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Je ne te fais pas confiance, je vais me le faire ce soir. On verra si tu as raison. :P

 

Disons qu'en regardant la bande annonce tu t'attends à autre chose, et en fait tu est déçu,d'autant plus quand tu connais les anciens. Après c'est les goûts et les couleurs comme tu t'en doutes. Par exemple Sinister je ne l'ai pas trouvé flippant. Par contre Mama, pas mal dans le genre, pas effrayant du tout, mais une autre conception du film d'horreur, ça change.

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Moi, j'évite au max les BA pour pas me faire spoiler et surtout pour pas me faire un pré-avis (ça se dit ? :D) sur le film.

Après je ne crois pas que je connaisse les anciensm, mais c'est sûr que chacuns a ses goûts.

 

Sinister n'était pas flippant du tout, il est très mou comme "film d'horreur" au final, mais Mama je l'ai trouvé bien plus flippant.

 

Après j'ai uniquement regardé quelques images de Evil Dead sur Google et ça n'a pas l'air mal du genre flippant. Mais le synopsis du film est tellement mainstream qu'au final tu ne t'attends pas à un gros truc non plus.

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Si vous avez un doute sur une ou plusieurs sources liées à un transfert de ManUtd : Allez sur

ce lien !

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Dans Mama j'ai bien aimé la séquence en 10 flashs photo.

Et oui, pré-avis ça se dit, Benji. ;)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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20462006.jpg
Bien aimé.
Difficile d'accès au début, même chiant, puis la rencontre avec James Franco et on rentre dans une sorte de cauchemar envoûtant, sous forme de long clip, avec des plans et images à couper le souffle.
Pour ma part une sorte de "Scarface" des temps modernes, le rêve américain version jeune qui se détruit aussi vite qu'il est arrivé, avec un casting de bitches qui jouent bien les bitches et un James Franco délirant en gangsta inspiré de Riff Raff il m'semble.
La scène avec "Everytime" de Britney ça a fait mouche chez moi..
Bref je pense qu'on aime ou on aime pas... ça peut même être vu comme un simple film de filles braqueuses mais y'a une beauté derrière tout ça..., faut que je le remate.

20446783.jpg
Comédie sympa..
Le casting est sympa, ça traite un sujet d'actu de façon humoristique et ça marche, le petit jeune fait le taf d'ailleurs c'est le point fort du film, avec Virginie Efira ultra excitante.

21000451_20130422162145636.jpg
Après "The Machinist" et "Transsiberian" ce nouveau film de Brad Anderson me tentait.
C'est pas mal du tout! Cool de revoir Halle Berry qui s'en sort bien, même si pas trop à son avantage.. L'histoire est pas très originale mais la façon dont elle est traitée si, d'ailleurs la première heure est très bien, la tension est là, les scènes s'enchaînent bien et on est scotché devant cette histoire de kidnapping, au point qu'on en oublie les nombreuses incohérences (y'a des trucs assez oufs).
Comme souvent dans ce genre de film, la fin craint, on retarde l'échéance, on fait durer les scènes de poursuites/vengeance, bref pas très intéressant comparé au début.

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Un film d'action comme on peut en voir 10 par an, tjrs les mêmes rebondissements avec les traîtres/pas traîtres, nouveau agent CIA,... Les scènes d'action sont pas mal (encore bien) et heureusement Denzel est là, charismatique en bad guy (enfin à moitié)... Bref ça se laisse mater quoi.. Ca m'a rappelé aussi que c'était Daniel Espinosa à la réal et que je devais me mater son "Easy Money".

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Bon, le film est très marrant, y'a vraiment des scènes qui font rigoler, Sara Forestier est excellente dans son rôle. En gros elle couche avec des types pour les faire changer d'orientation politique.
Avec du recul c'est quand même assez gentil et même un peu propagandiste.. Après ça m'a pas gêné pcq je suis pas plus politique que ça mais ça se remarque fort, heureusement le film se prend pas trop au sérieux et en le visionnant comme une simple comédie on passe un bon moment.

19518457.jpg
Pas terrible.
L'idée est bonne mais quitte à faire un film d'action second degré avec des vieux autant l'assumer jusqu'au bout et pas être le c** coincé entre l'humour et le sérieux. Des fois le film veut se donner un côté sérieux et c'est pas du tout crédible, ça passe pas du tout.
L'histoire est chiante à mourir mais à côté de ça le casting fait plaisir, mention à Malkovich.
J'vois que le 2 va sortir, on verra bien mais je sens déjà le pétard mouillé.

18443223.jpg
Ca se laisse regarder.
Encore un scénario pas terrible prétextant des scènes d'action (très plaisantes cela dit) où les protagonistes passent leur temps à rechercher l'assassin de leur mère adoptive. L'ambiance oldschool et le casting font la différence.

Modifié par Loïc
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YES SIR!

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Sleepers oui, très bon film et effectivement gros casting.

 

Rounders enfin "Les joueurs" je l'ai sur mon DD, ça ne saurait tarder.

 

Salaud t'as remonté une page on ne verra pas mes avis :P Je dois être un de seuls sur ce forum a avoir kiffé "Springbreakers"

YES SIR!

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Bien aimé.

Difficile d'accès au début, même chiant, puis la rencontre avec James Franco et on rentre dans une sorte de cauchemar envoûtant, sous forme de long clip, avec des plans et images à couper le souffle.

Pour ma part une sorte de "Scarface" des temps modernes, le rêve américain version jeune qui se détruit aussi vite qu'il est arrivé, avec un casting de bitches qui jouent bien les bitches et un James Franco délirant en gangsta inspiré de Riff Raff il m'semble.

La scène avec "Everytime" de Britney ça a fait mouche chez moi..

Bref je pense qu'on aime ou on aime pas... ça peut même être vu comme un simple film de filles braqueuses mais y'a une beauté derrière tout ça..., faut que je le remate.

 

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Comédie sympa..

Le casting est sympa, ça traite un sujet d'actu de façon humoristique et ça marche, le petit jeune fait le taf d'ailleurs c'est le point fort du film, avec Virginie Efira ultra excitante.

 

21000451_20130422162145636.jpg

Après "The Machinist" et "Transsiberian" ce nouveau film de Brad Anderson me tentait.

C'est pas mal du tout! Cool de revoir Halle Berry qui s'en sort bien, même si pas trop à son avantage.. L'histoire est pas très originale mais la façon dont elle est traitée si, d'ailleurs la première heure est très bien, la tension est là, les scènes s'enchaînent bien et on est scotché devant cette histoire de kidnapping, au point qu'on en oublie les nombreuses incohérences (y'a des trucs assez oufs).

Comme souvent dans ce genre de film, la fin craint, on retarde l'échéance, on fait durer les scènes de poursuites/vengeance, bref pas très intéressant comparé au début.

 

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Un film d'action comme on peut en voir 10 par an, tjrs les mêmes rebondissements avec les traîtres/pas traîtres, nouveau agent CIA,... Les scènes d'action sont pas mal (encore bien) et heureusement Denzel est là, charismatique en bad guy (enfin à moitié)... Bref ça se laisse mater quoi.. Ca m'a rappelé aussi que c'était Daniel Espinosa à la réal et que je devais me mater son "Easy Money".

 

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Bon, le film est très marrant, y'a vraiment des scènes qui font rigoler, Sara Forestier est excellente dans son rôle. En gros elle couche avec des types pour les faire changer d'orientation politique.

Avec du recul c'est quand même assez gentil et même un peu propagandiste.. Après ça m'a pas gêné pcq je suis pas plus politique que ça mais ça se remarque fort, heureusement le film se prend pas trop au sérieux et en le visionnant comme une simple comédie on passe un bon moment.

 

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Pas terrible.

L'idée est bonne mais quitte à faire un film d'action second degré avec des vieux autant l'assumer jusqu'au bout et pas être le c** coincé entre l'humour et le sérieux. Des fois le film veut se donner un côté sérieux et c'est pas du tout crédible, ça passe pas du tout.

L'histoire est chiante à mourir mais à côté de ça le casting fait plaisir, mention à Malkovich.

J'vois que le 2 va sortir, on verra bien mais je sens déjà le pétard mouillé.

 

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Ca se laisse regarder.

Encore un scénario pas terrible prétextant des scènes d'action (très plaisantes cela dit) où les protagonistes passent leur temps à rechercher l'assassin de leur mère adoptive. L'ambiance oldschool et le casting font la différence.

 

Ça c'est cadeau, Loic.


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Bien aimé.

Difficile d'accès au début, même chiant, puis la rencontre avec James Franco et on rentre dans une sorte de cauchemar envoûtant, sous forme de long clip, avec des plans et images à couper le souffle.

Pour ma part une sorte de "Scarface" des temps modernes, le rêve américain version jeune qui se détruit aussi vite qu'il est arrivé, avec un casting de bitches qui jouent bien les bitches et un James Franco délirant en gangsta inspiré de Riff Raff il m'semble.

La scène avec "Everytime" de Britney ça a fait mouche chez moi..

Bref je pense qu'on aime ou on aime pas... ça peut même être vu comme un simple film de filles braqueuses mais y'a une beauté derrière tout ça..., faut que je le remate.

 

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Comédie sympa..

Le casting est sympa, ça traite un sujet d'actu de façon humoristique et ça marche, le petit jeune fait le taf d'ailleurs c'est le point fort du film, avec Virginie Efira ultra excitante.

 

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Après "The Machinist" et "Transsiberian" ce nouveau film de Brad Anderson me tentait.

C'est pas mal du tout! Cool de revoir Halle Berry qui s'en sort bien, même si pas trop à son avantage.. L'histoire est pas très originale mais la façon dont elle est traitée si, d'ailleurs la première heure est très bien, la tension est là, les scènes s'enchaînent bien et on est scotché devant cette histoire de kidnapping, au point qu'on en oublie les nombreuses incohérences (y'a des trucs assez oufs).

Comme souvent dans ce genre de film, la fin craint, on retarde l'échéance, on fait durer les scènes de poursuites/vengeance, bref pas très intéressant comparé au début.

 

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Un film d'action comme on peut en voir 10 par an, tjrs les mêmes rebondissements avec les traîtres/pas traîtres, nouveau agent CIA,... Les scènes d'action sont pas mal (encore bien) et heureusement Denzel est là, charismatique en bad guy (enfin à moitié)... Bref ça se laisse mater quoi.. Ca m'a rappelé aussi que c'était Daniel Espinosa à la réal et que je devais me mater son "Easy Money".

 

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Bon, le film est très marrant, y'a vraiment des scènes qui font rigoler, Sara Forestier est excellente dans son rôle. En gros elle couche avec des types pour les faire changer d'orientation politique.

Avec du recul c'est quand même assez gentil et même un peu propagandiste.. Après ça m'a pas gêné pcq je suis pas plus politique que ça mais ça se remarque fort, heureusement le film se prend pas trop au sérieux et en le visionnant comme une simple comédie on passe un bon moment.

 

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Pas terrible.

L'idée est bonne mais quitte à faire un film d'action second degré avec des vieux autant l'assumer jusqu'au bout et pas être le c** coincé entre l'humour et le sérieux. Des fois le film veut se donner un côté sérieux et c'est pas du tout crédible, ça passe pas du tout.

L'histoire est chiante à mourir mais à côté de ça le casting fait plaisir, mention à Malkovich.

J'vois que le 2 va sortir, on verra bien mais je sens déjà le pétard mouillé.

 

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Ca se laisse regarder.

Encore un scénario pas terrible prétextant des scènes d'action (très plaisantes cela dit) où les protagonistes passent leur temps à rechercher l'assassin de leur mère adoptive. L'ambiance oldschool et le casting font la différence.

 

tres bons choix de films :ph34r:

 

rounders c'est parait-il le meilleure film sur le poker, le perso de norton "l’asticot" est super. Damon joue bien dans les scenes de jeu, sinon c'est assez surjoué j'ai trouvé

 

 

edit : marvin :D

Modifié par O.L.H
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Bien aimé.

Difficile d'accès au début, même chiant, puis la rencontre avec James Franco et on rentre dans une sorte de cauchemar envoûtant, sous forme de long clip, avec des plans et images à couper le souffle.

Pour ma part une sorte de "Scarface" des temps modernes, le rêve américain version jeune qui se détruit aussi vite qu'il est arrivé, avec un casting de bitches qui jouent bien les bitches et un James Franco délirant en gangsta inspiré de Riff Raff il m'semble.

La scène avec "Everytime" de Britney ça a fait mouche chez moi..

Bref je pense qu'on aime ou on aime pas... ça peut même être vu comme un simple film de filles braqueuses mais y'a une beauté derrière tout ça..., faut que je le remate.

 

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Comédie sympa..

Le casting est sympa, ça traite un sujet d'actu de façon humoristique et ça marche, le petit jeune fait le taf d'ailleurs c'est le point fort du film, avec Virginie Efira ultra excitante.

 

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Après "The Machinist" et "Transsiberian" ce nouveau film de Brad Anderson me tentait.

C'est pas mal du tout! Cool de revoir Halle Berry qui s'en sort bien, même si pas trop à son avantage.. L'histoire est pas très originale mais la façon dont elle est traitée si, d'ailleurs la première heure est très bien, la tension est là, les scènes s'enchaînent bien et on est scotché devant cette histoire de kidnapping, au point qu'on en oublie les nombreuses incohérences (y'a des trucs assez oufs).

Comme souvent dans ce genre de film, la fin craint, on retarde l'échéance, on fait durer les scènes de poursuites/vengeance, bref pas très intéressant comparé au début.

 

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Un film d'action comme on peut en voir 10 par an, tjrs les mêmes rebondissements avec les traîtres/pas traîtres, nouveau agent CIA,... Les scènes d'action sont pas mal (encore bien) et heureusement Denzel est là, charismatique en bad guy (enfin à moitié)... Bref ça se laisse mater quoi.. Ca m'a rappelé aussi que c'était Daniel Espinosa à la réal et que je devais me mater son "Easy Money".

 

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Bon, le film est très marrant, y'a vraiment des scènes qui font rigoler, Sara Forestier est excellente dans son rôle. En gros elle couche avec des types pour les faire changer d'orientation politique.

Avec du recul c'est quand même assez gentil et même un peu propagandiste.. Après ça m'a pas gêné pcq je suis pas plus politique que ça mais ça se remarque fort, heureusement le film se prend pas trop au sérieux et en le visionnant comme une simple comédie on passe un bon moment.

 

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Pas terrible.

L'idée est bonne mais quitte à faire un film d'action second degré avec des vieux autant l'assumer jusqu'au bout et pas être le c** coincé entre l'humour et le sérieux. Des fois le film veut se donner un côté sérieux et c'est pas du tout crédible, ça passe pas du tout.

L'histoire est chiante à mourir mais à côté de ça le casting fait plaisir, mention à Malkovich.

J'vois que le 2 va sortir, on verra bien mais je sens déjà le pétard mouillé.

 

18443223.jpg

Ca se laisse regarder.

Encore un scénario pas terrible prétextant des scènes d'action (très plaisantes cela dit) où les protagonistes passent leur temps à rechercher l'assassin de leur mère adoptive. L'ambiance oldschool et le casting font la différence.

Une tuerie ce post :P

 

 

C'etait son anniv ya pas longtemps


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Marvin mon héros <3

 

Et en fait ouais, sur les 7 films, y'a pas grand chose qui sort du lot, je vous conseil quand même "The Call" et "Le nom des gens".

 

"Springbreakers" c'est spécial vraiment... un peu comme "Only God Forgives" des ovnis, j'ai kiffé les deux.

 

Je materai ça OLH, je materai ça... "Las Vegas 21" était sympa niveau films de casino

Modifié par Loïc

YES SIR!

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Bien aimé.

Difficile d'accès au début, même chiant, puis la rencontre avec James Franco et on rentre dans une sorte de cauchemar envoûtant, sous forme de long clip, avec des plans et images à couper le souffle.

Pour ma part une sorte de "Scarface" des temps modernes, le rêve américain version jeune qui se détruit aussi vite qu'il est arrivé, avec un casting de bitches qui jouent bien les bitches et un James Franco délirant en gangsta inspiré de Riff Raff il m'semble.

La scène avec "Everytime" de Britney ça a fait mouche chez moi..

Bref je pense qu'on aime ou on aime pas... ça peut même être vu comme un simple film de filles braqueuses mais y'a une beauté derrière tout ça..., faut que je le remate.

 

20446783.jpg

Comédie sympa..

Le casting est sympa, ça traite un sujet d'actu de façon humoristique et ça marche, le petit jeune fait le taf d'ailleurs c'est le point fort du film, avec Virginie Efira ultra excitante.

 

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Après "The Machinist" et "Transsiberian" ce nouveau film de Brad Anderson me tentait.

C'est pas mal du tout! Cool de revoir Halle Berry qui s'en sort bien, même si pas trop à son avantage.. L'histoire est pas très originale mais la façon dont elle est traitée si, d'ailleurs la première heure est très bien, la tension est là, les scènes s'enchaînent bien et on est scotché devant cette histoire de kidnapping, au point qu'on en oublie les nombreuses incohérences (y'a des trucs assez oufs).

Comme souvent dans ce genre de film, la fin craint, on retarde l'échéance, on fait durer les scènes de poursuites/vengeance, bref pas très intéressant comparé au début.

 

Spring Breakers : Je fais partie de ceux qui n'aiment pas. Le montage m'a saoulé, le délire m'a saoulé, et l'ambition derrière cet objet informe m'a saoulée. (1/10)

 

20 ans d'écart : On est d'accord, c'est plutôt frais. Et le duo fonctionne bien. Après, voilà quoi, c'est quand même un des nombreux exemples qui montrent que le ciné français ne fait que ça : des romcom, des romcom et des romcom. Même si c'est pas dégueulasse, un peu de créativité et de diversité ça ferait du bien. Tout est plus ou moins pompé sur les comédies US des années 2000 en plus. (5/10)

 

The Call : J'en pense la même chose que toi. Une première partie rythmée, avec un réal' qui fait le taf'. Vraiment une bonne surprise à ce niveau-là. La fin part en cacahuètes, mais bon. (7/10)

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Au fait ça fait un bye que j'ai pas posté de critiques, j'en profite que Loic ait relancé le topic ciné en bonne et due forme pour vous en proposer deux, sur les deux premiers volets de Toy Story, que j'ai revu récemment. :wub:

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Imaginez un peu que les jouets du monde entier, à l'abri de notre regard, prennent vie et mènent leur propre existence. Alléchant n'est-ce pas ? Eh bien c'est ce concept, ou devrais-je dire ce fantasme, qui est à l'origine de Toy Story. Film d'animation par excellence dans le sens où il est celui qui, encore plus que les autres, nourrit les rêves secrets des enfants et leur désir inné de croire en la magie de ce monde. Regarder Toy Story c'est comme attendre le père Noël : une partie de nous sait que ce ne sont que des foutaises et une autre partie de nous a envie d'y croire. Quel gamin n'a pas regardé ses jouets différemment après avoir vu ce film ? Moi, pour essayer de surprendre mes parents, j'installais mes jouets dans les endroits les plus improbables qui soient. Je foutais un soldat au milieu des brosses à dents, Superman sur le rebord de la fenêtre, prêt à prendre son envol, ou, ce qui me valu d'ailleurs de sérieuses remontrances, une trentaine de petites voitures au beau milieu d'un couloir. Je faisais cela parce que je voulais que mes parents s'imaginent que mes jouets, eux aussi, menaient leur propre existence.

Cette anecdote anodine en dit long sur ce que représente le film. Sur la complicité qu'il entretient avec les enfants, leur imaginaire, leur ingénuité. Il convoque à la fois leur naïveté et leur imagination. C'est pour cela que je le considère comme le film d'animation alpha. Bien qu'il soit difficile, près de vingt ans après sa sortie en salles, de ne pas reconnaître le coup de vieux (visuel) qu'il accuse. Dans son rôle de précurseur, puisqu'il est le premier film d'animation à avoir été réalisé exclusivement en images de synthèse, il paraît aujourd'hui dépassé. En dépit de l'ambiance plaisante du quartier américain au sein duquel se déroule l'action, certaines spécificités de l'image sont assez ringardes, pour ne pas dire tout simplement moches. Comme c'est le cas de quelques personnages, dont Andy, le petit garçon qui possède tous ces jouets. C'est un film qui, dans ses graphismes, fait très PS1. À l'heure de la PS4 on ne peut que s'en apercevoir et souhaiter, pourquoi pas, une remasterisation pour le vingtième anniversaire du film.

Toy Story raconte donc, du moins au début, l'histoire d'amour fusionnelle entre Andy, neuf ans, et Woody, son jouet préféré, un cowboy à la corde vocale infaillible. Sans trop m'avancer il me paraît évident qu'Andy cherche à panser une blessure profonde de sa vie en passant autant de temps avec ses jouets (dont il est dépendant). L'absence de son père en suggère la mort ou le départ, raison pour laquelle il recrée, à travers Woody dans un premier temps et Buzz par la suite, une figure masculine forte et dominante. Ce n'est cependant pas selon le point de vue d'Andy que nous découvrons cette histoire mais bien selon celui de Woody et, plus largement, des jouets. Pour ces derniers les grandes dates de l'existence sont les anniversaires, Noël, ou les déménagements : tous ces moments où de nouveaux jouets risquent de faire leur apparition et sont ainsi à même de venir chambouler leur quotidien. Dans l'ensemble très peureux, les jouets craignent par dessus tout le changement.

Seul Woody, leader naturel de la chambre, les réconforte en leur assurant qu'ils n'ont rien à craindre. C'est pourtant lui, le plus confiant d'entre tous, qui va subir le plus brutalement l'arrivée de Buzz l'éclair, nouveau jouet qu'Andy s'est vu offrir pour son dixième anniversaire. D'un côté nous avons ce super-héros spatial aux gadgets multiples, sorti tout droit d'un film de science-fiction, et de l'autre un cowboy qui ne fait visiblement pas le poids. Relégué au terrible rang de « second jouet favori d'Andy », au profit de Buzz, la jalousie va s'emparer de lui et le pousser à créer une rivalité de circonstance. Difficile de ne pas y voir une allégorie de la concurrence entre la localité et la mondialisation, avec d'une part l'archétype de ce que l'Amérique a de plus traditionnel (le shérif) et d'autre part ce vers quoi elle tend (l'extension : vers l'infini et au-delà). Le message est ainsi à la cohabitation, à la force par l'union, à la considération du passé (Woody) en s'appuyant sur le présent (Buzz) pour servir le futur. Woody représente aussi l'homme simple, sans artifices, tandis que Buzz est un homme-machine : on y voit donc, en plus, le rapport au progrès technique, aux avancées technologiques, à la crainte des hommes d'être remplacés par les machines, crainte extrêmement répandue dans les années 90.

Mais Toy Story c'est avant tout une aventure de jouets, alors ce n'est pas aussi chiant que mon paragraphe précédent. Toy Story c'est une histoire de tyrannosaure peureux, de chien à ressorts, de spiderbaby, de monsieur Patate, et de blonde bergère top modèle. Et c'est surtout l'histoire d'un duo improbable qui va se former entre Woody et Buzz, isolés, perdus, qui essaient tant bien que mal de rejoindre la chambre d'Andy avant le déménagement de toute la famille. Les péripéties des deux jouets pour rentrer au bercail vont être exaltantes, et ce malgré un début que j'ai jugé, en revisionnant le film, plus mou que dans mes souvenirs. Le film prend définitivement son envol lorsque Woody et Buzz se retrouvent prisonniers dans la chambre de Cid, un espèce de double démoniaque d'Andy qui arbore un t-shirt dotée d'une tête de mort et s'amuse à décapiter ses propres jouets. Buzz, tombé de haut après s'être rendu compte qu'il n'est qu'un jouet (ce qui constitue d'ailleurs la plupart de l'humour du film) va malgré tout vivre cette aventure exceptionnelle à laquelle il se pensait prédestiné (une manière d'accroître le rêve, l'illusion, le fantasme, qui irriguent le film).

On s'empare bien évidemment de la petitesse des jouets (qui n'est pas sans rappeler celle de L'Indien du placard) pour bonifier les séquences d'action (le stratagème que Woody met en place pour quitter la maison de Cid est l'un des moments forts du film) et l'aventure atteint son apogée lors du final décoiffant. Seul bémol, les chansons du film, aussi inutiles qu'inintéressantes (et ils ont en plus trouvé le moyen de nous resservir du Roi Lion, comme si on en avait pas assez déjà bouffé...). Mais c'est vraiment la seule chose qu'on peut reprocher au film. Autrement c'est fun, c'est frais, et ça ne prend pas une ride ; dans notre cœur tout du moins.



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Après un premier épisode se concentrant uniquement sur la rencontre Buzz/Woody, au détriment des personnages secondaires qui, pour les besoins du scénario, n'apparaissaient que peu à l'écran, il semblerait que John Lasseter et sa bande aient voulu faire les choses bien pour cette suite. En gardant un schéma sensiblement identique au premier volet, ils ont bonifié l'aventure en la rendant à la fois plus dynamique, plus drôle, et moins prévisible. Faisant de ce nouvel opus non pas une suite sans saveur mais, au contraire, une version améliorée, exploitant avec un meilleur équilibre tout le potentiel du concept des jouets vivants (dans les enjeux de leur existence ainsi que leur variété). Sans vouloir renier l'œuvre originelle, il est vrai qu'après avoir vu la suite on ne peut presque que regretter que le premier opus ne soit pas aussi décapant. Quoi qu'il en soit c'est un véritable plaisir que de se retrouver devant une histoire qui, à la place de stagner (ou régresser), monte en puissance. Si toutes les sagas pouvaient en faire de même...

Quand je disais que le schéma de Toy Story 2 était à peu près équivalent au 1er, je ne mentais pas : on retrouve la peur chronique des jouets d'être délaissés. Ça ne passe plus par l'arrivée d'un potentiel concurrent à Woody, mais par la prise de conscience du détériorement physique des jouets (si je puis l'appeler ainsi) et de la maturité inévitable d'Andy. Le premier quart d'heure met cela en place brillamment, en exploitant déjà avec plus de finesse l'ensemble des jouets présents dans la chambre. C'est ainsi que le tyrannosaure, Monsieur Patate, le chien à ressorts etc. sont tout de suite davantage mis en lumière. Nous qui avions déjà bien conscience de leur potentiel comique, on ne fera que d'aller de bonne surprise en bonne surprise tant, dans ce film, c'est presque le groupe qui vole la vedette à l'individu (Woody).

Comme la chambre d'Andy n'est évidemment pas propice à l'aventure mouvementée qu'on attend d'un film de jouets, nous nous retrouverons très vite en dehors, la chambre ne devenant plus qu'un espèce de but final (comme dans le 1) que nous, en tant que spectateurs, ne sommes pas pressés de retrouver. Cette fois ce n'est pas Buzz mais Woody qui aura besoin d'être secouru. Et ce n'est pas un personnage mais plusieurs qui iront le chercher. C'est pour cela que je parlais d'équilibre : la plupart du film se déroule de manière binaire, avec d'un côté Woody et de l'autre la troupe de jouets partis pour le sauver. Ce qui permet d'ajouter du rythme et de la diversité. D'autant plus que Woody sera amené lui aussi à rencontrer de nouveaux personnages, donnant véritablement la sensation que les scénaristes ont mis un point d'honneur à satisfaire les attentes du public, qui voulait peut-être un film moins unilatéral que le précédent.

Le film offre aussi la possibilité d'en savoir plus sur Woody, ses origines, ce qu'il représente. Sa rencontre avec Jessie approfondissant encore plus la peur ancestrale de tout jouet, qui s'apparente à une peur de la mort chez les hommes. C'est en partie pour cela que le film fait parfois froid dans le dos, en suggérant la possibilité d'être délaissé, mis en carton, rangé à l'ombre pour l'éternité, avec pour seule compagnie le noir et la poussière. Ce n'est pas non plus terrifiant, sinon le film perdrait de sa superbe, mais c'est assez intense pour offrir un bon contrepoint à la folie et à l'humour qui éclatent autour, sans retenue. L'émotion arrive même à passer, chose rare dans ce genre de films, où nous sommes généralement bien trop occupés à nous amuser. Le flashback revenant sur l'ancienne vie de Jessie est un des moments forts du film, non pas pour une quelconque charge comique, mais bien pour sa manière de faire prendre conscience de cette phobie du détachement. C'est retranscrit avec tant d'humanité que j'ai le sentiment qu'y compris les plus jeunes pourront y être sensibles. Ce qui est un excellent point.

Outre ce flashback, il y a aussi d'autres séquences qui nous permettent de nous évader le temps de quelques secondes : le cauchemar de Woody, l'introduction ou encore la série télévisée à la gloire du cowboy. Cela peut paraître anecdotique mais c'est ce qui permet, entre autres, à cet opus de trouver davantage de grâce à mes yeux, d'atteindre la quasi-perfection, parce qu'il ne laisse rien au hasard. Cependant, ne nous y trompons pas, si le film fonctionne aussi bien c'est avant tout grâce à l'expédition menée par Buzz et les autres jouets. Chaque ligne de dialogue et situation prêtent à (sou)rire, avec notamment en point d'orgue la séquence dans le magasin de jouets. Entre la rencontre avec le Buzz v2.0 ou la barbie polyglotte, difficile de ne pas être traversé par l'hilarité. Toutes ces situations permettent à certains personnages secondaires de se révéler, littéralement. C'est le cas du tyrannosaure, mon coup de cœur personnel (avec notamment un hommage à Jurassic Park – plus subtil que celui de Star Wars – extraordinaire).

Sa maladresse et son obsession pour Zorg sont autant de caractéristiques qui en font, à mon sens, l'atout comique numéro un. Ne serait-ce que de l'apercevoir est un régal. Mais il n'est pas le seul et à vrai dire il est presque impossible de choisir entre tous ces personnages tant ils apportent chacun, à leur manière et au moment opportun, leur contribution. Pour cela le générique ne s'y trompe pas : la pluralité fait la force du film. Son imprévisibilité aussi. Bien entendu nous savons déjà comment ça va se terminer, mais j'ai malgré tout eu l'impression que les différentes étapes de l'aventure étaient moins attendues que par le passé. Sans vouloir encore une fois enfoncer le clou sur la supériorité du 2 au 1, la sensation d'être davantage surpris et époustouflé ne peut être contestée. Et puis, de toute façon, pour la séquence finale nous passons d'un camion à un avion : personne ne peut battre ça.

 

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Le casting est alléchant, en effet. L'affiche ne me tente pas trop, en revanche. Ni le titre. Qui réalise ?

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Très bon, oui. ;)

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Ah c'est le mec qui a fait Morning Glory et Week-End Royal. :(
Le 1er je l'ai trouvé mauvais même si correct pour son genre (grâce à la pétillante Rachel McAdams), et le second je l'ai juste trouvé ennuyeux à mourir.

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Après faut pas non plus faire passer Ben Affleck pour ce qu'il n'est pas : Argo est un divertissement de haute volée, bien rythmé, avec de l'humour, du suspens, et une reconstitution élégante. Au-delà de ça y a pas grand chose à creuser. Y a un pseudo patriotisme qui fout la nausée sur la fin et la réalisation fait le boulot sans faire preuve du moindre génie (ce n'est pas ce qu'on lui demande). Un bon film-à-oscars, un film qui fait l'unanimité parce que y a pas de raison de le trouver mauvais, à moins d'être contre la hype qu'il a engendré. Mais c'est pas un film mémorable ni un must-see de l'année 2012 : loin de là.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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