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Tennis, ATP, Lyon Le titre pour Grosjean Le Français Sébastien Grosjean a remporté le tournoi de Lyon au détriment de son compatriote Marc Gicquel (7/6 6/4). Sébastien Grosjean a battu Marc Gicquel dimanche en finale du tournoi de Lyon (7/6 6/4). Le Français décroche le 4e titre de sa carrière. Gicquel échoue quant à lui pour la deuxième fois consécutive en finale du tournoi rhodanien. Résultat de la finale : Grosjean (Fra) - Gicquel (Fra) 7/6 6/4 source:: sport24.com

Bolton ne gagne pas Malgré un but d’Anelka, Bolton n’a toujours pas réussi à gagner, face à Aston Villa (1-1). Anelka avait ouvert le score (22e), mais comme d’habitude, Bolton n’a pas tenu son résultat, après un but de Moore (56e). Gary Megson a donc manqué ses débuts en Premier League avec son nouveau club. source:: sport24.com

Le Real Madrid renonce à Kaka Le Real Madrid a décidé de cesser ses efforts pour tenter d'enroler le Brésilien de l'AC Milan, Kaka. Pedja Mijatovic, son directeur sportif, l'assure dans un entretien au journal Marca de dimanche, au terme de mois de rumeurs sur son éventuel transfert dans la capitale espagnole. «On a beaucoup parlé de ce joueur depuis un an et demi. Il plait à tout le monde. Mais nous connaissons sa situation et où il joue, nous passons à autre chose». Le Real Madrid «ne peut pas se permettre de perdre trop de temps à essayer d'obtenir quelque chose de très difficile», a-t-il ajouté. Par ailleurs, le directeur sportif du leader du championnat espagnol a affirmé que le Real, sauf imprévu, ne recrutera pas de joueurs cet hiver. «Avec l'effectif que nous avons, nous n'allons pas recruter cet hiver si rien de bizarre n'arrive. Nous n'avons pas besoin de recruter en janvier», a-t-il déclaré. source:: lequipe.fr

BERCY EN MODE MAJEUR Souffrant d'un emplacement délicat dans le calendrier, le Masters Series de Paris-Bercy fait peau neuve cette année. Amputé des meilleurs mondiaux lors des dernières éditions, le plateau 2007 s'annonce cette fois relevé... sauf forfaits de dernière minute ! Entre Roger Federer, Rafael Nadal ou encore Novak Djokovic, Richard Gasquet, épaulé par sept autres Français, abat sa dernière carte pour accéder au Masters. Quatre ans que le n°1 mondial Roger Federer n'a pas fait le déplacement du côté du Palais Omnisports de Paris-Bercy afin de disputer le dernier Masters Series de la saison, un des trois qu'il n'a jamais remportés (avec Rome et Monte-Carlo). Quart de finaliste à deux reprises (en 2002 et 2003) en quatre participations, le Suisse n'est pas le seul joueur trônant en haut de la hiérarchie mondiale à avoir décliné les précédentes invitations au tournoi parisien. La nouvelle surface, comparable à celle utilisée à Bâle ou à Shanghaï, serait-elle une des raisons du retour des ténors ? A moins que le «super bonus» de 3 millions de dollars, réservé aux quatre premiers de la Race, n'ait eu une influence à l'heure où la place de n°1 n'est pas encore tout à fait jouée. En tous les cas, il s'agira d'une grande première pour Rafael Nadal, si à l'aise du côté de la Porte d'Auteuil. Le double tenant du titre à Roland-Garros sera-t-il aussi confiant sur la surface de Bercy que sur la terre battue de l'Ouest parisien ? L'Espagnol imitera-t-il Andre Agassi, seul joueur à avoir remporté les Internationaux de France et Bercy la même année (en 1999) ? Le Majorquin semble ultra motivé : «Il y a une atmosphère particulière, Madrid et Paris sont les deux tournois les plus importants de la saison indoor, j'aimerais beaucoup gagner à Bercy.» Mais la fatigue de l'organisme inhérente à la fin de saison, qui avait conduit le Majorquin à renoncer au rendez-vous parisien ces dernières années (et Andy Roddick à renoncer vendredi) pourrait être déterminante. «L'un de mes objectifs de 2007 était de m'améliorer en indoor. Nous savons que le calendrier est long et difficile. En fin de saison, tous les joueurs sont fatigués.»

Ferrer qualifié David Ferrer a obtenu sa place au Masters de Shanghai. Après Roger Federer, Rafael Nadal, Novak Djokovic, Nikolay Davydenko et Andy Roddick, David Ferrer a obtenu son billet pour la Masters Cup de Shanghai disputée du 11 au 18 novembre prochain en Chine. Il reste deux tickets à prendre derrière l’Espagnol. source:: sport24.com

La Juve chute La Juventus Turin s’est inclinée samedi soir à Naples (3-1) à l’occasion de la 9e journée. Alors que Del Piero avait ouvert la marque pour la Juventus Turin, Gargano et Domizzi, à deux reprises sur pénalty, ont inversé la tendance. Naples s’impose finalement 3-1. Une mauvaise opération pour les Turinois, actuellement 2es de Serie A. Résultats de la 9e journée : Samedi Torino - Cagliari 2-0 Naples - Juventus Turin 3-1 Dimanche Parme - Livourne Sienne - Reggina AC Milan - AS Rome Palerme - Inter Milan Genoa - Fiorentina Lazio Rome - Udinese Empoli - Atalanta Bergame Catania - Sampdoria Gênes source:: sport24.com

L’inter sans Adriano L’entraîneur de l’Inter Milan Roberto Mancini a décidé de ne pas retenir Adriano pour le match contre Palerme. En panne d’efficacité depuis le début de saison, l’attaquant brésilien de l’Inter Milan, Adriano, n’a pas été retenu pour le match contre Palerme dimanche. Le gardien remplaçant Toldo ne fera pas non plus le déplacement. source:: sport24.com

Marseille maudit Deux buts contre leur camp, un penalty manqué et un poteau. La soirée marseillaise à Sochaux (défaite 1-2) s'est révélée cauchemardesque. Les Olympiens font d'ailleurs leur retour dans la zone rouge... Compte rendu du match Trois jours après le résultat nul obtenu en Ligue des Champions face à Porto (1-1), Marseille se déplaçait sur la pelouse de Sochaux, qui présente le pire bilan de la Ligue 1 à domicile. Pour réussir à obtenir leur premier succès hors de leurs bases, les Phocéens pouvaient compter sur Samir Nasri, enfin de retour après un mois d’absence. Décisif Zubar Et malgré une entame qui laissait entrevoir une volonté doubiste de mettre la pression d’entrée, les hommes d’Eric Gerets allaient idéalement entamer la partie. Zubar, sur plus de soixante mètres, lançait idéalement Niang dans la profondeur. Le Sénégalais, après avoir fixé Richert, ne pouvait gâcher cette offrande en ouvrant la marque d’un tir croisé (1-0, 9e). Cependant, sur le plan du jeu, il faut bien dire que les partenaires de Valbuena ne proposaient pas grand-chose. Au contraire de Lionceaux qui ne renonçaient pas à leurs bonnes initiatives. Dramé tentait de répliquer quasi-immédiatement mais enlevait trop sa frappe (12e), avant que Dalmat ne se crée deux énormes opportunités. Sur un tir terrible repoussé par Mandanda tout d’abord (21e), puis en loupant un but tout fait ensuite (27e). Entre temps, Erding avait permis à Mandanda de s’illustrer une nouvelle fois sur un joli tir en pivot (26e). La volonté sans faille des hommes de Hantz allaient toutefois trouver récompense quelques minutes plus tard. Zubar se chargeant d’expédier au fond, de la tête, un centre de Birsa (1-1, 29e). Le dernier quart d’heure allait ensuite voir les débats s’équilibrer. Dalmat loupait le cadre sur coup franc (34e) avant que Niang ne manque, de peu, d’offrir le but à Valbuena (44e). La poisse de Cissé Un nouveau tournant marquait le début de la seconde période. Malgré l’entrée de Djibil Cissé pour apporter un plus offensif à des Marseillais bien timides, les hommes d’Eric Gerets allaient subir un nouveau coup du sort. Erding, après une belle action doubistes, centrait fort dans la surface. Bonnart, en voulant dégager d’une tête plongeante, expédiait à son tour le ballon dans ses propres filets (2-1, 50e) ! Dur, dès lors, pour les Phocéens d’esquisser une réaction même si Niang, en expédiant une frappe croisée de peu hors cadre, tentait de répliquer immédiatement (51e). Il faut bien dire que la chance n’était pas, ce samedi soir, du côté des Phocéens. Après un penalty oublié par M.Ennjimi (54e), Cissé touchait du bois sur une frappe puissante (74e). Pire, sur un penalty, ce coup-ci peu évident, obtenu par Niang devant Richert, le numéro 9 marseillais frappait bien trop mollement pour tromper Richert, pourtant KO quelques secondes plus tôt (79e). C’en était trop pour les hommes de Gerets qui n’allaient plus se montrer dangereux par la suite. A l’inverse, Birsa (82e), puis NDaw (87e), tentaient leur chance sans réussite. Sochaux remporte donc sa première victoire de la saison alors que Marseille sombre au terme d’une soirée cauchemardesque. Le jeu et les joueurs La grande attraction de cette rencontre était le retour sur les pelouses de Samir Nasri après un mois d’absence. Le meneur de jeu phocéen, logiquement, s’est montré un peu à la peine physiquement, voyant même souvent le virevoltant Valbuena lui voler la vedette par sa disponibilité. Au rang des maudits du soir, Zubar et Bonnart se disputent la palme. Au crédit du défenseur central, on notera tout de même une jolie passe décisive, même si son erreur l’a ensuite complètement déstabilisé. Enfin, Mamadou Niang a été le phocéen le plus dangereux, Djibril Cissé ayant quant à lui fait preuve d’une incroyable maladresse. Il serait cependant injuste de résumer cette rencontre à un seul concours de maladresse. Car les hommes de Frédéric Hantz ont offert une belle performance qui justifie pleinement d’avoir obtenu les trois points. Sur le plan individuel, on notera les belles prestations de Birsa, très remuant et poison constant aux côtés d’Erding, qui a contraint Bonnart à une terrible erreur. Dalmat, qui retrouvait pour l’occasion un des ses (nombreux) anciens clubs, s’est montré très à son avantage alors que Pitau a fait preuve d’une grosse activité source:: sport24.com

Les demi finales à Lyon Sébastien Grosjean a infligé une véritable leçon à son cadet Jo-Wilfried Tsonga, samedi à Lyon. Le Marseillais jouera le titre face à Marc Gicquel, déjà finaliste en 2006. Il s'agit de la deuxième finale franco-française consécutive. Elle donnera un sixième vainqueur tricolore. Sébastien Grosjean (FRA) bat Jo-Wilfried Tsonga (FRA) 6-1, 6-2 Il faut toujours écouter les anciens. Ils ont toujours de belles histoires à raconter, des histoires de Grand Chelem et de titres obtenus en France. A Lyon, Sébastien Grosjean ne s'est jamais imposé, mais ses victoires à Paris, sa finale à Marseille, ont soudainement pesé très lourd dans la balance face à Jo-Wilfried Tsonga. Nerveux, soumis à un bombardement en règle sur les retours de Grosjean, le Français qui a le plus progressé cette saison a mesuré l'écart qui le sépare encore du "gratin" du classement ATP. Grosjean ne fait plus partie des meilleurs joueurs du monde, mais sa vitesse de bras est intacte. Son sens tactique est encore aiguisé et c'est certainement ce qui a fait la différence. Pilonné sur son service, Tsonga a paniqué et perdu le tempo qui avait fait de lui le joueur à suivre du tournoi. "Je savais que Jo abordait sa première demi-finale sur le 'grand' circuit ATP. Il fallait que je le tienne et l'agresse dès le début. Il s'est crispé ", a expliqué Grosjean. La revanche est déjà programmée pour Bercy, au premier tour, dans moins d'une semaine.En attendant, les deux joueurs vont jouer ensemble, en double ! Marc Gicquel (FRA) bat Alejandro Falla (COL) 4-6, 6-2, 7-6 (9/7) Etonnant Marc Gicquel ! En deçà de ses performances 2006 cette saison, le 79e mondial, dont la paternité (père d'un petit "Noah") a certainement influé sur son début de saison, a disputé son meilleur tournoi 2007 à Lyon. Un tournoi qu'il affectionne. Quart de finaliste en 2005, battu par Gael Monfils, finaliste en 2007, battu par Richard Gasquet, le voilà prêt à affronter un nouveau tricolore, pour devenir le sixième Français à lever le trophée rhodanien. Son adversaire du jour, Alejandro Falla, peut nourrir quelques regrets. Ce Colombien qui aura 24 ans le 14 novembre, est plutôt un habitué du circuit Challenger et des tableaux de qualifications. Fort d'un parcours remarquable à Lyon, il pouvait légitimement espérer atteindre sa première finale sur le circuit majeur. Il a obtenu deux balles de match à 6/4 dans le jeu décisif de la dernière manche, mais un passing de revers (tiré à une main, court croisé) a brisé ses efforts. Survolté, Marc Gicquel n'a pas laissé passer sa seconde balle de match : "C'est un petit miracle", a déclaré le trentenaire. "Je ne me voyais pas bien sur ce coup et j'ai la chance de réussir unpetit passing à une main en plus... Pendant un set et demi, il jouait très bien, je ne voyais pas de solutions. Mais je me suis accroché." source:: eurosport.fr

Mascherano veut rester Prêté pour 18 mois par West Ham en janvier dernier, Javier Mascherano aimerait bien rester à Liverpool. Le milieu de terrain argentin a disputé 20 matches toutes compétitions confondues. Mais malgré sa faible utilisation, Mascherano aimerait rester à Liverpool. Le problème est que les Reds devront négocier avec une tierce partie, ce qui avait causé des problèmes à West Ham en fin de saison dernière. Du coup, on parle de l’international argentin en Italie ou en Espagne à la fin de la saison. source:: sport24.com

Les transferts en motoGP Shinya Nakano ne sera pas resté longtemps au sein du team Konica Minolta. Après une saison médiocre, le Japonais, qui pouvait se mordre les doigts d’avoir quitté Kawasaki l’an dernier, retrouve une place dans une équipe de grand standing. L’ancien coéquipier de Randy de Puniet s’est en effet engagé pour une saison avec le team Honda de Fausto Gresini, avec une prolongation d’un an supplémentaire. «Je suis heureux d’annoncer l’arrivée de Shinya Nakano qui, aux côtés d’Alex de Angelis, formera notre équipe sur la Honda RC212V équipée de pneus Bridgestone», se réjouissait le patron de l’équipe. Nakano revient de loin Convaincu de ne pas avoir les moyens de jouer des victoires, le Japonais avait quitté Kawasaki la saison passée. Aux oubliettes cette année (45 points et la 16e place du championnat), le pilote nippon retrouvera un team plus conforme à ses très hautes ambitions : «Je suis ravi de travailler avec l'équipe Honda Gresini. Je connais Fausto, il était pilote avant de devenir patron d'équipe et il connaît une belle collaboration avec Honda depuis plusieurs années. Je pense que nous pouvons faire une bonne saison ensemble.» Elias avec Guintoli Nakano chez Gresini, Toni Elias a pris son baluchon direction Pramac d’Antin aux côtés de Sylvain Guintoli. L’Espagnol sort d’une saison difficile en raison de blessures qui ont gâché sa progression. La signature du contrat a été révélée quelques heures après l’accord conclu entre Nakano et Gresini. Le pilote ibérique, qui compte une victoire dans la catégorie reine, disposera de la Desmosedici équipée de gommes Bridgestgone. source:: sport24.com

Elmander forfait Déjà absent contre Saint-Etienne et Leverkusen, Johan Elmander ne sera pas là non plus au Mans, lors du match décalé de la 12e journée de Ligue 1, dimanche. Blessé à la cuisse lors du match Suède-Irlande du Nord, Johan Elmander n’est pas revenu à la compétition depuis. L’attaquant suédois, pièce maîtresse du dispositif d’Elie Baup, manquera une nouvelle fois à l’appel au Mans, mais devrait être présent contre Metz début novembre. Toulouse a perdu ses deux derniers matches en son absence. source:: sport24.com

Lucas défie la FFN Les relations entre la FFN et Philippe Lucas se sont encore dégradées dans la semaine avec la volonté de la Fédération de ne pas lui accorder d’accréditation à Pékin. Une menace qui n’inquiète pas l’ancien mentor de Manaudou. Une absence de trop aux réunions Philippe Lucas et la Fédération Française sont proches du point de non-retour. Même débarrassé de l’encombrante gestion du cas Manaudou, l’homme au débardeur continue d’entretenir des relations tendues avec l’instance fédérale. Dernier épisode en date dans ce remake de petits meurtres entre amis, la menace de la FFN de ne pas délivrer d’accréditation à Lucas pour les Jeux Olympiques de Pékin. Le motif avancé par le DTN, Claude Fauquet, est l’absence de l’entraîneur du Canet-en-Roussillon à une réunion de la Fédération. L’argument est recevable mais ne semblait pas peser lorsque Lucas entraînait Manaudou et ignorait superbement ces réunions. Le malaise est plus profond et la FFN semble prête à lui faire payer ses écarts de langage et ses prises de position à l’encontre du DTN. Un apaisement n’apparaît pas envisageable au vu des caractères des hommes en question. «Ce n’est pas moi qui vais faire le premier pas, ce n’est pas mon genre de faire pavillon bas», affirme Philippe Lucas dans les colonnes de L’Equipe. Lucas avec la Roumanie ? L’entraîneur au look de biker démontre ainsi qu’il n’est nullement impressionné par cette sanction à venir. Pareille situation était intervenue aux Championnats du Monde 2003 alors qu’il suivait Laure Manaudou. Et Lucas a une solution de repli imparable pour la FFN. Entraîneur de Camilla Potec, l’ancien Melunais pourrait demander une accréditation à la Fédération roumaine. Mais on touche là sans doute au cœur du problème. L’instance fédérale française n’apprécie ainsi que modérément que l’un des meilleurs entraîneurs français s’occupe d’une rivale de Manaudou. «Quand le champion d’Europe belge juniors (Ndlr : Yoris Grandjean sur100 m) s’entraîne au pôle d’Antibes ou quand Frédéric Vergnoux entraîne l’équipe de Grande-Bretagne et Popchanka, ça ne pose pas de problème. Et c’est normal. Mais quand c’est moi… Partout où je serai, il y aura des problèmes. Mais ce sont des raisonnements de faibles. Une erreur de stratégie. On a besoin de nageurs étrangers», analyse Lucas. En s’opposant encore frontalement à l’entraîneur de la championne d’Europe, Esther Baron, la FFN se paye un nouveau clash avec celui qui a contribué à sortir la natation de son anonymat. Un nouvel accès de fièvre gratuit puisqu’elle sait pertinemment que Lucas se trouvera sur les bords des bassins en Chine quel que soit le drapeau floqué sur son survêtement. source:: sport24.com

Worley se distingue La jeune Française Tessa Worley a signé la 5e place sur le géant de Sölden remporté par Denise Karbon. Ingrid Jacquemod termine 6e. Ouverture en fanfare pour le clan français. Pour la première course de l’année avec le géant de Sölden, Tessa Worley, âgée de 18 ans, a pris une superbe 5e place alors qu’Ingrid JAcquemod a signé une belle 6e place. La victoire est, elle, revenue à l’Italienne Denise Karbon devant l’Américaine Julia Mancuso et l’Autrichienne Kathrin Zettel. Classement du Géant de Sölden : 1. Karbon (Ita) en 2’23’’21 2. Mancuso (EU) à 0’’33 3. Zettel (Aut) à 0’’52 4. Poutiainen (Fin) à 0’’57 5. Worley (Fra) à 0’’75 6. Jacquemod (Fra) à 0’’84 7. Paerson (Suè) à 0’’92 8. Hoelzl (Aut) à 1’’05 9. Moelgg (Aut) à 1’’10 . Goergl (Aut) à 1’’10 source:: sport24.com

Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2. Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2Déjà auteur du temps scratch de l’ES 19, Federico Villagra a récidivé dans la suivante devant Dani Sordo et Henning Solberg. Au classement général, le Finlandais Mikko Hirvonen est toujours en tête mais Dani Sordo a réussi à grappiller quelques secondes précieuses en fin de journée. L’Espagnol est solide deuxième à 38’’4 du leader. Classement de l’ES20 :1. Villagra (Arg, Ford) en 1’22’’2. Sordo (Esp, Citroën) à 1’’3. H. Solberg (Nor, Subaru) à 1’’4. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’25. Wilson (GB, Ford) à 1’’5 Classement à l’issue de l’ES20 :1. Hirvonen (Fin, Ford) en 2h’26’28’’7source:: sport24.com2. Sordo (Esp, Citroën) à 38’’43. H. Solberg (Nor, Ford) à 1’52’’4. Perez (Esp, Ford) à 5’05’’85. Stohl (Aut, Citroën) à 5’19’’9 Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2Déjà auteur du temps scratch de l’ES 19, Federico Villagra a récidivé dans la suivante devant Dani Sordo et Henning Solberg. Au classement général, le Finlandais Mikko Hirvonen est toujours en tête mais Dani Sordo a réussi à grappiller quelques secondes précieuses en fin de journée. L’Espagnol est solide deuxième à 38’’4 du leader. Classement de l’ES20 :1. Villagra (Arg, Ford) en 1’22’’2. Sordo (Esp, Citroën) à 1’’3. H. Solberg (Nor, Subaru) à 1’’4. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’25. Wilson (GB, Ford) à 1’’5 Classement à l’issue de l’ES20 :1. Hirvonen (Fin, Ford) en 2h’26’28’’7source:: sport24.com2. Sordo (Esp, Citroën) à 38’’43. H. Solberg (Nor, Ford) à 1’52’’4. Perez (Esp, Ford) à 5’05’’85. Stohl (Aut, Citroën) à 5’19’’9Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2Déjà auteur du temps scratch de l’ES 19, Federico Villagra a récidivé dans la suivante devant Dani Sordo et Henning Solberg. Au classement général, le Finlandais Mikko Hirvonen est toujours en tête mais Dani Sordo a réussi à grappiller quelques secondes précieuses en fin de journée. L’Espagnol est solide deuxième à 38’’4 du leader. Classement de l’ES20 :1. Villagra (Arg, Ford) en 1’22’’2. Sordo (Esp, Citroën) à 1’’3. H. Solberg (Nor, Subaru) à 1’’4. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’25. Wilson (GB, Ford) à 1’’5 Classement à l’issue de l’ES20 :1. Hirvonen (Fin, Ford) en 2h’26’28’’72. Sordo (Esp, Citroën) à 38’’43. H. Solberg (Nor, Ford) à 1’52’’4. Perez (Esp, Ford) à 5’05’’85. Stohl (Aut, Citroën) à 5’19’’9[Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2. Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2Déjà auteur du temps scratch de l’ES 19, Federico Villagra a récidivé dans la suivante devant Dani Sordo et Henning Solberg. Au classement général, le Finlandais Mikko Hirvonen est toujours en tête mais Dani Sordo a réussi à grappiller quelques secondes précieuses en fin de journée. L’Espagnol est solide deuxième à 38’’4 du leader. Classement de l’ES20 :1. Villagra (Arg, Ford) en 1’22’’2. Sordo (Esp, Citroën) à 1’’3. H. Solberg (Nor, Subaru) à 1’’4. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’25. Wilson (GB, Ford) à 1’’5 Classement à l’issue de l’ES20 :1. Hirvonen (Fin, Ford) en 2h’26’28’’7source:: sport24.com2. Sordo (Esp, Citroën) à 38’’43. H. Solberg (Nor, Ford) à 1’52’’4. Perez (Esp, Ford) à 5’05’’85. Stohl (Aut, Citroën) à 5’19’’9 Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2Déjà auteur du temps scratch de l’ES 19, Federico Villagra a récidivé dans la suivante devant Dani Sordo et Henning Solberg. Au classement général, le Finlandais Mikko Hirvonen est toujours en tête mais Dani Sordo a réussi à grappiller quelques secondes précieuses en fin de journée. L’Espagnol est solide deuxième à 38’’4 du leader. Classement de l’ES20 :1. Villagra (Arg, Ford) en 1’22’’2. Sordo (Esp, Citroën) à 1’’3. H. Solberg (Nor, Subaru) à 1’’4. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’25. Wilson (GB, Ford) à 1’’5 Classement à l’issue de l’ES20 :1. Hirvonen (Fin, Ford) en 2h’26’28’’7source:: sport24.com2. Sordo (Esp, Citroën) à 38’’43. H. Solberg (Nor, Ford) à 1’52’’4. Perez (Esp, Ford) à 5’05’’85. Stohl (Aut, Citroën) à 5’19’’9Hirvonen intouchableSi Federico Villagra a remporté l’ES 20 du Rallye du Japon ce samedi, Mikko Hirvonen finit largement en tête de cette étape 2Déjà auteur du temps scratch de l’ES 19, Federico Villagra a récidivé dans la suivante devant Dani Sordo et Henning Solberg. Au classement général, le Finlandais Mikko Hirvonen est toujours en tête mais Dani Sordo a réussi à grappiller quelques secondes précieuses en fin de journée. L’Espagnol est solide deuxième à 38’’4 du leader. Classement de l’ES20 :1. Villagra (Arg, Ford) en 1’22’’2. Sordo (Esp, Citroën) à 1’’3. H. Solberg (Nor, Subaru) à 1’’4. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’25. Wilson (GB, Ford) à 1’’5 Classement à l’issue de l’ES20 :1. Hirvonen (Fin, Ford) en 2h’26’28’’72. Sordo (Esp, Citroën) à 38’’43. H. Solberg (Nor, Ford) à 1’52’’4. Perez (Esp, Ford) à 5’05’’85. Stohl (Aut, Citroën) à 5’19’’9 Sport 24.com

excusez moi de la répétition mais je vais amener une petite précision Benzema vaut 60 millions Selon la presse espagnole, Lyon ne laissera pas partir Karim Benzema pour moins de 60 millions d’euros ! Karim Benzema a fait la Une du quotidien Marca cette semaine. Il n’en fallait pas plus pour que la presse espagnole n’envoie le prodige lyonnais vers le Real Madrid. Marca révèle ainsi que le président Aulas aurait fait savoir qu’il ne lâchera pas son joueur, qui a prolongé son contrat de deux ans cet été, pour une somme inferieure à 60 millions d’euros !

Evra est d’attaque Victime d’une tension au mollet en milieu de semaine, Patrice Evra devrait tenir sa place face à Middlesbrough ce samedi lors de la 11e journée de Premier League. Manchester United va récupérer deux de ses éléments importants ce samedi. Patrice Evra est remis d’une blessure au mollet alors qu’Owen Hargreaves, touché au genou, est également inclu dans la liste d’Alex Ferguson pour affronter Middlesbrough ce samedi. source::sport24.com

Le tournoi de Lyon Trois Français se retrouveront samedi en demi-finales du tournoi de Lyon : Sébastien Grosjean (Photo L'Equipe), Jo-Wilfried Tsonga et Marc Giquel. Les deux premiers seront directement opposés, le troisième se mesurera à l'étonnant Colombien Alejandro Falla. Dans le seul quart de finale 100% français, Sébastien Grosjean a pris le meilleur sur Julien Benneteau en trois manches et 2h35 de jeu (6-7, 6-2, 7-6) dans un match plutôt bizarre. Au tie-break du premier set, le Marseillais mène 6-3, avant de s'écrouler. Il se rattrape dans le deuxième set, alors que Benneteau se procure deux balles de break d'entrée. La dernière manche est celle des occasions perdues pour le Bressan. Il a quatre balles de break au total (deux à 3-2, deux à 4-3), se retrouve à deux points du match à 6-5 mais, trop crispé au moment de conclure, il rate totalement sa volée haute. «Pour mon dernier match de l'année en simple, c'est dur. Il va falloir accepter et digérer», constatait-il. Car, coup de massue supplémentaire : pour une question de règlement, Benneteau ne peut pas jouer les qualifications à Bercy. «Ils (les organisateurs) ne pouvaient pas attendre au-delà de 21h30. C'est la loi. Ça se finit un peu en queue de poisson. C'est comme ça.» «Cela s'est joué à l'expérience, souligne de son côté Grosjean. Julien a perdu le match dans les moments clés, mais il peut être content de son niveau de jeu. En tout cas, ce fut un beau combat.» Tsonga : «Je ne me mets pas de barrière, c'est no limit !» Avant de le retrouver au premier tour à Bercy, l'ancien n°1 français aura fort à faire en demies face à Jo-Wilfried Tsonga, avec lequel il dispute également le double. Jusque-là, les deux joueurs ne se sont jamais affrontés. «Dans 10 jours, j'en aurai peut-être un peu marre de lui, ironise le Marseillais. Mais samedi, ça va être sympa, il y aura du spectacle.» Vainqueur d'Olivier Rochus en deux petits sets (6-3, 6-2), Tsonga poursuit tranquillement son petit bonhomme de chemin en laissant de nouveau une grosse impression. «J'ai joué un match quasiment parfait, reconnaît-il. Il y a des jours comme ça, où on est sur un petit nuage.» Tsonga espère évidemment rester tout en haut très longtemps. «Ma victoire contre Richard (Gasquet) m'a fait beaucoup de bien. Désormais, je ne me mets pas de barrière, c'est no limit !» Tsonga a une vraie chance d'atteindre une première finale d'un tournoi ATP. De son côté, Gicquel a vaincu la malédiction argentine en dominant Diego Hartfield (7-5, 6-3). Cette victoire confirme les bonnes sensations du Français sur la surface lyonnaise. Mais le finaliste de l'an dernier qui reconnaît ne pas avoir fait un grand match. «Comme j'étais dans la peau d'un favori, j'étais assez tendu, glisse Gicquel. Heureusement, j'ai encore très bien servi.» En demi-finale, il sera opposé à Alejandro Falla, qu'il n'a jamais rencontré. Et là encore, il sera favori. Issu des qualifications, le Colombien, 24 ans dans quinze jours et 128e mondial, est la surprise du tournoi. Il crée la sensation en sortant en trois manches (7-5, 6-7, 7-5), la dernière tête de série en lice Ivan Ljubicic, 14e à l'ATP et vainqueur à Lyon en 2001. Au vu de son match, ce n'est pas immérité, tellement Falla a été étonnant pour prendre le jeu à son compte. «J'étais assez confiant en arrivant ici car j'ai enchaîné une demi-finale au challenger de Mons puis un bon match contre Ferrero à Madrid», explique Falla, qui a su résister aux 30 aces de Ljubicic. «Mon service fut bon, mais ce n'est pas assez dans ce genre de match. Je n'ai pas eu la moindre balle de break. Il (Falla) a totalement mérité de gagner», commente le Croate, fair-play. source::lequipe.fr

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Manchester et le numéro 7 7. Voilà un chiffre dont les supporters mancuniens ne se lassent pas. En effet, les joueurs qui ont porté ce numero ont tous marqué l'histoire de Manchester United. Voici cinq joueurs de différentes époques ayant évolué aux Red Devils que les fans ne sont pas prêts d'oublier. Ronaldo est l'héritier d'un numéro 7 synonyme de gloire à Manchester United. (Reuters) 7. Voilà un chiffre dont les supporters mancuniens ne se lassent pas. En effet, les joueurs qui ont porté ce numero ont tous marqué l'histoire de Manchester United. Voici cinq joueurs de différentes époques ayant évolué aux Red Devils que les fans ne sont pas prêts d'oublier. George Best A l'âge de 15 ans, il est repéré par un recruteur de Manchester. Le gamin est appelé pour passer un essai d'une semaine. Au bout d'une matinée, il convaint Matt Busby, l'entraîneur des Red Devils. Quelques années après, il passe professionnel et débute en équipe première en 1963 face à West Bromwich. Mais c'est lors de la saison 1964/65 qu'il devient un titulaire indiscutable. Avec lui, Manchester remporte le titre en 1964/65 et en 1966/67. En 1968, il remporte la Coupe des Clubs Champions face à Benfica et le Ballon d'or France Football. Mais lorsque Matt Busby démissionne de Manchester, Best n'est plus le même, il tombe dans l'alcool, prend du poids, sèche les entrainements. Face à tous ses dérapages, Manchester décide de le renvoyer en 1974. Avec les Reds Devils, il dispute 466 rencontres et inscrit 178 buts. Bryan Robson C'est à l'age de 18ans que Manchester United le recrute pour une somme record à l'époque. En 1983 et 1985, il remporte la FA Cup et puis plus rien jusqu'à l'arrivée d'Alex Ferguson en 1986. Les Reds Devils deviennent une équipe qui gagne, en 90 il remporte une FA Cup puis vient le moment de consecration en 1991. Bryan Robson inscrit un doublé en finale de la Coupe des Coupes face au FC Barcelone. En 1994, il quitte Manchester où il s'est fait chiper sa place de titulaire par un certain français. Eric Cantona L'enfant terrible du football français débarque en Angleterre en 1992 à Sheffield Wednesday pour un essais. Mais face à l'hésitation des dirigeants, il décide de signer à Leeds où il remporte quelques mois plus tard le titre de champion. Alex Ferguson sent la bonne affaire et le recrute. La carrière de Cantona prend de l'ampleur et, à Manchester, il devient Eric The King. Il enchaîne les buts et remporte quatre titres de champion et deux Cup. Seule tâche à son aventure mancunienne, sa suspension de neuf mois pour avoir frappé un supporter de Crystal Palace. A 30 ans, le français annonce son retrait du football alors qu'il est au sommet de sa carrière. Quelques années après, il est élu meilleur joueur de tous les temps de Manchester United. David Beckham Il signe son premier contrat professionnel en 1992. En 1995, il fait sa première appartion sous le maillot de Manchester United face à Leeds où il marque son premier but. Après la retraite d'Eric Cantona, il hérite du numero 7, le chiffre porte bonheur à Manchester. Mais la saison 1999 est l'année de tous les records pour le Spice Boy. Il réalise le triplé avec les Red Devils, il remporte le championnat d'Angleterre, la Cup et la Ligue des Champions face au Bayern Munich. En 2003, il décide de quitter Manchester pour signer au Real Madrid suite à l'incident de la chaussure. En effet, suite à une mauvaise performance du joueur, Alex Ferguson met un coup de pied dans une chaussure qui atteint la tête du joueur qui le blesse à l'arcade. Cristiano Ronaldo En 2003, le Sporting reçoit Manchester en match amical et gagne 3-1. Durant ce match, un jeune joueur se nommant Ronaldo fait un match sensationnel, Alex Ferguson tombe sous le charme et le recrute pour 18 millions d'euros pour qu'il devienne le succésseur de David Beckham. Ses débuts en équipe première sont très attendus et il ne les râte pas, mais l'entraineur de MU attend plus de son prodige. Au fil des années il va prendre confiance et lors de la saison 2006-2007 il explose. Il inscrit 23 buts toutes compétitions confondues. Il est convoité par l'Inter mais surtout par le Real Madrid qui est prêt à investir 80 millions d'euros pour s'attacher les services du joueur mais l'international portugais préfere prolonger son contrat jusqu'en 2012 avec un salaire de 9 millions d'euros par saison. En cette fin d'année, il espère recevoir le Ballon d'Or France Football. Ce ne sont que de sacrés joueurs qui ont porté ce numero 7 et il va falloir patienter avant de voir le prochain car Cristiano Ronaldo est parti pour le garder un long moment... Source:football.fr

La bourde de Jacque Faty Jacques Faty a été pris en flagrant délit. Le défenseur marseillais ne connait pas les joueurs sochaliens que l'OM affronte samedi soir ! En conférence de presse, à la question "Pouvez-nous parler de certains joueurs sochaliens ?" Faty a répondu : "Oui. Je sais qu'il y a Le Tallec là bas, non ? (Le Tallec joue maintenant au Mans !) Ah, bon ne mettez pas ça alors (rires !). Je sais qu'il y a N'Daw le Sénégalais, ça c'est sûr mais après les autres j'avoue que je ne les connais pas trop", a déclaré Jacques Faty. C'est pas gagné ... Source:football.fr

Jimenez remplace Juande Ramos Une solution en interne à été trouvée par le FC Séville pour remplacer l'entraîneur Juande Ramos parti à Tottenham. Il s'agit de Manuel Jimenez, jusqu'alors entraîneur des équipes de jeunes, ainsi promu au poste de l'équipe première. Il devait effectuer son premier entraînement samedi matin avant le match de dimanche contre Valence en Championnat. Source:Lequipe.fr

Kaka n'exclut pas un départ à madrid Le Real Madrid piste Karim Benzema et n'a toujours pas abandonné son rêve Kaka. Vendredi, la presse madrilène (Marca) faisait état d'un intérêt certain du club de la capitale espagnole pour le Lyonnais. Samedi, L'Equipe reprend une déclaration très ambiguë du maître à jouer de l'AC Milan qui déclare : «J'ai un contrat avec le Milan jusqu'en 2011, je ne suis pas pressé de le renouveler. Ramon Calderon doit parler avec Silvio Berlusconi. S'ils trouvent un accord, O.K sinon, je resterai à Milan». Source:Lequipe.fr

Le match d'hier: Stade Toulousin face à Dax Toulouse a fait le nécessaire pour s'imposer (15-10) chez l'un des deux promus lors du match avancé de la première journée du Top 14. Les Haut-Garonnais s'en sont remis au pied de Jean-Baptiste Elissalde, promu à l'ouverture derrière la prestigieuse recrue néo-zélandaise, Byron Kelleher, qui tenait la mêlée des hommes de Guy Novès. Elissalde a inscrit les quinze points de son équipe, tous en première période, grâce à quatre pénalités et un drop à la sirène. Les Haut-Garonnais étaient certes amputés de quelques-uns de leurs mondialistes français, comme Clerc et Pelous. Mais même avec ceux des Tricolores qui étaient présents (Poitrenaud, Heymans, Elissalde au coup d'envoi et Nyanga et Poux en seconde période) et les étrangers (Kelleher et F. Maka), ils n'ont jamais pu franchir la ligne d'en-but adverse malgré une domination territoriale presque constante. Les hommes de Marc Lièvremont, dont c'était la dernière sortie à Maurice-Boyau après sa nomination à la tête de la sélection française, ont de leur côté crânement défendu leurs chances, mais en commettant trop de fautes, toutes mises à profit par Elissalde en première période. Leur opiniâtreté a été récompensée en toute fin de match par un essai d'Hiriart, qui leur offrait le bonus défensif, récompensant leurs initiatives durant quatre-vingt minutes. Lequipe.fr

Match Amical: Les bleus pour une revanche L'équipe de France retrouve l'Egypte samedi à 18h30 à Orléans en match amical, deux jours après avoir été battue à Limoges jeudi (26-24). Les joueurs de Claude Onesta, qui sont en phase de préparation à l'Euro norvégien (17-27 janvier 2008), auront donc à coeur de prendre leur revanche face à des Egyptiens qui ont bien su profiter des absences françaises. Lancés sur la route des Jeux Olympiques de Pekin, auxquels ils espèrent se qualifier grâce à l'Euro, les Bleus devront encore composer sans de nombreux joueurs forfaits (Karabatic, Abati, Kempe, Fernandez, Narcisse). Une nouvelle absence s'est ajoutée dans la semaine, celle de Michaël Guigou, qui a été remplacé par Sébastien Ostertag, l'ailier de Tremblay-en-France. Néanmoins, le sélectionneur des Bleus veut voir plus loin que cette double confrontation, qui permet à quelques nouveaux de faire leurs armes et de prendre contact avec le haut niveau international. Et surtout engranger de la confiance avant l'Euro donc, dont ils sont les tenants du titre.