Aller au contenu

SK-2peer

Fergie Babes
  • Compteur de contenus

    3679
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    6

Tout ce qui a été posté par SK-2peer

  1. SK-2peer

    Dimitar Berbatov

    Je remarque que Berbatov a accepté le Turn Over et les nombreuses titularisations de Chicharito. Ca montre qu'il est professionnel malgré sa dite "non chalance". C'est vraiment bien de pouvoir compter sur lui à tout moment sans que celui nuise au groupe et aux performances de l'équipe !
  2. Je viens de lire ça : Serieux le Luiz David est le maillon faible de la défense de Chelsea, sur kel base a t il été embauché? De maestro15 | 02/04/2011 - 18:02 ça commence à faire beaucoup les erreurs d'arbitrages contre Arsenal ! Ils ont perdu plus de 5 points à cause des erreurs d'arbitre dont deux fois contre Sunderland. c'est louche ! Ils devraient mettre des arbitres étrangers pour chaque championnat, comme ça il y aurait plus d'objectivité dans les décisions du corps arbitral !
  3. SK-2peer

    Nani

    Oui mais quand tu as Nani dans ton équipe, tu as moins de chance de gagner le match qu'avec un CR7. Après, je vois bien que tu parles de "préférence". Bah dans ce cas, sans parler de leur niveau, j'aurais toujours une préférence pour Cristiano. Même si c'est vrai que Nani a eu l'intelligence de pas faire l'erreur de vouloir devenir un nouveau cristiano. Il exploite enfin ses qualités, épure son jeu et surtout semble être fidèle à Manchester !
  4. L'an dernier, on a tout perdu en une semaine. Là, on est en train de tout gagner en 2 semaines ! Manque plus que la victoire contre City (en plus de la qualif' en C1) et ce sera parfait !
  5. SK-2peer

    Nani

    Je préfère Ronaldo à 42 buts, que Nani à 17 passes décisives.
  6. J'ai trop l'impression qu'il reste que très peu de matchs alors qu'en fait, il y en a durant lesquels, on peut se faire doubler en perdant contre Arsenal et Chelsea par exemple.
  7. Ouai je m'en rappelle. Mais niveau contexte, la dynamique n'était pas la même. Là perso' je voyais pas comment on pouvais se faire surprendre. Alors qu'à l'époque, tous les matchs étaient tendus.
  8. C'était différent. On était pas aussi bien que maintenant. Et on jouais à l’extérieur, non ?
  9. Fulham, marquer ? Comment. C'est pas comme s'ils étaient ultra dangereux.
  10. Gagner sans se fatiguer. C'est parfait.
  11. Fabio joue encore ailier !
  12. J'aime le professionnalisme de PIG, il donne tout jusqu'à la fin ! En tout cas, notre domination me rappelle de bien belles années pas si anciennes. ^^
  13. Avec un supporter gunners, on parlait de foot. Puis, on est venu au cas MU et Arsenal, et je lui ai dit que Ferguson recrutera et qu'on aura une bien belle équipe. Bref, là il me répond "Recruter ? Toujours recruter. Si à Arsenal, on recrute des mec comme Chamack, c'est parce qu'ils sont libres. Ils coûtent pas cher et sont jeunes. Tu verras dans 5 ans." La dernière fois qu'il m'a dit ça, Arsenal était en finale de la C1 contre Barcelone. J'étais en 3e. Aujourd'hui, je suis à la Fac et rien a changé.
  14. 16 ans sans titres. Il a tout prévu, vous inquiétez pas. C'est moi ou Reyes a couté 35M€ ? Nasri 15M€ ? Arshavin 15M€ ? Sagna 10M€ ? Rosicky 11M€ ? Eduardo 8M€ ? Koscielny 12M€ ? C'est pas des masses, mais Arsenal investit. Enfin, dans tous les cas, il faut trouver le juste milieu. Liverpool a beaucoup dépensé sans en gagnant qu'une C1, City n'a carrément rien gagné, comme Arsenal d'ailleurs. En revanche, y a les Chelsea qui ont gagné plusieurs titres et nous, qui continuions à rafler les trophées !
  15. On se plaint tous des 2 matchs de suspensions de Rooney, mais que dire des 7 MATCHS DE SPAHIC !!! :kill:
  16. SK-2peer

    Wayne Rooney

    Rooney ou l'hypocrisie anglaise http://www.actufoot.fr/football/angleterre/rooney-ou-l-hypocrisie-anglaise.html C'est une première nouvelle en Angleterre, Wayne Rooney ne peut pas tout se permettre. Samedi, celui qui a sauvé Manchester United de la déroute à West Ham, via un magnifique triplé (2-4), a également célébré son dernier but par des injures audibles de tous les téléspectateurs. Réaction immédiate de la Fédération anglaise (FA): une enquête lancée et, a priori, deux matches de suspension infligés. Une sanction qui serait pour le moins aberrante quand on sait que l'attaquant anglais avait pu disputer le choc à Chelsea malgré une agression préalable contre Wigan, là-aussi visible de tous les téléspectateurs... La prochaine fois, Wayne Rooney exprimera sans doute sa joie avec plus de retenue... L'attaquant anglais de Manchester United, auteur d'un superbe triplé face à West Ham samedi (2-4), aurait été sanctionné de deux matches de suspension par la Fédération anglaise (FA), nous informe le quotidien anglais The Guardian, à la suite de ses jurons prononcés lors de la célébration de son troisième but, lesquels étaient parfaitement audibles pour les téléspectateurs anglais. Les excuses de la star des Red Devils n'auraient pas suffi et il lui resterait désormais plusieurs options. Accepter la sanction et manquer la demi-finale de la Cup face à Manchester City le 16 avril prochain quoi qu'il arrive, nier les faits et faire appel immédiatement avec le risque d'une sanction alourdie, ou reconnaître les faits, mais contester la durée de la suspension. Dans tous les cas, "Super Roo" a plus de chances de regarder le derby mancunien devant sa télévision ou dans les travées du City of Manchester Stadium que d'y participer... Se taire ou bien déplaire Pour une fois, donc, Wayne Rooney semble être pris au piège d'un étau dont il ne parviendra pas à se sortir. Car quand il s'agit de défendre le conformisme de son petit monde sclérosé, la FA semble bien plus rugueuse qu'une charnière centrale Diawara-Mbia. Du coup, Wayne Rooney, le grossier personnage, le ténébreux voyou des pelouses de Premier League doit être muselé. Il est vrai, quid des jeunes yeux qui regardent ce spectacle si bon-enfant habituellement? Quel message cautionne-t-on si l'on laisse se propager des mots aussi choquants? Soyez sans crainte amis candides, les lenteurs administratives et autres anomalies juridiques disparaissent aisément pour combattre ce grand fléau qu'est la libre parole. Sans sourciller, les dirigeants du football anglais ont enquêté, que dis-je, investigué pour élucider les mystères du vocabulaire de celui que l'on surnomme sympathiquement "Shrek". Ce dernier, qui s'était pourtant excusé, comprenant assez bien le système dans lequel il se meut, sera donc puni. Les puristes de la langue de Shakespeare peuvent dormir tranquilles, au moins pour un petit moment... La perpétuelle croisade contre le "dérapage" verbal a de beaux jours devant elle. Pour autant, cette politique ne fait pas que des heureux. Julien Féret, meneur de jeu génial de l'AS Nancy-Lorraine, et fan dans sa jeunesse d'Eric Cantona, regrettait par exemple que l'on stigmatise le "King" pour ses phrases et ses frasques extra-sportives. "J'étais fan. Ça peut paraître paradoxal parce que je ne suis pas un joueur extravagant (rires), mais c'est surtout sur le terrain que son caractère se voyait beaucoup", avait-il confié à Football.fr en mars dernier. "Il faisait des choses assez exceptionnelles et c'est dommage qu'on en parle moins que les traits de son caractère ou sa vie extra-sportive." Agresser n'est pas tricher... Cette idée de fausser l'histoire d'une carrière n'est en réalité qu'une première étape dans la destruction du football que j'aime. La suivante est bien plus perverse et fait rage dans la Perfide Albion. Il s'agit du laxisme qui sévit à l'égard des bouchers et autres découpeurs de jambes. Nigel de Jong, Joey Barton et autre Ryan Shawcross évoluent en effet comme des rois en Premier League malgré des attentats somme toute réguliers sur les prés. Wayne Rooney est lui aussi concerné par cette tolérance intolérable. Le 26 février dernier, lors de l'écrasante victoire mancunienne à Wigan (0-4), le buteur des Red Devils se fendait d'un méchant coup de coude sur James McCarthy. Non sanctionné par l'arbitre, qui, étrangement, ne fera par de rapport après la rencontre, ce geste ne portera aucun préjudice à Rooney. La justice s'opérera finalement sur le terrain, à Chelsea, où malgré la présence du joueur, MU chutera 2-1. Mais ce match, "Super Roo" n'aurait jamais dû le disputer. "Circulez messieurs, il n'y a rien à entendre!", est désormais inscrit sur l'enseigne de la FA... Man Utd: Giggs surpris par la suspension de Rooney Alors que Wayne Rooney a reçu une suspension pour deux matches après ses insultes proférés à la caméra après son but face à West Ham le week-end dernier, Ryan Giggs s'est montré surpris par l'ampleur de la sanction. "Je ne suis pas surpris par la fureur qui entoure cette affaire à cause du profil de Wayne. Mais une suspension de deux matches? Ça, ça me surprend. Ça n'a jamais été fait auparavant", explique le Gallois sur le site Skysports.
  17. Manchester était apprécié par TF1 quand il y avait Ronaldo et qu'on avait droit au film de la Premier League quand le big four existait encore.
  18. SK-2peer

    Infirmerie

    Pendant 1 seconde, j'ai eu une vision d'horreur, avant de rappeler qu'il était affaibli et que justement, il en avait perdu.
  19. Oui sauf que depuis quelques années, on se contente de se replier très vite et de contenir l'adversaire. Manchester united est devenu une équipe de faignant. Ils ne se donnent à 100% que quand ils en ont envie, quand tout va mal.
  20. L'UEFA adopte le fair-play financier http://www.lemonde.fr/sport/article/2010/05/28/l-uefa-adopte-le-fair-play-financier_1364225_3242.html L'objectif est d'assurer la santé financière du football européen en contraignant les clubs à ne plus vivre au-dessus de leurs moyens. A terme, précise l'UEFA, "les clubs ne devront pas dépenser plus qu'ils ne peuvent générer sur une période donnée". Pour acheter de nouveaux joueurs, il faudra donc utiliser l'argent issu des droits TV, de la billetterie, des produits dérivés, du sponsoring et des primes reversées par les organisateurs de compétition. Les injections de capitaux par de riches bienfaiteurs seront, quant à elles, plafonnées. ADOPTÉ À L'UNANIMITÉ "Si des clubs veulent dépenser 50, 60 ou 70 millions d'euros, pourquoi pas, mais à condition qu'ils aient des revenus suffisants pour continuer à l'avenir", a expliqué le secrétaire général de l'UEFA, Gianni Infantino. Il a précisé à la presse que ces nouvelles règles avaient été adoptées à l'unanimité par le comité exécutif de l'instance européenne. Le non-respect de ces règles pourra être passible, dès la saison 2014-2015, d'une interdiction de s'aligner dans une compétition européenne organisée par l'UEFA, à commencer par la Ligue des champions. En attendant, le fair-play financier sera progressivement mis en œuvre sur une période de trois ans (2010-2012). "Sa pierre angulaire (...), le principe d'équilibre financier, entrera en vigueur pour les rapports financiers émis fin 2010 et qui seront évalués par l'UEFA durant la saison 2013-2014", a expliqué l'instance européenne, qui a placé l'ex-premier ministre belge Jean-Luc Dehaene à la tête d'un groupe chargé d'examiner les comptes des clubs. LA MOITIÉ DES CLUBS EUROPÉENS SONT DÉFICITAIRES Michel Platini a expliqué jeudi qu'il ne s'agissait pas là de pénaliser les clubs : "Nous avons travaillé sur le concept de fair-play financier en étroite coopération avec les clubs. Notre intention n'est pas de les pénaliser, mais de les protéger. Nous avons un accord avec eux", a dit Michel Platini. Il a ensuite affirmé que cet accord marquait "un nouveau départ pour les finances" des clubs de football, et qu'il permettrait de "rétablir une stabilité et un bon sens économiques". Selon une étude récente de l'UEFA, près de la moitié des clubs européens sont déficitaires, et un club sur cinq est dans une situation financière préoccupante. L'Association européenne des clubs a salué cette décision : "C'est une grande réussite, a dit son président, l'ancien international allemand Karl-Heinz Rummenigge. Ces mesures mèneront les clubs de football en Europe vers un système économique plus responsable et, à terme, plus durable." POURQUOI LE FAIR-PLAY FINANCIER NE SERVIRA À RIEN http://www.footineo.com/blogs/un-ballon-debattons/pourquoi-le-fair-play-financier-ne-servira-a-rien-12 C’est donc une révolution théorique mais seulement théorique (et on le verra) que Platini et ses collaborateurs de l’UEFA ont voulu mettre en place pour égaliser les chances « footballistiques ». Motif louable certes, et ceci exprimé sans aucune ironie, mais exposé à d’importantes limites. Le Fair Play Financier qu’est ce que c’est ? L’UEFA a souhaité « favoriser l'équité dans les compétitions de clubs européennes, de même que la stabilité à long terme du football de clubs en Europe. Pour cela, des mesures (ont été) mises en place : obligation pour les clubs atteignant un certain chiffre d'affaires pour une période donnée d'équilibrer leurs comptes (les clubs ne peuvent dépenser systématiquement plus qu'ils ne gagnent) ; donner des lignes directrices sur les salaires et les dépenses liées aux transferts ; fournir des indicateurs sur la durabilité du niveau d'endettement ; obligation pour les clubs d'honorer leurs engagements à tout moment. » En d’autres termes, sans aller dans les détails et les explications (trop...) ennuyeuses, l’idée est qu’un Club doit avoir un Budget à l’équilibre, et ne pas vivre sur de l’endettement (« ne pas dépenser plus qu’on ne gagne »), sous la surveillance d’une sorte de « DNCG Européenne » que nous connaissons bien en France. L’UEFA a donné l’an passé trois ans aux Clubs pour atteindre cet objectif, soit au plus tard en 2012/2013. Les sanctions pourraient aller des amendes aux exclusions pures et simples de Coupes Européennes des Clubs régies par l’UEFA. Et c’est à ce moment là qu’on tremble… Si on se fie à un article du « Sunday Times » du 17 janvier 2010, de très gros clubs auraient aujourd’hui d'importants soucis à se faire sur la stricte application de ce principe, au premier rang desquels Manchester United et Liverpool. Même Manchester City et Chelsea en Angleterre, pourraient être menacés de perdre le droit de jouer une Coupe d’Europe. Arsenal serait le seul du "Big 4/5 à" être épargné. Le journal britannique évoque aussi la perspective de voir le Real Madrid ainsi que l’Inter Milan éliminés sans jouer des Coupes Européennes. La chose peut faire peur...Mais c'est une illusion d'optique. Je reviens en effet sur les deux principales raisons pour lesquelles, et selon moi, ce principe n’a aucune chance de produire ses effets, et devrait même être oublié sous peu. 1/ Un raisonnement improbable. Le Fair Play Financier ne dit pas aux clubs « dépensez moins » (en dépit des « lignes directrices à donner sur les salaires et les dépenses liées aux transferts »… ce qui a tendance à me faire sourire lorsque je songe aux transferts records de l'Eté dernier), il dit encore moins « dépensez autant d’argent que vos voisins » et on est évidemment loin du « dépensez comme les petits copains à fiscalité constante ». Le Fair Play Financier nous dit en réalité « équilibrez messieurs les dirigeants de clubs vos budgets ». Si on fait un peu de prospective, que va t’il se passer, sans faire de la fine microéconomie… ? L’entreprise a deux choix pour améliorer son résultat annuel ou rattraper son budget ou sa rentabilité (et avec toutes mes excuses aux puristes mais on est sur un forum de foot ici… ! : - augmenter ses ventes, en d’autres termes son Chiffre d’affaires, et donc ses clients ou produits ; - ou bien réduire ses charges, c’est la baisse des dépenses. La première voie est assez délicate dans une économie concurrentielle et sachant que, en France en particulier, des gens bien avisés ont dit aux français qu’en travaillant moins, l’avenir serait meilleur avec le développement de la mondialisation et de la concurrence internationale (mais je m’égare). Aujourd’hui, la problématique d’une entreprise est de baisser ses prix de vente pour ne pas perdre son portefeuille de clients, et accessoirement favoriser la consommation des ménages. mais je m'égare (bis). Les entreprises ont face à cela, bien compris que la seule voie pour elles c’était de réduire un poste important de charge et contrôlable : la masse salariale. C’est ainsi que les médias nous gratifient de nombreux plans sociaux qui ne sont qu’une vitrine exposée d’une vraie misère économique. Le club est lui soumis à cette double possibilité pour contrôler ou améliorer son équilibre financier, mais en revanche, il a besoin de sa masse salariale qui est son vrai fond de commerce, et la loi concurrentielle du marché lui dicte une inflation des salaires. Et puis le foot se joue à onze et on peut varier entre 30 et 35 professionnels mais on a un seuil plancher de joueurs requis, surtout lorsque on engage deux équipes professionnelles). Et de toutes façons, on aura toujours 20% des joueurs qui coutent 80% de la masse salariale (la fameuse Loi de distribution normale)…Ce n’est donc pas en éliminant cinq ou six joueurs de l’équipe réserve que l’on rattrapera la masse salariale. Le Real Madrid ne peut à titre d’exemple embaucher Ronaldo aussi ou moins cher qu’à Manchester. Toutes ces équipes e l'Elite qui disposent de deux équipes professionnelles y sont obligées pour se garantir un banc de touche, et donner du terrain de jeu à la politique de formation. Il reste donc aux équipes la hausse de leurs revenus et ça tombe bien, elles en sont maitres : merchandising maillots, droits TV, billetterie, sponsoring, etc… Dans ces clubs laissés à l’engouement populaire, je n’ai pas beaucoup de doutes sur la capacité du public, ou des investisseurs / annonceurs de rester fidèle à leur club et contribuer à sa nécessité de redressement, malgré la hausse des billets, des sollicitations financières de leur club partenaire. Je n'ai pas de doutes sur la capacité de ces clubs à attirer de nouveaux investisseurs pour équilibrer les dépenses et les recettes, même si ce marché des entrées de fonds s’est tout de même un peu saturé ces derniers temps. Il reste au demeurant une autre voie qui est tout simplement celle choisie par Abrahamovitch pour éviter la faillite à Chelsea : transformer la dette en Fonds Propres par une injection de ses propres capitaux (dont certains disent qu’ils ne le seraient pas forcément…propres et je me comprends). Comme tout le monde le sait, le Real Madrid n’a qu’à appuyer sur un Bouton, le Roi d’Espagne, pour faire de même. Qui osera aller s’en prendre au personnage le plus aimé du pays (et qui l’a osé d’ailleurs ?). En résumé, je crois personnellement que les clubs pouvant être menacés ont largement les moyens, et le temps, de rattraper leur budget et sans baisser leurs avantages concurrentiels par rapport aux parents pauvres du football européen dont font partie nos clubs français. Mais avant cela, mon avis est qu’ils ne vont pas rester sans rien faire, et en discuter entre eux et j’en viens donc à ce que l’on appelle la force d’un « Lobby », G14 en tête…
  21. Gerrard lui a tout appris. C'est pour ça que Drogba n'est pas content, il a trouvé plus fort que lui !
  22. Il avait aussi plongé en première période quand Ferdinand l'a ramassé.
  23. Ils ont peut-être été influencé par Torres le plongeur. Et aussi, ont-ils peut-être cru que c'est Evra qui tapait le ballon, et pas la cuisse de Ramires car de dos, on penserait cela.
  24. SK-2peer

    Patrice Evra

    Pourquoi à la télé française, il dit qu'il y a pénalty alors qu'aux anglais, il dit clairement qu'il touche la balle, et qu'il a jamais eu peur que la faute soit sifflée ?
  25. J'suis d'accord avec toi. Mais bon.. Terry l'aurait tiré sur le poteau...
×
×
  • Créer...