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Tout ce qui a été posté par redice
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I have no idea what i'm doing.
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C'est De Gea qui mérite le titre du devil de la saison, ça serait dommage qu'il finisse deuxième.
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C'est certain qu'hier c’était la premier fois de la saison qu'on a aperçu des combinaisons rapides, spontanées et dirigées vers l'avant. Des combinaisons à la United. Ce n'est pas une révolution, c'est juste la preuve que les cadres sont toujours capables de produire la philosophie de Sir Alex ( petite pensée pour ceux qui pensent que Sir Alex n'avait aucune philosophie de jeu et qu'il était un tacticien moyen) . Pourquoi ne pas avoir produit de telles combinaisons tout au long de la saison ceci en sachant que Giggs et Neville étaient sensés épauler Moyes dans le domaine tactique. Si durant les 3 derniers matchs on reverra de telles combinaisons qui résulteront bien sûr à un nombre de passes bien plus importants que tous nos autres matchs de la saison, il faudra se poser des questions sur les relations qu'avaient Giggs et Neville avec ce bon vieux Moyes et pourquoi pas sur le degré d'application des consignes par les joueurs. Je pense que United avait deux chemins à suivre après le départ de Sir Alex : Soit de couper le cordon ombilicale définitivement ce qui donnera lieu à un staff qui n'aurait aucun lien avec Sir Alex. Soit être dans la continuité et que le Staff soit à 100% Fergusonien. Le choix du club était de faire un mixte entre ces deux options. Un coach durable mais qui prend pas trop de place avec quelques anciens joueurs pour remplacer l'ancien staff de Ferguson. Ceci crée a mon avis forcement un conflit entre deux philosophies différentes : le changement et la continuité. Je pense que cela a perturbé tout le management de l'équipe. Peut être que le temps aurait stabilisé les choses, et que le mixte aurait pu donner quelque chose de solide. Mais dans ce cas, les dirigeants du club se devaient être patients. Six ans c'était la prétention du contact qu'ils ont proposé. Mais dans le jeu de la bourse, il y a des choses qui ne s'expliquent pas. Maintenant il faut choisir un cap et s'y maintenir, et si les moussaillons veulent partir dans des directions différentes, c'est à eux de quitter le bord du navire et non pas au cap de changer.
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On a vu beaucoup de choses positives, qu'on a aussi aperçu sous Moyes face à des adversaires sous morphine. Par contre on a vue une chose qu'on a presque totalement oublier comment ça pouvait se traduire sur un terrain : l'envie. Et si le joueur le plus titré de l'ile réussissait à devenir le coach le plus titré... "avec un accent sicilien" La famille 92 va vous faire une offre que vous ne pouvez pas refuser, voilà la phrase que recevront bon nombre de présidents de club et entraineurs l'été prochain...
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Oui normalement il peut se mettre sur la feuille de match vu qu'il est enregistré dans notre effectif chez la BPL.
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Actualités des clubs européens
redice a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
La mort n'a pas d'âge. Pensée pour la famille et à ses enfants si il en a, c'est pour eux que ça doit être le plus dur. -
Imaginez Giggs (Manager) - Scholes (Entraineur ) - Butt - Neville Brothers - Beckham sur le banc de United ^^.
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L'Angleterre a perdu ses bonnes manières avec ses entraîneurs Par Philippe AUCLAIR le 25/04/2014 à 09:43, mis à jour le 25/04/2014 à 09:54 La gestion de l'éviction de David Moyes (MU) découle, pour Philippe Auclair, des nouveaux organigrammes des clubs anglais, gérés par des investisseurs étrangers. Œ 78 Panoramic Sur ce sujet Moyes n'est pas rancunier Après avoir validé le départ de Moyes, Ferguson veut placer Ancelotti Les amoureux du foot s'ennuieraient sans Mourinho Perdre son emploi, quoi de plus normal quand on est manager? Le 13 décembre dernier, le site sportingintelligence.com, ayant pris soin d’écarter le paramètre Wenger de son équation, avait évalué la longévité moyenne d’un entraîneur de Premier League à 379 jours. Quatre d’entre eux étaient déjà tombés à cette date, après seize matchs de championnat. Par ordre de disparition des écrans: Paolo Di Canio, Ian Holloway, Martin Jol et Steve Clarke. Six autres les ont rejoints sur le bord de la route depuis: André Villas-Boas, Malky McKay, Michael Laudrup, Rene Meulensteen, Chris Hughton et, last but not least, David Moyes. Une hécatombe dans un football qu’on avait longtemps présenté comme un modèle de stabilité comparé au manège emballé de la Liga et, en particulier, de la Serie A, où un ogre nommé Massimo Cellino – président de Cagliari - a déjà dévoré trente-cinq victimes en l’espace de vingt-deux années; en 2010, l’espérance de vie d’un manager de club de Premiership était encore de 1263 jours. O tempora, o mores. Dans ce contexte, que David Moyes n’ait duré que dix mois après avoir hérité d’un job que beaucoup jugeaient impossible avant même que Sir Alex annonce sa retraite il y a aura bientôt un an, n’est pas une surprise, même si le timing de son limogeage en constituait une, et si la manière dont les dirigeants de United se sont conduits à cette occasion a de quoi choquer, ce sur quoi je reviendrai. Si vous lisez régulièrement cette chronique, vous vous souviendrez sans doute que j’avais plusieurs fois plaidé en faveur de l’ancien manager d’Everton. Si on lui avait donné un contrat de six ans, n’était-ce pas précisément parce qu’on se rendait compte de la taille du chantier dans lequel il débarquait, et qu’on savait qu’il faudrait du temps, beaucoup de temps pour mener à bien la reconstruction d’un club soudain amputé de son grand architecte? J’avais "défendu" Moyes par estime envers un homme d’une intégrité sans faille, par respect envers un technicien qui avait, par trois fois, été élu "entraîneur de l’année" par ses pairs alors que ses rivaux pour cette distinction s’appellaient Ferguson, Wenger, Mourinho et Benitez, mais aussi, je l’avoue, parce que je trouvais insupportables les jugements à l’emporte-pièce qui accompagnaient immanquablement chaque trébuchement d’une équipe déséquilibrée. Moyes est nul, Moyes est un dinosaure, Moyes est un anti-tacticien, j’en passe, et pas des meilleures. Ranieri était le "mort qui marche"Mais cela, c’est le passé. Libre à chacun d’avoir son opinion sur la validité de la décision des Glazer. Le débat n’est pas clos, et ne le sera jamais – puisque Moyes n’aura pas pu aller au bout de son projet. Ce qui mérite davantage commentaire à mes yeux est le processus qui a mené à la scène qui s’est déroulée mardi dernier au centre d’entraînement de Carrington, et la façon dont il illustre la mutation accélérée d’un football coupé de ses racines. A 7h40, David Moyes, qui était arrivé à son bureau deux heures et demie plus tôt, s’est vu signifier que le club avait choisi de se dispenser de ses services. L’amateurisme avec lequel l’opération avait été conduite avait quelque chose de révoltant, dans la mesure où la victime avait été maintenue dans une ignorance totale du désir de ses dirigeants; un peu comme les gardiens de prison qui venaient chercher le condamné à mort prenaient soin d’ôter leurs chaussures et de déplier un tapis devant la porte de sa cellule avant d’y pénétrer, afin de surprendre le malheureux dans son sommeil. Les médias avaient été alertés de l’imminence du limogeage avant l’Ecossais. Quelques journalistes proches d’un membre du directoire de Man U avaient été informés vingt-quatre heures plus tôt. D’autres plumitifs, qui avaient coutume de servir de courroies de transmission à certains "cadres" rétifs du squad, avaient aussi été mis dans le secret des dieux. Et c’est donc via quelques articles publiés le lundi après-midi que Moyes apprit son sort, sans pouvoir obtenir de confirmation immédiate de ses employeurs. Ne pouvait-on se comporter plus dignement? Il est exact que la dignité n’est pas souvent présente au rendez-vous dans de telles circonstances. Des licenciements auxquels on a assisté cette saison, seul celui de Ian Holloway par Crystal Palace a été conduit avec le calme et la dignité, justement, qu’on pouvait espérer. Plus loin dans le temps, on se souvient de Claudio Ranieri, "le mort qui marche", attendant son inévitable exécution toute une saison durant; de Martin Jol, qui eut bien du mérite à conserver son calme lorsqu’on apprit que Tottenham était en pourparlers avec Juande Ramos pour lui succéder; de Carlo Ancelotti expédié en quelques secondes par le directeur exécutif de Chelsea Ron Gourlay dans un couloir de Goodison Park, juste avant de donner une conférence de presse pendant laquelle il se tint coi sur le sujet de son avenir. Mais eux, au moins, savaient ce qui les attendait. Le modèle traditionnel à l'anglaise n'existe plusCes exemples, vous le relèverez, sont tous relativement récents. C’est que la brutalité avec laquelle un club se sépare aujourd’hui de son entraîneur en Angleterre – je pense à la nature publique (et intempestive) de la séparation, plus qu’à ses motivations et à ses circonstances - est un phénomène récent, qu’il est difficile de ne pas relier à la nature changeante de la structure hiérarchique de ses plus grandes institutions. En 2003, avant l’arrivée de Roman Abramovitch, aucun des vingt clubs de Premier League n’était contrôlé par un investisseur étranger. Aujourd’hui, onze d’entre eux le sont. L’actionnaire unique ou majoritaire (lequel sera rarement un ‘homme de football’*) est devenu le décideur in fine, s’arrogeant certaines prérogatives "historiques" du président et de son directoire, dont les membres n’étaient pas toujours choisis en fonction de la part de capital qu’ils détenaient. Le modèle traditionnel "à l’anglaise" était celui d’un propriétaire-supporter ayant acquis sa fortune dans un business local, se reposant sur un board assisté d’un club secretary (à l’origine, un ancêtre du directeur sportif contemporain, devenu ensuite simple administrateur) et, depuis les années 1950, d’un manager responsable de la gestion de l’équipe au jour le jour et du recrutement. Ce modèle, garant d’une grande stabilité, n’existe plus. Dans six de ces onze clubs qui sont la propriété de non-Britanniques, le "président" est une personne distincte de l’actionnaire principal, un homme de confiance, certes, mais dont le pouvoir décisionnel est très limité: qu’on songe à Bruce Buck à Chelsea ou à Sir Chips Keswick à Arsenal. Le directeur exécutif, simple employé du club, est bien plus influent sur sa gestion, même si son rôle est d’abord d’appliquer les ordres reçus d’Abou Dhabi, de Tampa ou de Moscou. Ce nouveau modèle est certes trop général, trop simplifié pour qu’on puisse l’appliquer uniformément à tous les clubs; en fait, on pourrait avancer qu’il existe presque autant de "modèles" que de clubs aujourd’hui. Mais là n’est pas le noeud de mon argument. C’est que ces clubs, tous ces clubs, sont encore en recherche d’un nouvel équilibre, consécutivement aux convulsions économiques qui ont bouleversé le modus operandi du football anglais depuis un peu plus de dix ans. Celui-ci n’a jamais été plus volatil. David Moyes ne sera pas le dernier à en faire la cruelle expérience. (*) On fera une exception pour Aseem Allam, égyptien de naissance, mais authentique Yorkshireman, quoi qu’on pense de son idée de rebaptiser Hull City FC les Hull Tigers. A propos de l'auteur Philippe AUCLAIR - EurosportInstallé à Londres depuis 1987, Philippe Auclair est une des plumes les plus reconnues du journalisme de sport. Auteur de plusieurs livres et biographies (Cantona, Henry), il écrit notamment pour France Football, intervient sur RMC et il est l'un des fondateurs-rédacteurs du Blizzard.
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Oui Van Gaal n'est pas crédible pourtant apparemment les vestiaires n'en veulent pas -___- . Qu'on vire tous les joueurs ( Ceux qui veulent faire la loi, ne suivez pas mon regard il mène nulle part) pour que le prochain puisse au moins lui travailler dans de bonnes conditions.
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Espérons que les joueurs vont aimer le prochain Coach. Oui certains dirons qu'espérons plutôt que le prochain Coach réussira à se faire aimer des joueurs. Fichtre.
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Si ça pourrait le faire. En tout cas je suis plus optimiste pour Carrick que pour Rooney. Si on arrive à recruter un joueur qui règlera la problématique de la récupération et que notre défense redevienne performante, Carrick pourra s'épanouir. La question est est-ce qu'on aura assez de temps pour régler tout ça rapidement avec Carrick dans le 11 de départ ? Pour Rooney c'est plus sa volonté personnelle qui est la source de son problème. Van Gaal n'acceptera jamais qu'on lui dicte les règles du jeu. Je pense que ça sera une des conditions que posera Van Gaal quelque part dans son contrat : Pouvoir virer qui il veut et c'est Rooney qui sera en ligne de mire.
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Là où Van Gaal est passé, il a toujours su écarter les joueurs qui présenter une impasse tactique et ceci quelque soit leur talent. Et de mon point de vue Carrick et Rooney sont une impasse tactique. J'avais argumenté ceci sur le topic " Le jeu pratiqué par l'équipe" : http://www.manchesterdevils.com/forum/index.php/topic/5287-le-jeu-pratique-par-lequipe/page-34#entry1266236
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Les plus grands perdants de la venu de Van Gaal : Rooney et Carrick, surtout le premier. Pour le bien du club, ceci me déplairait pas. De plus lui il a besoin d'un R, et la Bretagne a toujours cherché le Gaal, il était temps qu'il vienne enfin dans le territoire de la mythique Loegrie.
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Quand j'ai lu la nouvelle, ça m'a fait ni chaud ni froid. Espérons que la suite sera meilleur pour nous et pour lui.
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Pourtant on parle déjà d'un échange Moyes - Webb. Mais il ne sera certainement pas un arbitre sur le terrain, il a pas les jambes pour ça. Il fera certainement parti du haut comité d'arbitrage de la PL.
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J'ai un doute sur le fait qu'il sera entraineur, mais ses compétences de gestion de temps et ses connaissances dans le domaine du hors jeu peuvent être utiles.
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Dans les pays dits anglo-saxons, pâque a toujours été une période où on éviter trop de changement et donc les entreprises changent rarement de politique pendant cette période. C'est pour ça je me demande quel rôle aura Webb.
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Howard Webb a été aperçu il y a quelques minutes du coté de Carrington...
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Le temps peut être source de bien de surprises et de retournements de situations.
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Il y a des gens qui auront à prendre des décisions. Qu'il prennent les meilleurs, voilà ce que je veux. Je ne suis pas là à décréter si Moyes doit rester ou partir, je n'ai tout simplement pas tous les paramètres en mains et certainement pas les compétences nécessaires pour le faire. Ce que je veux c'est que ceux qui sont responsables prennent la ou les bonnes décisions qui personnellement je prétends pas connaitre. .
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Il n'y a aucune raison de soutenir Moyes alors qu'il n'a encore rien réaliser à United. Comme il n'y en a aucune de valable d'être contre lui et de répéter à longueur de journée des propos aussi inutiles que rébarbatifs tel que le "Moyes Out". Par contre nous devons tous respecter l'homme. Il y a des gens dont le travail est de juger si Moyes ou non doit continuer. Ces gens là sont sensés avoir tous les paramètres (ce qui est clairement pas notre cas) pour pouvoir prendre les bonnes décisions. Espérons qu'ils seront assez compétents pour prendre les meilleurs décisions possibles pour le bien du club.
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David Suazo le bon vieux temps !!! L'âme de l'inter hahahha
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L'homme de bien suprême est comme l'eau - L'eau, bénéfique à tout n'est rivale de rien - Elle séjourne aux bas-fonds, dédaigneuse de chacun - De la Voie, elle est toute proche. Tao Tö King Oui j'avoue j'ai cherché sur google une citation sur la rivalité #honte.
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Félicitation à Liverpool.
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C'est pour cela que je n'avais pas écris "très grands passeurs" ou "très grands constructeurs ". Mais pour moi tous ces grands milieux défensifs ou relayeurs qui étaient au cœur du jeu des grandes équipes de l'époque ou d'aujourd'hui ont pour point commun d'être propre dans la relance, juste dans leur déplacement offensif et avaient une assez bonne maitrise du ballon et ne présentaient pas un point dur qui ralentissait le jeu. Pour moi un milieu qui casse le rythme du jeu n'est tous simplement pas un bon milieu qu'il soit défensif ou offensif. J'ai du mal autant que toi avec les termes du genre attaquant moderne " Ce joueur a toutes les caractéristiques de l'attaquant moderne" ou le football des temps moderne -___- on croirait entendre un naturaliste ou un moderniste.