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Messages recommandés

Il est bon le film Alruud?

 

C'est vu et revu, on a même l'impression que l'on a écrit le scénario... mais bon ça se regarde !!!

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Vu Startreck, je pense que les fans vont pleurer, j'attznd une news de la BBC qui devrait annoncer la pendaison de Sheldon Cooper!

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Y paraît que c'est bien quand même. J'suis curieux de voir ce que ça donne. Je ne connais rien de ST de toute façon.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Comme souvent la premiere moitiée est pas trpp trop mal, mais ensuite entre mechant sans charisme, chose previsibles, fin nulle et ah oui choses étranges, tu restes sur une sale impression.

 

Note que de tout les films 3d que j'ai vu cette dernière est mieux exploitée; encore que l'environement s'y prete plus facilement.

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Peu connu pour pas dire pas du tout et pourtant tellement bon avec notamment la présence de Sean Bean pour les fans de GOT !!!

 

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Modifié par Alruud
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Stark Trek Into Darkness : j'ai trouvé ça mauvais. J'ai rien ressenti de bout en bout et ne suis pas parvenu à entrer dans le film. En + j'ai trouvé que ça n'en finissait jamais. Sans parler des personnages féminins, ridicules. Alors visuellement c'est parfois époustouflant mais rien de sensationnel. La patte visuelle manque d'âme. J'ai souri de temps en temps. C'est tout.

 

Non, c'est quoi, de qui, et ça sort quand, American Nightmare ?

 

Loïc : je regarderai la BA plus tard dans la soirée. :)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Stark Trek Into Darkness : j'ai trouvé ça mauvais. J'ai rien ressenti de bout en bout et ne suis pas parvenu à entrer dans le film. En + j'ai trouvé que ça n'en finissait jamais. Sans parler des personnages féminins, ridicules. Alors visuellement c'est parfois époustouflant mais rien de sensationnel. La patte visuelle manque d'âme. J'ai souri de temps en temps. C'est tout.

 

Non, c'est quoi, de qui, et ça sort quand, American Nightmare ?

 

Loïc : je regarderai la BA plus tard dans la soirée. :)

American Nightmare = The Purge en VO

Il a l'air très bien, y'a un autre film qui sort en même temps qu'il lui ressemble aussi dont j'ai oublié le nom

 

Dans un futur proche, les Etats-Unis sont entrés dans une ère prospère, sans crime ni chômage. Et ce pour une unique raison : tous les ans, pendant une nuit entière, le gouvernement autorise quiconque à se livrer à une violence totale et légale. Cette nuit-là, la police ne répond à aucun appel, les hôpitaux ferment leurs portes. Cette nuit-là, alors que personne ne peut être puni et que le pays est à feu et à sang douze heures durant, une famille se retrouve au coeur de l'horreur alors qu'un étranger vient frapper à sa porte ... Réussiront-ils à survivre à la nuit ?

YES SIR!

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STAR TREK INTO DARKNESS : Spocktateur.

 

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Star Trek et moi, c'était terrain vierge. Jusqu'alors je ne m'imaginais Stark Trek que comme un sous-Star Wars dont je ne connaissais pas la source : une série télé, des romans, des films ? Apparemment tout ça à la fois. Et de cet univers, semble-t-il vaste et inépuisable, je n'étais familier qu'avec un certain Spock, par l'intermédiaire de Sheldon Cooper. (Oui, désolé, je suis jeune). Par conséquent, je n'attendais pas grand chose de ce ST Into Darkness, et je ne l'aurais sûrement pas vu si vous ne vous étiez pas mis à gémir qu'il s'agissait du meilleur blockbuster depuis Iron Man 3 (sic). J'ai même osé penser que ce serait peut-être une énorme surprise, qui me donnerait envie d'en connaître plus sur le background de la saga. Et en fin de compte, pas de surprise : c'était effectivement dispensable.

 

Le sentiment qui s'est emparé de moi au long du film fût un sentiment de profond désintérêt. Je n'ai, à aucun moment, ressenti le moindre enthousiasme pour cette histoire ou la moindre empathie pour ces personnages. D'où le titre de ma critique (qui a de quoi faire rager real_folk_blues et son double maléfique asiatique). Il arrive en effet à ST Into Darkness d'être beau, grandiloquent, euphorisant. Mais la mécanique paraît si usée qu'on a du mal à ressentir quoique ce soit. Les blockbusters - pour moi - c'est rouillé. Et là je trouve que le film n'apporte vraiment rien d'original, de rafraîchissant. Le film nous parle du « je et du nous », en mettant l'accent sur l'amitié, la loyauté, le sacrifice, et comment ces éléments peuvent entraver la logique, les règles, les responsabilités. Pour ce faire il se focalise à fois sur le duo Kirk/Spock, sur Khan, et sur l'amiral Marcus.

 

Chacun d'entre eux, à leur manière, ont à gérer (ou ont eu à gérer) le dilemme cornélien : objectifs ou sentiments. Dès l'introduction Kirk doit aller à l'encontre d'un concept fondamental de son peuple (qui est de ne jamais exposer leur technologie à des planètes/populations sous-développées) pour sauver Spock. Par la suite nous retrouverons ce schéma à de nombreuses reprises, pour en faire véritablement l'élément central du film, celui qui détermine les actions des personnages. Khan, antagoniste assez obscur, se bat pour réveiller ses 71 « frères et sœurs ». Derrière cet être amoral et insensible se cache donc quelqu'un qui souffre de sa solitude, beaucoup plus vulnérable qu'il n'y paraît. La figure monstrueuse qu'il incarne (indestructible et impitoyable) est troublante, car en étroite corrélation avec un désespoir profond, qui nourrit une haine incontrôlée et incontrôlable. Enfin, l'amiral Marcus sera lui aussi confronté à ce dilemme, avec sa propre fille qui s'oppose à lui (même si leur relation est trop peu approfondie).

 

C'est de voir comment chaque personnage se façonne son propre libre arbitre et sa propre morale, en fonction de sa sensibilité, qui m'a le plus séduit. En ce sens je trouve que le film change un peu de la trajectoire classique du héros (Kirk) qui doit franchir des étapes pour assumer son statut de héros. Au contraire, dès le début il a ses propres convictions, et ce n'est pas lui qui va devoir évoluer mais les autres : à commencer par Spock, dont la légendaire insensibilité sera d'abord amusante puis émouvante quand le masque tombe. Cependant, comme je l'ai dit, le film est à mon avis trop linéaire, trop impersonnel, pour réellement donner corps à ses personnages, dont les péripéties ont fini par m'ennuyer. En grande partie parce que l'histoire et ses divers rebondissements m'a paru peu attrayante. L'intrigue n'en finit jamais d'aller de révélation en révélation et, une vingtaine de minutes avant que le film ne s'achève, on en a déjà assez. D'autant plus que la fin, qui n'aurait pas faire plus « happy ending » que ça (avec tous les personnages qui sont passés en revue maladroitement et les pseudo-couples blonds vénitiens d'un côté et bruns de l'autre qui sont affirmés) donne l'impression d'avoir été si prévisible, si huilée, qu'elle en perd toute saveur.

 

Autrement, d'un point de vue visuel le film est plutôt joli, même si les intérieurs de vaisseaux à n'en plus finir ça peut devenir rébarbatif. Toujours est-il qu'il n'y a rien de grandiose et qu'aucune séquence n'a m'a ébloui. Le passage sur Terre à la fin étant clairement la part de gâteau en trop, qui nous donne des remontées acides. Pour être franc, je crois que ce film confirme une chose : je fais une overdose de blockbusters et un combat sur le toit d'un vaisseau ne me procure plus rien d'autre qu'une inébranlable envie de m'assoupir. Spock ou pas Spock. D'ailleurs, une petite anecdote/comparaison sur mon ras-le-bol passager : au début du film, après la première séquence survitaminée digne de tout blockbuster qui se respecte, la musique assourdissante laisse sa place à un réveil électrique qu'un personnage éteint avec lassitude. C'est un peu ce que j'avais envie de faire, parfois, avec le son envahissant ou le montage épileptique (encore que, on a connu pire pour ce deuxième point).

 

Bien entendu j'ai souri quelques fois. Et bien entendu j'ai trouvé la blonde qui tape l'incruste dans le vaisseau comme elle tapait l'incruste dans Entourage canon. D'ailleurs elle ne sert à rien si ce n'est à se désaper (pour respecter le cahiers des charges (et me réveiller)) dans une scène hors-sujet, stupide et agaçante, car écrite avec une b*** à la place du stylo. C'est de toute façon le lot de tous les personnages féminins, qui sont peu (et mal) écrits et qui font véritablement office de faire-valoir. Mais bon les gens vont quand même kiffer et s'outreront devant le prochain Ozon TROOOP MISOGYNE.

 

ST Into Darkness c'était donc un tour de chauffe déjà épuisant. Avant, dans 48 heures, le prochain blockbuster dont-je-ne-prononcerai-pas-le-nom : PAR LE RÉALISATEUR DE LA TRILOGIE BATMAN ET LE RÉALISATEUR DE WATCHMEN & 300 ! PANPANPAN PANPAN PANPAN !

 

T'inquiète Steven, les studios vont encore se gaver comme des oies : http://fr.news.yahoo...-102300759.html

 

Fuckin' faggots :

 

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Man of Steel a reçu des avis très mitigés aux USA.

 

Ils s'en foutent. 125 millions pour son 1er week-end d'exploitation. La promo a fait son taf'. Ils s'en mettent plein les poches. Qu'ils aient fait de la m**** n'a pas d'importance.

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Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Ils s'en foutent. 125 millions pour son 1er week-end d'exploitation. La promo a fait son taf'. Ils s'en mettent plein les poches. Qu'ils aient fait de la m**** n'a pas d'importance.

J'avoue. :D

Si vous avez un doute sur une ou plusieurs sources liées à un transfert de ManUtd : Allez sur ce lien !


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Le pire c'est que je vais quand même aller le voir parce que je suis aussi intrigué. :D

Mais bon, je paie pas. Et le fait qu'ils se fassent quand même de la tune sur mon ticket, j'men b*****.

C'est pas comme si je donnais pas de l'argent à des voleurs tous les jours...

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Man of Steel : d'une nullité.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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C'est encore pire que ce que j'avais craint.

Je me prend Cloud Atlas en Bluray, j'espère aimer.

Je pense pas que tu vas kiffer outre-mesure. C'est pas de la SF super super intelligente (de toute façon, un film de SF intelligent ET grandiloquent, c'est rare (si ce n'est inexistant)). Mais bon, ça vaut le coup parce que c'est une expérience intéressante, et même si les histoires sont inégales, il se dégage du film un certain charme. :)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Suis-je le seul pour qui les citations déconnent ?

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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