Mouais. Il avait scoré quelques buts en profitant de la dynamique du groupe. Mais rien d'extraordinaire. N'importe quel attaquant pas trop teubé, à cette époque-là, se serait très bien fondu au collectif.
La joie d'Antonio Valencia. On ne peut s'empêcher de l'aimer, no matter what. C'est comme le petit débile de la fratrie Grape, malgré ses déficiences criantes, on l'aime comme il est.
Je me suis endormi devant "Paranormal Activity 4". Il ne s'y passe vraiment rien. Par contre le petit c** de la blonde est pas mal. J'aime bien les cinq dernières minutes aussi. Pour ce que ça vaut...