Best_07

Donc c'est ça la vie de footballeur ? Rentrer chez soi et se taper la purge que tout le monde s'est tapé en live ? Je commence à comprendre pourquoi il a trompé sa femme enceinte ¹. 1. Très important parce que si elle n'avait pas été enceinte osef.

Et pourtant ils vont se faire démonter par OKC le 28.

En tout cas pas de remarques assassines comme quoi « il ne pourra jamais être l'homme de la situation ».

En tout cas les réactions auraient été moins assassines. ^^ Quand on a gagné contre Arsenal on était dégueulasses et pourtant, pouf, pas de critiques à l'encontre de Moyes. Le spectateur est influencé par le résultat dans son jugement, c'est obvious.

C'est marrant mais malgré la frustration, j'ai rarement été aussi excité à l'idée de voir l'évolution de notre saison.

Je te rejoins sur les deux films. Que je trouve, dans l'ensemble, ratés. Même si je pense avoir un peu plus de sympathie pour le film de Juan Solanas. Même si Andrew Niccol, le scénariste, fait franchement des scénarios de science-fiction on ne peut plus simplistes (c'est le type qui a écrit "Time Out", quoi...). Pour "Pacific Rim", son surcotage m'amuse beaucoup. Ça reste un blockbuster archi-stupide, avec des dialogues qu'on ne peut que prendre au second degré tant ils sont ridicules. Bon, le spectacle est +/- là, après. De toute façon je crois que Del Toro assume de n'avoir envie que d'en mettre plein les mirettes Pour moi c'est juste un Michael Bay un peu moins gauche.

Le match contre le Real on ne le domine pas tactiquement. On le maîtrise tactiquement. Il y a une différence. On ne dominait pas notre adversaire, on le contenait. C'est comme Chelsea contre le Barca en 2012, ils ne dominaient pas, ils contenaient. Mais en fait on n'a pas la même définition du terme « dominer ». Pour moi dominer dans le football c'est prendre le jeu à ton compte, imposer ton rythme, dicter la rencontre, être dans l'action. Ce que nous faisions contre le Real, c'était de la réaction. Contre Arsenal je ne suis pas d'accord. Techniquement, Arsenal ont été loin d'être supérieurs à nous. Le déchet technique était criant de leur côté. C'était un match très pauvre techniquement, où nous avons été meilleurs tactiquement ou, même, devrais-je dire, mentalement.

Up and Down = Upside Down ?

Tortueux, dérangé, maladif, édifiant, le film-somme de David Lynch est une œuvre que tous se doivent de voir. Parce qu'elle est certainement l'œuvre qui exprime le mieux les thèmes de la filmographie d'un des plus grands cinéastes – si ce n'est le plus grand – de tous les temps.

Ce viol des Jazz. Les pauvres.

http://www.youtube.com/watch?v=zP9FM9iX5Vw

Quand Fellaini a signé : A few months later : (les 15 premières secondes).

Par contre arrêtez de nous saouler avec le """"""charisme"""""". ^^ On est pas sur adopteunmec.

Ce débat est d'une stérilité sans nom. Mais j'imagine – j'espère – que vous le nourrissez tous pour blaguer, de manière consciente, sans y mettre du cœur et encore moins de la raison. Faire le compte de qui a battu qui ces dernières années en Europe, pour comparer les deux championnats, peut être tentant. Je l'avoue, je m'y suis moi-même donné à cœur joie sur certains forums. Bon, quand j'avais quinze ans. Déjà je trouve que c'est hors propos, car si un débat a été lancé, ce n'est pas du tout dans l'optique de comparer le niveau des équipes anglaises à celui des équipes espagnoles, mais uniquement de comparer la compétitivité/combativité qui irrigue les deux championnats. À des degrés évidemment très variés, presque contraires. C'est cela que l'on pointe du doigt quand on s'étonne des scores fleuves en Espagne. La désagréable impression que le fighting spirit est inexistant, que les équipes renoncent trop tôt dans un match. Ce qui nuit non seulement au spectacle mais, même, à la qualité de jeu produite par ces équipes, incapables de sortir la tête de l'eau, de faire avec leurs temps faibles tout en étant à-mêmes de tirer les bénéfices de leurs temps forts (aussi maigres soient-ils). Pour avoir regardé quelques matchs de Liga cette saison, tous ne concernant ni le Barca, ni le Real, je suis forcé, par honnêteté intellectuelle, d'avouer que ce constat affligeant ne se fait pas uniquement lorsqu'un gros joue. C'est simple, en Espagne, dès qu'il y a deux buts d'écart, tu as l'impression que le match est terminé, comme si le foot se jouait en deux points gagnants. Bien sûr, inutile de me sortir vos exemples « qui prouvent que non » : des scores fleuves en Angleterre il y en a, des remontées en Espagne il y en a. Mais ce sont les exceptions qui confirment la règle, et moi je parle davantage de tendance générale : vérifiable et vérifiée au fil des années. Ou en tout cas depuis que je suis le football. C'est-à-dire quinze ans. Je pense, de toute façon, qu'il ne faut pas chercher bien loin pour comprendre les raisons de ces différences entre les championnats européens (à tous les niveaux). L'état d'un championnat, et ce malgré l'internationalisation toujours plus permanente du football, est le reflet de l'état du pays au sein duquel il est contenu. Rien de plus concis et efficace, pour analyser la sociologie d'un pays, que de regarder son équipe nationale à travers les âges (c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne suis pas supporter de l'équipe de France : elle représente, contre son gré, tout ce que je n'aime pas dans notre pays (mais c'est un autre débat)). Il ne faut pas être un sorcier pour comprendre que l'Angleterre c'est plus physique, l'Espagne plus technique, l'Allemagne plus disciplinée, l'Italie plus tout et la France plus rien. Le physique épouse l'engagement, l'engagement épouse le fighting spirit. Il-ne-faut-pas-chercher-plus-loin. Oui la Premier League est le championnat où les équipes renoncent le moins ; oui la Premier League est le championnat où il est le plus difficile d'être régulier. Pour le reste, je m'en fous, ce n'est pas (plus) un débat que j'ai envie de soulever. Parce qu'il est vain et inutile au possible.

Ses relances sont médiocres de chez médiocres.

Sur le premier but, déjà, il est juste ridicule. Ensuite il a foiré bcp trop de relances.

OT. Imaginary penalty...

Bah nous c'est mort depuis un mois. Mais au moins on sera recalés ensemble.

Et Villarreal a encore gagné.

Je pense que ça change strictement rien.

Oui le seul truc positif c'est que y a pas d'équipe patronne. Mais je crains quand même que lorsque Chelsea/City passeront la vitesse supérieure, nous serons incapables de suivre... J'appréhende bcp la période du boxing day : time to man up or shut up.

Un peu les deux. On vous la met profond là. Et on est potentiellement en train de faire s'envoler vos espoirs de PO.

Alors les Packs, on fait moins les malins.

Evans t'as pas honte Andeer ? 1. Rooney 2. Evra 3. Giggs

Ça c'était toi au moment de « quitter le forum à tout jamais », c'est ça ?