, pas besoin de plus.

Qui pour une petite session BF4 sur play ?

Mais qu'ils profitent, c'est aussi ce qui fait le charme du sport. C'est pas toujours le plus gros ou le plus beau qui gagne. Et 2016 aura été une année vraiment particulière qui ne plaira pas à tout le monde. Entre Leicester champion d'Angleterre, le Real insipide qui va braquer la C1 avec un parcours d'Europa League et le Portugal champion d'Europe en ayant eu tout les bienfaits de la nouvelle formule (qualifiés en tant que 3e dans la partie de tableau la plus ouverte). C'est vrai qu'on est clairement pas sur des équipes souveraines.

On peut voir ça comme une autre facette que le foot a à nous offrir. Ces dernières années, c'était surtout les collectifs très rodés, vraiment les équipes les plus joueuses et mieux organisées qui gagnaient tout, ce n'est pas une critique, hein. L'Espagne et l'Allemagne avaient ou ont le potentiel de monter ces équipes, et on a pu le voir avec l'Espagne de 2008 à 2012 qui a raflé trois titres d'affilée. Ce titre, c'est ironique de le dire, mais c'est un titre d'ouvriers quelque part ^^. C'est les mecs qui se sont pointés au chantier avec leurs petits outils de PME, et qui ont fait le mur et la terrasse en serrant les dents. Pas très bien sapés, pas très bien organisés, mais le taff est fait. Alors qu'à titre de comparaison, l'Espagne, c'était un peu plus la "haute société". C'était les élégants, ceux que tout le monde admirait, ceux sur qui il fallait prendre exemple, ceux qui disait de manière un peu injuste "c'est ça le football". Mais il faut aussi savoir jouer avec ses armes.

Après, c'est un peu la cruauté du foot, mais on a souvent tendance à oublier que les adversaires du Portugal n'ont jamais été vraiment meilleurs. L'Islande, c'était l'équipe coup de coeur de tout le monde, mais le Portugal avait assez largement dominé malgré son déchet technique. Autriche, un match à oublier, mais là encore, qui va affirmer que les autrichiens étaient meilleurs ? La Hongrie, un match débridé par l'enjeu des derniers points de la poule. Mais hormis la France qui a dominé le Portugal; la Croatie, la Pologne et le Pays de Galles, aucune des trois équipes n'a réellement malmené ce Portugal médiocre. Quant à l'arbitrage, hormis la main d'Eder sifflé contre Koscielny qui aurait pu être un véritable scandale si le CF était rentré, il n'y a rien eu de scandaleux. Peut-être quelques contacts mal gérés, mais ça c'est dans tout les matches de foot. Ca n'existe pas l'arbitrage 100%. C'est surtout le fait que Koscielny prenne jaune sur la main d'Eder qui faisait vraiment rager, mais le but ne résulte pas du CF. Il est sur une action un peu après dans le match. Enfin, comme à chaque fois, faut toujours qu'il y ait des petites mentalités pour pleurer sur l'arbitrage, rien de nouveau donc .

Ayé ! Euro 2016 terminé, je suis déchiré parce que cette finale, c'était mes deux amours. Pas la plus belle, ni les équipes les plus séduisantes, mais MES deux équipes. Bravo au Portugal, ça fait chaud au coeur de voir l'équipe soulever le premier titre de son histoire, une petite anomalie qui est désormais corrigée, fier de nos joueurs, même si c'est vrai que l'équipe pique les yeux à regarder. Et fier de nos Bleus aussi, malgré ce résultat final. Cet Euro 2016, c'était l'Euro des miracles, des fins de séries, des malédictions vaincues. - L'Espagne qui était devenue une bête noire de l'Italie, victoire des Italiens. - L'Allemagne qui n'avait jamais éliminé l'Italie en compétition, victoire des Allemands. - La France qui n'a plus battu l'Allemagne en compétition depuis 58, victoire des Bleus. - Le Portugal, face à sa bête noire qu'est la France, les Portugais n'ont jamais battu les l'EdF depuis un match amical en 1975, victoire en finale EN France. C'est cocasse. Bon, le match en lui-même, un peu à l'image de cet Euro où on reste un peu sur notre faim, on a l'impression qu'ils en gardaient sous le pied, qu'ils avaient du mal à lâcher les chevaux. On peut mettre ça sur le compte de l'enjeu, mais c'était comme ça tout au long de la compet pour le Portugal. Un jeu très minimaliste et avec de la réussite. Le troll ultime avec cette pipe d'Eder qui offre le titre au pays. Eder quoi... Au milieu des CR7, Nani, Griezmann, Pogba etc... le héros de la finale, c'est Eder ! Et à quelques centimètres près, c'était Gignac qui donnait l'Euro aux Bleus avec ce poteau à la 92e. La cour des miracles quoi. Et j'ai quand même un plaisir particulier pour Ronaldo. Si le joueur ménerve et m'agace ces dernières années, son niveau de jeu qui faiblit dangereusement, ces humeurs de starlettes etc... Ca reste quand même un p***** de leader en sélection. Et moi qui suis le Portugal depuis toujours, et donc Ronaldo depuis ses débuts, j'étais comme un fou à le voir soulever le titre, moi qui ai pleuré avec lui et toute ma famille en 2004. Parce que oui, si Ronaldo n'a pas laissé une grande trace dans cet Euro, le fait que ce soit "son" Portugal qui remporte le premier titre de son histoire n'est pas anodin. On a souvent tendance à l'oublier, mais le Portugal n'a jamais eu de meilleures performances en compétition internationale que sous CR7. Le Portugal avant Ronaldo, c'était seulement trois participations en Coupe du Monde (1966, 1986, 2002), le total est aujourd'hui doublé alors que Ronaldo a honoré sa première sélection en 2003. A l'Euro, il n'y a jamais eu mieux que des demi-finale avant la finale de 2004 où Ronaldo s'était révélé aux yeux du monde, lui et Rooney, les nouveaux prodiges du football qui ont cassé la baraque dans cet Euro 2004. L'héritage de Ronaldo au Portugal est clairement moins lourd que Messi avec l'Argentine, ou Neymar avec le Bresil, pour ne citer qu'eux. Le Portugal ayant tout à écrire, mais le talent, la carrière et la personnalité du joueur se devaient d'être récompensé un jour. On a souvent parlé d'Eusebio comme légende ultime du Portugal. C'est souvent oublier que Eusebio en sélection n'a eu qu'un seul et unique fait d'arme. Ses 9 buts au Mondial 66 et sans titre au bout, "juste" une troisième place. Et plus rien, ni en Coupe du Monde, ni à l'Euro. Idem pour Figo et sa génération dorée, les Rui Costa, Fernando Couto, Joao Pinto, ou encore Pauleta. Pas de participation au Mondial 98, une élimination sans gloire au premier tour en 2002. Le point d'orgue ayant été la demi-finale de 2000. Depuis 2004, et Ronaldo qui s'est imposé PENDANT l'Euro du haut de ses 19 ans, le Portugal n'a plus quitté les grandes compétitions, une régularité de 12 ans qui constitue tout simplement une première, et donc un fait unique dans l'histoire de l'équipe du Portugal. Si il s'est fait les griffes avec Figo, Rui Costa ou Pauleta à ses débuts, il s'est vite retrouvé leader de cette sélection, puisque Rui Costa quitte la sélection après l'Euro 2004, Figo et Pauleta arrêteront après le Mondial 2006. Ronaldo a 21 ans, et doit déjà porter son équipe. Il se partage le brassard avec les quelques tauliers que sont Carvalho ou Simao, mais il devient définitivement capitaine en 2007. Le Portugal ne faillira jamais. Euro 2008, Mondial 2010, Euro 2012, Mondial 2014, Euro 2016, Ronaldo tire son équipe. A défaut d'être leader au Real qui en a probablement moins besoin, cette équipe du Portugal s'est toujours reposée (parfois un peu trop) sur Ronaldo. Les portugais ont eu de belles équipes dans les années 90 ou au début des années 2000, de bons gars jamais gagnants. Cette fois, c'est l'inverse, mais il était grand temps de gagner quelque chose. Ronaldo a souvent été "seul" dans cette équipe. Si il a pu compter sur quelques talents comme Nani, par exemple, il a souvent du composer avec l'irrégularité chronique de ses coéquipiers, un mal qui semble affreusement répandu chez les joueurs portugais, sauf Ronaldo qui travaille son corps mais aussi son esprit avec acharnement depuis le premier jour de sa carrière, et peut-être encore plus depuis cette finale perdue de 2004. Bravo Cricri !!! Oui, le Portugal a un déficit de talent quand on compare avec les autres grandes nations, mais cet Euro a été une parenthèse dorée. Le Portugal a souvent été malheureux, même avec ses "belles" équipes. Le foot est parfois étrange. Car c'est ce Portugal qui va soulever le titre. Un peu à la manière de Chelsea en 2012. 2005, 2006 avec Mourinho, 2008, ou bien encore 2010 avec Ancelotti, c'est finalement le Chelsea de Di Matteo qui va soulever la première Ligue des Champions de son histoire. Sans laisser un gros souvenir en terme de jeu, c'était surtout une aventure humaine qui a fait la part belle aux combattants et aux besogneux. Cet Euro 2016 a été de cette trempe là. Donc plus frustrant pour ceux qui veulent voir du football champagne, je le comprends parfaitement. Mais certaines équipes n'ont pas le luxe d'avoir des joueurs, des coach ou une identité aussi forte qu'ont pu avoir l'Espagne et sa domination, ou encore l'Allemagne plus récemment, qui doit ses résultats à un travail de fond énorme à tout les niveaux du foot allemand. Ce sacre portugais est un petit miracle, ça tombe bien, nous aimons les miracles, nous qui sommes pour la plupart catholiques, alors nous ne bouderons pas notre plaisir d'être champions, n'en déplaise à certains journalistes et autres haineux . CAMPEOES !!!

Il dort tranquille, il n'aura pas de zonzon. Quand on pense que le bas peuple, ou du moins les gens normaux prennent des peines de taule pour moins que ça... Ça aide d'être une célébrité bankable... Messi et Neymar, les deux ont des emmerdes avec la justice, et pour les deux, leurs pères sont dans les magouilles, c'est vraiment n'importe quoi. Mais bon, ils ne vivent pas dans le même monde.

@Rooney_24, ce que je veux dire, c'est que Mourinho n'a jamais été connu pour promouvoir la formation des clubs qu'il a entrainé. Ceci dit, peut-être que la qualité de notre formation est à remettre en cause également, mais l'historique de Mourinho va plutôt dans mon sens. Les jeunes qu'il prend, ils sont dénichés ailleurs, je pense à Varane en dernier exemple. Bailly en DC, avec toutes les options qu'on a tenté ces derniers mois depuis les départs de Rio / Vida, c'est que aucun de nos jeunes n'a convaincu, j'imagine. On recrute Ibra ensuite. Joueu hyper côté, certes, mais qui va certainement bouffer une place monstre. Je suis pas convaincu de l'effet Mourinho pour ce qui est d'épanouir le club. Sur sa capacité à gagner, aucun doute, c'est clairement un des meilleurs. J'espère quand même que son départ se fera plus en douceur qu'à Chelsea ou au Real.

Je pense surtout que maintenant qu'il est chez nous, on va justifier tout ce qu'il va pouvoir dire ou faire, même les conneries, c'est un peu ça qui me fait peur ^^. Après, on n'a pas encore l'occasion de voir son MU à l'oeuvre, mais à déclarations fracassantes, il va falloir que ça suive sur le terrain. C'est pour ça qu'il a été embauché. Il fera au mieux 3-4 ans avant de chercher un nouveau challenge, c'est dans l'air du temps. Et comme pour VG, il lui faut des résultats. On engage pas Mourinho pour faire grimper les jeunes de l'Academy, ni appuyer l'identité "made in MU", c'est fini tout ça. On a pris un gros manager parce qu'on veut des gros résultats, la manière, on s'en tape. Je suis à fond derrière lui malgré tout, mais je continue à trouver ça triste qu'on se perde de la sorte. Le départ de Giggs n'est que la cerise sur le "gâteau", ce qui n'est peut-être pas plus mal. Peut-être que la solution pour remonter est de couper littéralement tout ce qu'il reste de Ferguson, l'avenir nous le dira. Mais pour le moment, je suis pas super emballé.

Vu notre piètre capacité à améliorer le secteur défensif, je pense qu'on en a encore pour un an ou deux avec l'Argentin. Pas que ça m'enchante, mais je préfère qu'il soit au mieux de sa forme physique et mentale à son retour à Manchester.

C'est vrai que tu soulignes un point qui peut avoir son importance dans la décision de Messi. Il a toujours eu une relation ambigu avec son peuple. On lui a souvent reproché d'être trop "européen" à la différence d'un Suarez en Uruguay ou même tout simplement Tevez, qui était le véritable héros national. Il doit être usé, je peux le comprendre. Ceux qui ne l'aiment pas y verront un acte de lacheté, il n'a tout simplement plus la force, et il a l'honnêteté de le reconnaître.

Je pense franchement que les deux n'ont pas à avoir honte de leur parcours en sélection. Les attentes ne sont pas non plus les mêmes. Messi, ça devait être le nouveau héros après Maradona, il a le poids d'une équipe double championne du monde et l'héritage de celui qui est considéré par beaucoup comme le plus grand joueur de ce sport. Ronaldo a moins de finale à son actif, mais on précisera aussi que jamais le Portugal n'a été autant présent dans les compétitions. Avant la première cap de Ronaldo en 2003, le Portugal avait seulement 3 participations en Coupe du Monde, par exemple. Depuis, ils ont fait le mondial 2006, 2010 et 2014. Une grosse partie de la génération dorée est partie après l'Euro 2004, et Figo en 2006, Ronaldo a très vite cristallisé tout les espoirs d'une nation vice-championne d'Europe et demi-finaliste de Coupe du Monde. Si son jeu avec le Portugal n'est pas différent en club, il a toujours été une valeur sure de la sélection portugaise. Une sélection portugaise qui n'a malheureusement pas grand chose d'autre à proposer que son joueur vedette. En attendant, à l'heure de faire les bilans, la carrière de Ronaldo n'est pas de moins bonne qualité que celle d'un Eusebio (une seule Coupe du Monde où il a flambé, certes, mais disparu ensuite), Figo (très esseulé au Mondial 2002 également), Rui Costa ou d'autres Portugais. C'est dans le sillage de CR7 que le Portugal est une nation présente tout les deux ans dans les compétitions d'été et ce depuis 12 ans, une première dans l'histoire de la sélection. Quant à Messi, c'est un héritage plus lourd, dans un pays où si il ne gagne pas le trophée en étant XXL, ça sera forcément un échec. Je peux comprendre qu'après trois finales perdues en trois ans, il décide de dire stop. Peut-être une annonce à chaud, on verra, mais j'imagine sans mal que ça doit marquer mentalement une telle série. A la fédération de mettre en place la nouvelle génération, avec ou sans Messi, mais c'est l'occasion en tout cas.

A voir dans quel état il va revenir. Déjà qu'il est pas hyper fiable à la base, il a eu une grosse Copa à jouer en titulaire, finale perdue, finale où il a encore montré sa capacité à être un no-brain sans forcément être dans l'urgence. Pas de bon augure. On est quand même avec lui pour qu'il se remette au plus vite.

Messi livre des prestations très aboutie avec l'Argentine. Il est dans un rôle bien différent du Barca ou ses coéquipiers et la mentalité ne sont pas les mêmes. On a pu le voir hier encore. Le seul à créer du danger en phase offensive, c'était lui. De bonnes prises de balles, il a crée des brèches, placés des accélérations, mais à chaque fois pour finir sur une tentative individuelle, là où Iniesta, Suarez ou Neymar arrivent toujours à lire son jeu pour lui proposer une solution. Donc ça reste un match mitigé compte tenu de son statut et des attentes placées en lui. Ce qui doit jouer dans l'annonce de sa retraite. 3 finales en 3 ans, 3 défaites. La formule actuelle de l'Argentine ne marche pas, et il a aussi sa part de responsabilité. Maintenant, je me demande aussi comment l'Argentine peut aller aussi loin en compet avec des joueurs aussi médiocres, ou du moins qui n'ont aucune intelligence avec ce maillot. Les Rojo, Biglia, Di Maria, Higuain... C'est à jeter tout ça. Pas de Tevez, Dybala ou Icardi qui avaient des profils et des saisons très intéréssantes, mais Martino est dans la lignées de ses prédécesseurs, c'est du copinage. Maradona, Sabella, Martino... L'Argentine n'a pas eu un vrai entraîneur depuis trop longtemps, ça doit jouer aussi. Parce que taper le Panama ou la Bolivie, c'est cool. Mais c'est la troisième finale où ils sont dégueulasses, ils n'arrivent pas à créer, à construire. Le match n'est jamais bien négocié quand il s'agit de la finale. Au final, ça restait un match engagé, plaisant, mais un peu cher payé pour se lever à 2h du mat jusqu'à 4h30 avec les TAB. Je passerais mon tour la prochaine fois. Se lever à des heures pareilles pour du sport, c'est vraiment pour les playoff NBA, le Superbowl ou bien du tennis, c'est tout !

Les Argentins premiers finalistes de cette Copa America 2016. En attendant de connaître leur futur adversaire avec le Colombie-Chili de cette nuit, l'Albiceleste est venu tranquillement à bout d'une team USA tout simplement pas assez forte, à tout les niveaux. Dès la 3e minute, les Argentins dégainent d'entrée avec un but de Lavezzi sur une passe lobée de Messi XXL. C'est d'ailleurs de lui que sont venues toutes les impulsions argentines. Sur un rush, il gagne un CF qu'il transforme superbement pour le 2-0 et devenir le meilleur buteur de l'histoire de la sélection Argentine. Un maître coup franc, comme il en met beaucoup ces dernières années. CR7 doit se ronger les ongles, lui qui n'est plus bon qu'à les tirer dans le mur... Higuain marquera les deux derniers buts de la soirée. Un premier tout en hargne, et le second sur une assist de Messi. Point noir quand même, l'Argentine a perdu trois joueurs en moins de 10 minutes. Augusto, Rojo et Lavezzi qui s'est carrément fracturé le coude sur une chute aussi spectaculaire qu'inutile. Triste pour lui, il ne sera pas de la partie en finale. A voir pour Augusto et Rojo. 4-0, les Argentins n'ont plus le droit de se louper. Ils pratiquent un très bon football, les joueurs sont bien dans le rythme, il leur faut ce titre. C'est ça où bien une étiquette de looser qui leur collera un peu plus à la peau.

3e titre pour LeBron, nul doute que celui-ci doit avoir une saveur toute particulière. Pour lui, pour les fans, pour la franchise, mais aussi la ville de Cleveland qui attendait un titre en sport depuis plus de 50 ans !

La saison de tout les records pour les Warriors, en particulier le record de victoire en saison, record pris aux Bulls de Jordan, sauf que eux ont été champion au terme de cette saison... Alors que la bande à Curry repart à poil, dépossédée de son titre à domicile en plus. Quelle frustration ça doit être pour eux.

La fin de match était étouffante à 89-89, personne n'arrivait à marquer jusqu'au panier à 3pts d'Irving à quelques secondes du terme. LeBron qui tue le match avec un ultime lancer franc. Pfffffiou !

A 10 seconde du titre pour LeBron ! Quel match !

C'est toujours moins immonde que le buisness du combat dégueulasse entre Pacquiao et Mayweather ^^.

Je t'ai dit une connerie, mon petit Jiminy. Le match commence à 2h, et non pas 3h.

Il faut aussi relativiser la belle conférence de Sony ou -comme l'an passé- il y a peu d'annonces qui vont arriver à court terme. Je ne serais pas surpris de revoir certains de ces jeux à l'E3 2017. Mais oui, j'ai beaucoup aimé également.

Dans la nuit de dimanche à lundi. 03h00

GS s'en tire presque bien avec le score final. Cleveland a mené tout le match, arrivant à créer des écarts de 20 points (le pic à +24 il me semble). Le 5 titulaire a été complètement remanié dans les 3-4 dernières minutes, mais ils ont tenu. L'ultime match se jouera à Oakland, il y a un énorme exploit à jouer pour les Cavs ! Remporter le titre à l'extérieur face à la meilleure équipe de la ligue après avoir été mené 2-0, puis 3-1 dans les finales, ça serait exceptionnel. Difficile de savoir qui je voudrais voir gagner... GS pour récompenser sa saison record, et probablement ce qui se fait de mieux au niveau collectif, ou bien pour les individualités de Cleveland, je pense bien sûr à LeBron James qui pourrait enfin remporter le titre avec SON équipe, vaincre la malédiction. Et aussi Irving, auteur d'une très belle saison. Ca va être la folie.