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Best_07

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Best_07

  1. Best_07

    Football Américain

    1-3. Problèmes de Quarterback donc on en a 3, potentiellement titulaires. Par contre y a pas mal d'espoirs niveaux receveurs, et Peterson fait le taf. La défense c'est deux visages : beaucoup de big plays (interceptions, fumbles etc.) mais assez friable dans la durée. Les playoffs, au vu du calendrier, c'est presque mort. Je pense qu'on se dirige vers une saison à 6-10. Et toujours pas de QB#1 en ligne de mire, pas même avec la draft 2014.
  2. Best_07

    Shinji Kagawa

    Comme Koscielny par exemple.
  3. JE SUIS PAS STRESSÉ p*****, TU COMPRENDS, JE SUIS PAS STRESSÉ JE TE DIS. TU COMPRENDS, HEIN, HEIN, HEIN ?
  4. C'est clair que j'me lève pas le matin avec une boule dans le ventre en pensant au titre. Mais bon, y a un peu de suspens, un avenir incertain pour le club, on sort de notre zone de confort, c'est bien. C'est la vie.
  5. Le montage n'est pas mauvais. C'est l'intrusion des flashbacks que je trouve mauvaise. Pas dans la mesure où ils s'agencent mal avec le reste (même si au début c'est déroutant), mais dans la mesure où ce sont les passages que j'ai trouvé les plus dépourvus d'intérêt. C'est tellement plat et cliché, qu'à chaque fois qu'on faisait un bond en arrière dans le temps, je m'enfonçais dans mon siège. Au moins dans les passages à San Francisco il y a un peu d'humour et Cate Blanchett peut illuminer l'écran. Quand je repense à un film comme Martha Marcy May Marlene, où il y avait, pareillement, une alternance présent/passé, je me dis que le film de Woody Allen est à des années lumières de remplir le contrat attendu d'un tel schéma : rendre chaque partie également intéressante, également réussie. Les personnages sont vraiment mal écrits. À part celui de Cate Blanchett et de sa (fausse) sœur. Et encore. Ce qui m'a le plus choqué, ce sont les personnages masculins, en fait. Je vais me répéter mais ce sont de purs clichés. J'ai lu ou entendu quelque part que quelqu'un considérait le personnage de Alec Baldwin comme « l'un des personnages les plus réussis de ces dernières années ». On lit/entend beaucoup de conneries sur le cinéma, y compris de la part de spécialistes, mais là c'était mon plus gros facepalm depuis les éloges faits à Spring Breakers. Ce personnage n'a aucune profondeur, c'est juste un petit bourgeois magouilleur et lâche, qui trompe sa femme. Il n'y a rien d'autre à dire dessus, Alec Baldwin joue le rôle d'Alec Baldwin, point barre, il est d'une pauvreté affligeante. Quant aux beaufs que l'on voit à San Francisco, eh bien, même chose : j'aime la bière, le foot et les tatouages, mais sinon je n'existe pas en tant qu'être humain. Génial. Le propos est plutôt intéressant, en effet. Cette manière dont les individus choisissent avec qui ils partagent leur vie et à qui ils accordent leur amour en fonction de. Ça montre bien qu'il n'y a aucun contact humain désintéressé, que tout est orienté, pré-défini, c'est un regard sombre et déprimant sur l'humanité. Mais bon, un propos c'est bien, mais revenons-en au cinéma : il n'y a pas de scénario, il n'y a pas de réalisation. Qu'est-ce qu'il reste alors ? Cate Blanchett. Citout. J'ai vu Le Majordome et Parkland. Alors le premier est paresseux. Il traite de l'évolution des droits des noirs américains, mais pourtant on est jamais pris dans le flot, le film manque d'énergie, c'est trop académique pour un tel sujet. Y a bien quelques séquences d'action (liés à l'activité des Black Panthers, notamment), mais c'est toujours contrebalancé par cet espèce de rythme lancinant, qui fait corps avec le personnage de Forrest Whitaker. C'est volontaire, me direz-vous, puisque le film ne bifurque pas dans le film-révolte, à l'inverse d'un Harvey Milk par exemple (beaucoup plus dynamique et, aussi, sans conteste, beaucoup plus réussi). Il dresse au contraire une fresque à travers l'histoire, centrée autour de ce personnage passif qu'est le fameux Majordome. Finalement, ce qui m'a le plus intéressé, ce n'est pas la grande histoire, mais la petite histoire : celle d'un homme traumatisé dans son enfance, qui n'ose plus se révolter, pendant 70 ans. Car le film raconte ça, au final, le traumatisme d'un homme qui a mis toute sa vie à s'en remettre et qui parvient enfin, sur le tard, et grâce à son fils (alors que son traumatisme provenait de son père), à retrouver une conscience de « couleur ». Bon, au niveau de la performance de Whitaker, comme avec Naomi Watts, une perf' à oscars. Je ne sais pas si c'est bien ou pas, mais ça fonctionne. Étonnement surpris par Oprah Winfrey aussi, super-star aux US qui investit son rôle avec naturel et qui convainc. Par contre, gaffe, le dernier quart-d'heure en mode propagande Obamienne est à la limite du supportable. Comme la photographie ou la musique. Parkland est déjà mieux. C'est un peu l'anti-Le Majordome. Le film ne s'étale que sur quelques jours, est relativement court, très nerveux, caméra sans cesse embarquée, en mouvement, zooms furtifs, qui balaie les visages des personnages. Des personnages plongés dans une horreur intime et nationale, qui perdent pied et repères, en étant pourtant constamment dans des lieux peu propices à l'intimité : commissariat, hôpital, hôtel. Du coup il n'y a ni personnage principal, ni véritable scène intime. C'est très curieux comme film, à la croisée des chemins entre le thriller et le film-dossier. Comme ça relate les évènements liés à l'assassinant de Kennedy (et celui de Oswald le lendemain) c'est assez logique. Ce que j'ai fortement apprécié, c'est la manière dont on montre comment un drame x, c'est-à-dire un meurtre, possède autant de répercussions en fonction de la personne assassinée. Dans mon idéal sociétal, ça ne devrait pas exister. Et on nous montre en plus que c'est dangereux : les autorités deviennent amorales, les lois ne sont pas respectées, l'injustice règne soudain etc. Néanmoins le film réhabilite un peu la mémoire de Oswald, en accordant plus d'importance à son enterrement qu'à celui de Kennedy (même s'il y a montage alterné ; divisé en trois, même). Ça c'est, je pense, osé et honnête. L'apitoiement sur la mort de Kennedy, qu'on entrevoit et qui gave un peu, finit par disparaître totalement, pour nous ouvrir la voie vers autre chose. On ne se pose finalement pas de questions sur l'identité du meurtrier (le film est avare en faits et informations), mais on se pose ces questions : c'est quoi, l'égalité des hommes ? C'est quoi, la justice ? etc. Dommage que le film paraisse presque trop court. Mais son intention est louable. Après, rien de transcendant, cinématographiquement parlant. Comme prévu. On fait tout un plat de La Vie d'Adèle et Prisoners, je suis déjà gavé...
  6. Je pense que ce sont tous les deux des guignols.
  7. Best_07

    Adnan Januzaj

    Y a aucune raison d'être taxé de traître, peu importe ce que tu fais. Tu ne dois rien à ton (tes) pays. Rien du tout. Moi je ne me considère ni français, ni mexicain. Je ne suis pas patriotique et ne le serai jamais. Être patriotique, c'est attacher plus d'importance aux problèmes d'une région du globe qu'à ceux de toutes les autres. C'est donc être égoïste. Mais bon, dans mon cas, au contraire de celui de Janu, tout le monde s'en bat.
  8. Best_07

    Wayne Rooney

    C'était moi, je crois, en évoquant notamment Evra. Mais t'inquiète, tu es toute pardonnée, depuis le temps j'ai eu nombre d'occasions de te rire au nez.
  9. Naomi Watts y est exceptionnelle. Rien à voir avec Naveen Andrews, qui est juste ridicule. Woody Allen pour moi, et en tout cas sur ses derniers films, c'est le cinéaste de l'anecdotique. Je n'ai pas aimé Blue Jasmine. Cate Blanchett est bien, mais c'est à peu près tout. L'intrusion des flasbhacks est mal faite, et le scénario, comme l'ensemble des personnages secondaires, est catastrophique. On a les clichés des bourgeois d'un côté, et les clichés des beaufs de l'autre, c'est affligeant. Sans compter de nombreux aspects de l'intrigue ratés : le fils adoptif, le « twist » malvenu, et l'apparition d'Augie pour soudain faire virer le film dans une autre direction. Sans parler de ce mari de substitution, auquel on ne croit pas une seconde. Ce sont des choses qu'on aurait jamais pardonné à un autre réalisateur, mais Woody Allen jouit de cette espèce d'aura du « vieux réalisateur qui a déjà tout prouvé », du coup la critique se prosterne à chaque film alors que, franchement, c'est faible.
  10. J'ai vu Diana au cinoche. Alors c'est très ambivalent. Toute la partie romance est franchement à jeter. En revanche, le rapport de la princesse à la presse, au monde, est intéressant. Y a malgré tout quelque chose à puiser dans ce film, qui ne le rend pas complètement inutile. Dans l'absolu, c'est très moyen et je déconseille de payer pour le voir. Mais c'est pas ce qu'on peut regarder de pire ce mois-ci, loin de là.
  11. Ah non on a déjà écarté les fesses pour Rooney, on va pas aussi le faire pour Ravel.
  12. C'est vous qui ne savez pas ce que c'est que de jouer sur les points forts de ses coéquipiers, de penser le jeu en fonction de cela. Avez-vous déjà été sur un terrain de foot ? Avez-vous déjà eu des partenaires ? Avez-vous déjà dû posséder une intelligence de jeu pour savoir ce qu'il est bon de faire, ou non, avec un ballon ? Sincèrement, j'en doute. Les spécialistes du canapé.
  13. Les deux premiers buts de West-Ham, cette chance, omg. :D
  14. Non mais il ne l'isole pas, c'est là que tu te trompes. Quel est l'intérêt de jouer en 4-5-1 avec un attaquant de pointe si tu ne crois pas en sa conservation de balle ? Giroud a assez prouvé qu'il est capable de garder le ballon, de temporiser et de remiser. Arsenal ne trouvait pas la solution en faisant tourner au milieu de terrain. Ils jouaient dans la largeur sans prendre de vitesse le bloc de West Bromwich. Le propre d'une domination stérile, inefficace. Ozil, avec la tête et avec les pieds, a mené une action qui a permis de sortir de ce cercle vicieux. À la place de jouer dans la largeur, en passes courtes, comme c'était le cas depuis le début de la rencontre, il a joué long, sur un Giroud qui s'est bien déplacé (il fait une course de 10-15m vers la droite). Au moment où il fait la passe, Ozil sait déjà ce que ça va provoquer. Au moment de la recevoir, Giroud le sait aussi. Il aspire des défenseurs, permet aux milieux entre les deux lignes de monter d'un cran, et joue avec eux. La défense de West Bromwich se retrouve désorganisée, le milieu dépassé, et, à la clé, c'est un but d'Arsenal. Je ne limite pas ce but à la passe d'Ozil. Giroud joue son rôle, Rosicky aussi, Wilshere aussi, bien évidemment. Mais puisque vous critiquiez l'apport créatif inexistant d'Ozil, toi et Mondoudou, à la question : sur cette action, qui crée ? La réponse est Ozil. Car c'est celui dont l'inspiration et la décision permet de passer de l'impuissance à la perforation. Je veux bien que tu n'apprécies pas trop le joueur, que tu le trouves surcoté, que tu penses que Flamini est l'homme de ce début de saison à Arsenal ou ce que tu veux. Mais sur cette action, c'est tellement évident que le simple fait que tu en viennes à le renier, c'est signe d'une mauvaise foi beaucoup trop obvious. Enfin, tu peux lui dire merci, aujourd'hui, parce que, sans lui, c'était 0 + 0 = la tête à Koko.
  15. Bendtner. Je l'avais même pas reconnu ce néo-viking.
  16. Quelle mauvaise foi. Le but d'avoir un attaquant de pointe/pivot, c'est qu'il ne soit jamais isolé. Transpercer les lignes avec cette passe, ça permet aux autres milieux de monter d'un cran, d'apporter leur soutien, et d'être en surnombre devant la surface. De pouvoir faire la différence, en somme. C'est exactement ce qui s'est passé sur cette action, et c'est pour ça que c'est Wilshere qui en est à la conclusion sur une passe de Rosicky. Le choix d'Ozil est non seulement intelligent, mais aussi parfaitement exécuté. Il faut avoir des œillères pour ne pas (vouloir) le voir.
  17. Rien d'extraordinaire ? Ouais, on a pas perdu contre le Bayern. Mais ils font un très bon match, comme ils ont fait un très bon match la semaine dernière. Ils ont des bons joueurs, un bon coach et une bonne organisation. Ils sont bien plus proches de l' « extraordinaire » que du « tanchisme ».
  18. Ce sont loin d'être des tanches. Tu ne regardes pas le match, ou quoi ?
  19. Un but grâce à Ozil, qui a fait la différence à lui tout seul, qui a créé. Mondoudou, es-tu là ? Tu me dois deux bisous, désormais.
  20. Ce moment bizarre où tu te demandes, l'espace d'un instant, si tu ne dois pas prendre Amalfitano dans ton XI fantasy. :D
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