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  1. baaiidy93

    Tennis

    MATERS SERIES PARIS-BERCY Battu par Sébastien Grosjean en demi-finale à Lyon, Jo-Wilfried Tsonga a pris sa revanche à Bercy et rejoint Fabrice Santoro et Nicolas Mahut, tombeur respectivement d'e l'Espagnol Montanes et du Russe Gabashvili au 2e tour. RESULTATS DU 1ER TOUR Jo-Wilfried Tsonga (FRA, Q) bat Sébastien Grosjean (FRA, Q) 6-3 3-6 6-3 Prochain adversaire : Gasquet (Fra, 10) 6-1 6-2... En demi-finales du tournoi de Lyon la semaine dernière, Sébastien Grosjean avait infligé une véritable correction à son compatriote Jo-Wilfried Tsonga en faisant une véritable démonstration en retour. Retrouver son aîné d'entrée au Masters Series de Bercy ne devait pas réjouir le protégé d'Eric Winogradsky mais le Manceau a fait la preuve de sa maturité et de sa capacité à retenir les leçons. Profitant d'une surface au rebond plus haut, le Français a su prendre sa revanche au premier tour du rendez-vous parisien. Nullement troublé par la lourde défaite encaissée dans la Capitale des Gaulles, Jo-Wilfried Tsonga abordait la rencontre sans le moindre complexe et prenait Grosjean à la gorge dès les premiers coups de raquette. Profitant d'une première balle surpuissante, le Manceau, jamais mis en danger su son engagement (81% de première balle, 75% de points gagnés derrière sa première balle), pouvait jouer totalement libéré et récitait un tennis proche de la perfection en imposant sa puissance en fond de court au cours de la première manche. Saoulé de coups et surtout visiblement fatigué par les efforts consentis à Lyon, Grosjean avait besoin d'un set pour retrouver ses esprits. Mis sur le reculoir au cours du premier acte et au bord de la rupture au début du 2e (6-3 2-0), le Marseillais trouvait les ressources pour inverser la tendance. Le cours du match changeait alors totalement. Tandis que Tsonga se rendait coupable de nombreuses fautes directes, faisant preuve d'une certaine impatience, Grosjean se montrait très solide en fond de court et en défense et donnait le sentiment de s'envoler vers la victoire. Contrairement à la semaine prochaine, Tsonga ne voulait cependant pas déposer les armes sans combattre. Gardant un esprit très offensif, le Manceau gardait la tête hors de l'eau et profitait de sa seule occasion dans la troisième manche pour signer un break, synonyme de victoire. Nicolas Mahut (FRA/WC) bat Teimuraz Gabashvili (RUS/Q) 6-4 7-6 (4) Prochain adversaire : Blake (EU, 6) "Un match piège". Nicolas Mahut avait prévenu avant la rencontre, il s'est sorti du traquenard non sans quelques frayeurs dans le second set. Issu des qualifications, le Russe Teimuraz Gabashvili n'a remporté que deux matchs sur le cicuit ATP depuis juin. Autant dire que le Français, qui a bénéficié pour le tournoi parisien de l'une des trois wild card délivrée par les organisateurs, abordait ce premier tour en favori. Reste que Mahut avait livré une prestation bien terne la semaine dernière au premier tour du tournoi de Lyon face à l'Argentin Diego Hartfield. Le rachat passait donc par une victoire. Le premier set voyait Mahut dominer les débats. Le Français s'appuyait, une fois n'est pas coutume, sur une mise en jeu solide. 72 % de première balle et aucune balle de break concédé. En face, Gabashvili lâchait son service dès le troisième jeu sur un coup droit profond de Mahut qu'il ne parvenait pas à renvoyer. Dès lors, l'affaire était conclue (6-4). La seconde manche partait sur les mêmes bases avec un Mahut toujours aussi solide au service. Avec au total 82% de points gagnés sur sa première balle, le 52e joueur mondial pouvait voir venir. Le Français s'offrait en prime 5 balles de break et ne parvenait jamais à conclure. Le tie break allait décider de l'issue du set. Un mini break suffisait à Mahut pour s'imposer (7 points à 4). "J'avais à coeur de gommer mon match de la semaine dernière face à Hartfield. C'est une grande fierté de gagner ici. Il s'agissait de ma première rencontre sur le central de Bercy. Le public a répondu présent et j'en suis très heureux. Je suis très satisfait de mon service mais je suis encore trop crispé sur mes retours. Je dois encore beaucoup travailler ce point précis ", analysait Mahut à l'issue de la rencontre. Au deuxième tour, Mahut affrontera un tout autre calibre en la personne de James Blake, tête de série numéro 6. "Aujourd'hui, j'ai gagné sans très bien jouer. Face à Blake, je me dois de sortir un grand match sinon je passe à la trappe", concluait le Français dans un élan de lucidité. Fabrice Santoro (FRA) bat Albert Montanes (ESP) 7-6 (4), 6-2. Prochain adversaire : Djokovic (Ser, 3) Tout d'abord un constat. Albert Montanes, adversaire du jour du vétéran français, est le genre de joueur qu'il vaut mieux rencontrer sur surface rapide que sur terre battue. Ce premier tour du MS Series de Paris-Bercy l'a largement confirmé. Même diminué à la jambe gauche, Santoro n'a pas eu tellement à s'employer face à l'Espagnol. Deux sets lui ont suffi. "Mon premier souci aujourd'hui était d'ordre physique. J'avais quelques appréhensions pendant mes premières courses." Lors du premier set, le Varois a dû jouer un bon tennis. Et il venait à bout de Montanes avec une tactique qu'il connaît bien pour l'avoir mise souvent en oeuvre : peu de points gagnants, très peu de fautes directes et attendre l'erreur adverse. Grâce à une grosse présence au filet lors du tie break, le Français décroche le premier set à l'arraché (7-6). Le deuxième acte est une formalité pour Santoro. Un break dès le troisième jeu de la seconde manche et le reste ressemble à une promenade de santé. Très agressif sur ses engagements, le 39e joueur mondial s'impose finalement 6-2. "Le tournant du match est le tie break où je n'avais pas le droit à l'erreur", analysait le Français à l'issue de la rencontre. Avant de revenir sur son prochain adversaire, le numéro 3 mondial : Novak Djokovic. "Il s'agit d'un des meilleurs joueurs du monde. Ce sera notre première confrontation, une situation qui n'est pas pour me déplaire. Ce sera extrêmement difficile. Ma première préoccupation est de récupérer puis j'essaierai de trouver les clés pour battre le Serbe." Et pour faire déjouer Djokovic, comme Roddick il y a une semaine à Lyon, on peut faire confiance à Santoro. Jarkko Nieminen (FIN) bat Juan Monaco (ARG) 6-4, 6-4. Prochain adversaire : Murray (GB,15) Filippo Volandri (ITA) bat Jurgen Melzer (AUT) 6-0, 6-3. Prochain adversaire: Nadal (Esp, 2) Ivo Karlovic (CRO) bat Fernando Verdasco (ESP) 4-6 6-3 6-4 Prochain adversaire : Federer (Sui, 1) RESULTATS DU 2E TOUR Tommy Haas (ALL, 9) bat Janko Tipsarevic (SER, Q) 6-3 6-7(5) 6-3 Prochain adversaire : Gonzalez (Chi, 7) ou Youzhny (Rus) source:: eurosport.fr
  2. Henry, blessé, veut s'adapter Arrivé cet été au FC Barcelone, Thierry Henry, a affirmé mardi qu'il devait encore s'adapter au style de jeu de son club. Selon lui, son ancien club, Arsenal «pratiquait un jeu plus direct, avec davantage de contre-attaques», tandis que le club catalan «fait davantage circuler le ballon». «C'est moi qui dois m'adapter à ce style, et ça prend du temps, et non pas le contraire», a-t-il confié en conférence de presse. L'international français a par ailleurs indiqué qu'il souffrait depuis quelques matches de douleurs à un tendon d'achille. Et qu'il allait discuter avec l'équipe médicale de sa participation au match de la 10e journée de la Liga contre Valladolid jeudi, laissant prévoir un possible forfait. source:: lequipe.fr
  3. Papin hausse le ton Jean-Pierre Papin, coach de Lens, a annoncé à ses joueurs, au lendemain de la défaite de son équipe à domicile devant Rennes (2-1), qu'il n'y aurait "plus de titulaires". "Sur les prochains matches, il va falloir gagner sa place à l'entraînement", a souligné le technicien artésien encore très remonté par ce premier revers de la saison à Félix-Bollaert. "Il faut tirer les choses vers le haut. Contre Rennes, j'ai vu des joueurs qui ont abandonné alors qu'il n'y avait pas le feu à 1-1.Je ne peux pas l'accepter." source:: eurosport.fr
  4. Laslandes forfait 3 semaines Blessé et non retenu pour jouer le 8e de finale de la Coupe de la Ligue, mardi, face à Auxerre, Lilian Laslandes sait désormais la durée de son indisponibilité avec l'OGC Nice. L'attaquant niçois souffre d'une élongation au mollet droit et devra respecter 3 semaines d'arrêt. Laslandes s'était blessé samedi lors du match nul (0-0) décroché par Nice à Lorient pour le compte de la 12e journée de Ligue 1. source:: sport24.com
  5. Programme des 8esLa Ligue de football professionnel a communiqué, ce jeudi, le programme officiel des 8es de finale de la Coupe de la Ligue. Les rencontres se dérouleront du mardi 30 octobre au jeudi 1er novembre. Mardi 30 octobre Auxerre - Nice à 19h00 Nancy - Amiens à 19h00 Marseille - Metz à 21h00 Mercredi 31 octobre : Monaco - Lens à 17 h00 Rennes - Valenciennes à 18h00 PSG - Montpellier à 19h00 Caen - Lyon à 21h00 Jeudi 1er novembre : Niort - Le Mans à 20h45 source:: francefootball.fr
  6. Du turn-over à Caen Entre une victoire à Paris (3-2), dimanche, et un déplacement à Caen, mercredi en 8e de finale de la Coupe de la Ligue, l'équipe lyonnaise pourrait être assez largement modifiée. Privé de Jérémy Toulalan (touché au genou), l'OL doit également faire sans Fabio Grosso et Cléber Anderson. Déjà forfait à Paris, le défenseur italien a rechuté lundi à l'entraînement et souffre toujours de son pied gauche. Il a passé en fin d'après-midi une radio rassurante qui n'a décelé aucune fracture. Anderson, lui, est suspendu après son expulsion au Parc des Princes. Il pourrait être remplacé non pas par Mathieu Bodmer mais par le jeune Sandy Paillot (Photo L'Equipe). «Pour donner du temps de jeu à Mathieu en milieu de terrain», précise Perrin. Du temps de jeu, l'entraîneur lyonnais devait en accorder à Keita et Fred à Paris, «mais les éléments du match (expulsion d'Anderson) ne me l'ont pas permis». L'Ivoirien et le Brésilien pourraient retrouver une place de titulaire mercredi à Caen, où des joueurs comme Karim Benzema et Juninho, qui ont beaucoup joué ces derniers temps, seront probablement ménagés. Même Milan Baros est, selon Perrin, susceptible d'effectuer son retour. Son coach n'a pourtant pas l'air pressé de compter sur lui. «C'est le problème d'avoir 3 attaquants pour un poste», dit celui-ci. A moins de repasser au 4-4-2. «C'est toujours dans un coin de ma tête, ce n'est pas passé aux oubliettes», explique Perrin. Enfin, le turn-over pourrait aussi concerner le poste de gardien. Frédéric Roux a une chance de suppléer Vercoutre et ainsi faire ses débuts sous le maillot de l'OL. «Le choix n'est pas encore arrêté», précise Perrin. Quoi qu'il en soit, pas question de faire l'impasse sur la Coupe de la Ligue pour le coach rhodanien. «On va jouer pour se qualifier. C'est un titre à gagner. En très peu de matches, on peut gagner un trophée. Il faut faire le métier.» source:: francefootball.fr
  7. baaiidy93

    Formule 1

    Hamilton part en Suisse L'Anglais Lewis Hamilton a décidé de déménager en Suisse afin de trouver un peu de calme. Alors que la ville où il a grandi, Stevenage, va donner son nom à une rue, Hamilton a choisi de changer de domicile. «J'ai décidé de déménager en Suisse. Ici, je ne peux pas vivre ma vie normalement. Je ne peux pas aller au cinéma. Quand je vais aux toilettes d'une station service, les gens me suivent pour me demander des autographes. Cela a été une année très difficile à vivre. Je n'ai pas pu passer de temps avec ma famille et mes amis. En Suisse en revanche, les gens vous laissent tranquille. Ils ne viennent pas vous importuner, ils vous laissent votre espace» s'est justifié le pilote, qui avait choisi de s'installer à Londres cette saison. source:: lequipe.fr
  8. baaiidy93

    Rally

    Un fauteuil pour deux Un coup d'épée dans l'eau. Voilà comment les observateurs ont défini le rallye du Japon qui s'est achevé dimanche avec le double zéro pointé des deux candidats au titre, Sébastien Loeb (Citroën C4) et Marcus Grönholm (Ford Focus) (Photo L'Equipe). Le vainqueur, Mikko Hirvonen (Ford Focus), qui a remporté à Obihiro le troisième rallye de sa carrière, ne doit sans doute pas être de cet avis. Mais au niveau du Championnat du monde, il est irréfutable que les positions sont restées figées avec un maigre avantage de quatre points de Grönholm sur Loeb. Mais, fait tout aussi irréfutable, il ne reste plus trois mais deux épreuves à Loeb pour combler son retard. Malgré cela, l'Alsacien demeure confiant : «si j'avais gagné et qu'il (Grönholm) avait fini deuxième, j'aurais été dans le même cas de figure avec l'obligation de gagner les deux derniers rallyes». Evidemment, ce que Loeb oublie de préciser, c'est que Grönholm ayant abandonné avant lui, on a davantage le sentiment que c'est lui qui a laissé passer sa chance plutôt que l'inverse. Sur son site internet, le pilote Citroën est revenu sur cette sortie de route très coûteuse, survenue après une mauvaise indication de son copilote Daniel Elena. «Sur la quantité de notes que Daniel me dit depuis 10 ans, c'est la première fois qu'il se trompe. C'est difficile de lui en vouloir !», souligne simplement le triple champion du monde en titre... L'inconnue irlandaise Grönholm et Loeb vont donc batailler pour la couronne mondiale d'abord en Irlande (16-18 novembre) puis au Pays de Galles pour le rallye de Grande-Bretagne (30 novembre-2 décembre). Le pays celte organise le premier rallye de son histoire, sur asphalte. Les deux candidats au titre ont préparé cette échéance avec le plus grand soin. Le Français a participé cette année à deux rallyes irlandais pour se familiariser avec les routes. Quant au Finlandais, il va effectuer trois jours d'entraînement spécifique sur asphalte, une décision prise après les performances moyennes enregistrées par les Ford Focus lors du rallye de Corse, qui se dispute également sur asphalte. Avec son avance de quatre points, Grönholm est le seul à pouvoir prétendre au titre dès le rallye d'Irlande. Il sera sacré s'il devance Loeb de 7 points. S'il venait à l'emporter, il devrait donc espérer que Loeb ne fasse pas mieux que sixième, autant dire qu'il lui arrive un gros pépin. Et des gros pépins, Sébastien Loeb en a déjà connus cette saison avec des abandons en Norvège, en Sardaigne et au Japon... Un arbitre pour le final ? Si Grönholm ne creuse pas un écart rédhibitoire sur Loeb en Irlande, il faudra attendre le 30 novembre et le rallye gallois pour connaître l'issue de cette saison. Grönholm a déjà remporté ce rallye deux fois, en 2001 et 2006. Entre ces deux dates, Petter Solberg (Subaru) a tout raflé. Le Norvégien, qui n'a pas fait mieux qu'une deuxième place au Portugal cette saison, est un arbitre potentiel du duel... L'an passé, Loeb, blessé après une chute en VTT, n'avait pas pris part à cette épreuve. S'il veut être couronné pour la quatrième année de suite, il lui faudra impérativement remporter son premier rallye outre-Manche. Une chose est sûre, il ne devrait pas être au volant de la Citroën C4 n°7. «Je n'en veux plus ! Mes 3 abandons de l'année sont trois fois avec la même voiture et à chaque fois, cela s'est passé lors de la 13e spéciale.» Le rallye, une affaire de chiffres mais aussi de superstition. - N.R. source:: lequipe.fr
  9. Cayzac : «Tout sauf un pari» Paul Le Guen avait pris tout le monde à contre-pied en décidant d'aligner cinq joueurs issus du centre de formation face à Valenciennes (0-0) lors de la onzième journée de Ligue 1. Une semaine plus tard, le technicien persiste et signe. Il a de nouveau fait appel à ses jeunes pousses dimanche face à Lyon (2-3). Ce qui ne semblait être qu'un coup de poker pour dynamiser un groupe en difficulté s'inscrit finalement dans une nouvelle stratégie dictée par l'impératif de résultats. «C'est tout sauf un pari. Il y a vingt-quatre joueurs au Paris-SG, ils sont tous sur la même ligne», confirme Alain Cayzac, qui admet cependant que cette décision de faire appel aux jeunes a été prise «plus tôt que prévu». «On a joué cette carte des jeunes joueurs parce qu'on était très déçu par la rencontre contre Bordeaux (0-2), mais surtout par celle contre Rennes (1-3), qui a été un très mauvais match. A partir de là, Paul a décidé de mettre en application notre projet avec un équilibre entre des joueurs confirmés et ceux issus du centre formation. C'est sans doute arrivé plus tôt que prévu. En tout cas, ce n'est pas un pari du tout, c'est une stratégie». A la question de savoir si Le Guen n'aurait pas mieux fait de lancer dans le grand bain les Ngoyi, Sankharé ou autre Sakho, promu capitaine à seulement dix-sept ans, petit à petit, le dirigeant parisien estime que «non». «La preuve, c'est que face à Valenciennes, on n'a pas perdu», avance-t-il. «Personnellement, je pense que dans le football et dans beaucoup d'autres sports, on est capable d'assumer à dix-sept ou dix-huit ans. Ce sont des joueurs qui ont été élevés en région parisienne, qui connaissent le PSG, qui connaissent le Parc des princes, qui n'ont aucune peur particulière. L'âge ne fait rien à l'affaire. Ce n'est pas un risque». Pas pour eux, c'est sûr. Mais pour les "stars" de l'équipe, à l'image de Sylvain Armand, relégué sur le banc de touche depuis deux journées ? «Pour l'instant, je trouve que les joueurs dit plus confirmés réagissent bien, affirme Cayzac. Je vois leur comportement dans le vestiaire. Ils sont tout à fait responsables, ils encouragent les autres. Quand Paul Le Guen juge qu'il faut faire entrer Pedro Miguel Pauleta, qui inscrit un doublé d'ailleurs, parce qu'on a besoin de lui, il n'est pas prisonnier de promesses qu'il aurait faites à je ne sais qui de faire jouer cinq ou six jeunes». «Les supporters ont confiance» En attendant que ce Paris-SG new-look réponde aux attentes de ses dirigeants, Alain Cayzac a de nouveau maintenu sa confiance à Paul Le Guen. Fait rarissime à Paris, malgré un bilan inquiétant de quatre défaites, six nuls pour seulement deux victoires, l'entraîneur n'est pas en danger. «Ça s'appelle la confiance», explique le patron de l'actuel quinzième de L1. «Les supporters ont confiance dans le couple qu'on représente parce qu'on a montré notre attachement à Paris. Et puis aussi parce que Paul a prouvé qu'il était un bon entraîneur, qui a gagné des titres. C'est vrai qu'il bénéficie d'un niveau de confiance supérieur à des entraîneurs qui étaient très bons, mais qui venaient d'autres horizons. C'est évident. Ça s'appelle la confiance. Pareil pour moi. J'ai un crédit que d'autres n'avaient pas parce que je suis au club depuis des années. C'est juste, c'est injuste, j'en sais rien, mais c'est un fait». source:: lequipe.fr
  10. Jaap Stam raccroche Jaap Stam, l'ancien défenseur international néerlandais de l'Ajax Amsterdam, a décidé lundi de mettre un terme à sa carrière de joueur. Âgé de 35 ans, il s'est blessé contre NEC Nimègue le 20 octobre. Stam a commencé sa carrière en 1992, à Zwolle, avant de porter les maillots du PSV, de Manchester United, de la Lazio et du Milan AC. Il compte 67 sélections (3 buts) avec les Pays-Bas. source:: francefootball.fr
  11. LAMPARD, PIED AU PLANCHER La très large victoire de Chelsea sur Manchester City (6-0) ce week end, c'est un peu, beaucoup lui. Le milieu des blues a donné le rythme à son équipe et a rappelé quel joueur il était. L'attention s'est évidemment portée sur Didier Drogba après la démolition de Manchester City par Chelsea, comme elle se porte inévitablement sur lui depuis le désormais fameux entretien accordé à FF il y a deux semaines de cela. Le rebelle n'a pas déçu: un doublé de plus de l'Ivoirien, dont la seule présence semblait avoir terrifié la charnière centrale Dunne-Richards, réputée l'une des plus solides de la Premiership - jusqu'à samedi. Mai s a u-delà du score-fleuve (la plus large victoire de Chelsea depuis un autre 6-0, acquis sur le terrain de Barnsley, le 24 août 1997), et au-delà de la preuve supplémentaire apportée par Drogba qu'il servirait loyalement son club jusqu'à la fin de la saison, ce n'est pas une confirmation, mais une sorte de renaissance qui aura le plus plu au tandem Avram Grant-Ten Cate, désormais solidement en place à la tête des Blues - la renaissance de Fra nk Lampard, qui a peut-être livré ce week-end son match le plus plein, le plus dynamique et le plus inspiré depuis une démonstration de virtuose face au Bayern Munich (4-2), en mai 2005. C'est dire. On disait l'ancien joueur de West Ham fatigué, sans jus; on le disait aussi très éprouvé par les circonstances du départ de José Mourinho, dont il était - avec Drogba - l'allié le plus proche au sein du vestiaire; et on ne pouvait oublier comment le public de Wembley l'avait pris en grippe, au point de le siffler copieusement lorsqu'il fit son apparition en seconde période du récent Angleterre-Estonie. L'Angleterre semblait en passe d'oublier que ce « diesel qui tourne comme une Rolls-Royce » (Mourinho dixit) avait encore du carburant en réserve. Certes, il n'a pas marqué pour son club depuis le 25 août, contre Portsmouth (1-0), deux mois de jeûne aux allures de disette pour un midfielder qui pèse ses vingt buts ou plus par saison depuis 2003-2004. Mais Lampard n'est pas qu'un athlète qui sprinte de surface à surface ou une machine à tirer. La preuve? Rien que ces deux passes décisives, la première pour Michael Essien, la seconde - somptueuse - pour Didier Drogba, qui permirent à Chelsea de prendre le large très tôt dans le match; c'est aussi un tir de « Lamps » qui testa suffisamment Hart, le gardien de City, pour que Drogba bondisse sur le ballon et fasse passer la marque à 3-0. Sven-Göran Eriksson dit ensuite que « Lampard [et Chelsea] avaient été très, très bons », mais que « nous le s a vions fait paraître meilleurs qu'ils ne le sont ». Peut-être. Mais si les Citizens ont totalement échoué dans leur mission défensive, c'est aussi parce que, dès les premiers échanges de la rencontre, Lampard avait été là pour les harceler, hausser le tempo, sans jamais céder à la frénésie et perdre le contrôle du jeu. Est-ce un paradoxe? Drogba et Lampard, deux joueurs dont on sait qu'ils désirent quitter Stamford Bridge en mai prochain, sont aujourd'hui deux meilleures raisons pour lesquelles il est impossible d'exclure Chelsea de la course au titre. Que doit en penser José Mourinho ? source:: francefootball.fr
  12. JUAN, LA MURAILLE ROMAINE Discret, mais solide et efficace, le défenseur brésilien a conquis la Roma. Il a encore été impérial sur le terrain de San Siro, dimanche face au Milan AC (1-0), au sein d'une équipe romaine qui garde l'Inter en point de mire. Chivu ? Qui c'est celui-là ? Voilà comment pourraient vous répondre l'écrasante majorité des tifosi de la Roma si vous leur parlez du défenseur roumain qui, jusqu'à juillet dernier, portait les couleurs giallorosse. Ils ne sont pas forcément ingrats, nos supporters romains, c'est juste que l'homme appelé à le remplacer au coeur de la défense de Luciano Spalletti a déjà conquis tout le monde dans la Ville Eternelle. Il s'agit de Silveira dos Santos, 28 ans, plus connu sous le nom de Juan et qui s'est imposé en un temps record comme le patron de la défense de l'actuel dauphin de l'Inter au classement de la Serie A. Juan n'a pas eu besoin de round d'observation pour prendre ses marques dans un championnat aussi tactique, aussi relevé. Enfin, presque. Le Brésilien, après être arrivé en droite ligne du Bayer Leverkusen pour 6,5 ME, a connu quelques pépins physiques en phase de préparation et une lésion à la cuisse droite lui a fait manquer les derniers matches amicaux, ainsi que les deux premières journées de championnat. Mais Juan n'est pas passé à côté, en revanche, de son baptême du feu en Serie A : le 16 septembre, il réalisait un but somptueux (une aile de pigeon) sur le terrain de la Reggina , tout en étant irréprochable au sein de la défense romaine. Et depuis, Juan n'a jamais faibli. La semaine dernière, il a même inscrit son deuxième but sous le maillot de la Roma , en Ligue des Champions, face au Sporting Lisbonne : une reprise de la tête consécutive à un corner de Pizarro. Et surtout, l'ancien joueur de Flamengo -où le Bayer était allé le chercher en 2002- a fourni un travail solide, rigoureux et très précieux en défense centrale. Juan n'a pas l'habitude de faire dans l'extravagance, de se singulariser par de grosses prises de risques comme pouvait le faire Chivu. Son prédécesseur était capable de priver de ballon les attaquants adverses sur tout un match, mais aussi de mettre en danger son propre gardien par un dribble de trop dans sa propre défense. Rien de cela avec le Brésilien, moins polyvalent que Chivu et qui a fait de la sobriété l'une de ses principales qualités. Il a une conception classique du rôle d'arrière, bien plus d'ailleurs que son actuel coéquipier Philippe Mexès. Juan ressemble à ces stoppeurs de naguère, propres sur les tacles, attentifs au marquage, montant systématiquement pour jouer un ballon de la tête. Pas de fioritures avec lui. A l'image de son match de dimanche, face au Milan AC. Mais à l'arrivée, il aura sevré Gilardino de ballons. Malgré tout, Juan n'est pas encore entièrement satisfait : sa Roma encaisse encore trop de buts. Il y a surtout eu le 1-4 contre l'Inter et le 4-4 face au Napoli, deux matches à l'Olimpico. Mais Juan n'a pas grand chose à se reprocher : au cours du premier, Juan a été pratiquement le seul romain a évoluer à son standing habituel ; face aux Napolitains, il était tout simplement absent. L'international brésilien est incontestablement le meilleur transfert de cette intersaison à la Roma. Dans la capitale italienne, on dit que les dirigeants romains n'ont en fait pas pris de gros risques : Juan avait été chaudement recommandé par l'ancien giallorosso Rudy Völler. Et puis, les Brésiliens de Leverkusen sont toujours une garantie : à Rome, on a longtemps admiré Emerson, il y a aujourd'hui Juan ! source:: francefootball.fr
  13. Diouf : «Trop tôt pour un bilan» Défait à Sochaux (1-2), l'Olympique de Marseille est désormais relégable (18e). Une situation que tente de relativiser le président olympien, Pape Diouf, même s'il reste conscient des limites actuelles de l'équipe. « Ce revers révèle bien entendu nos lacunes actuelles. Mais j'ai été frappé par la malchance qui nous poursuit. J'estime qu'aussi bien à St Etienne que samedi soir à Sochaux nous aurions pu revenir de ces deux voyages avec un résultat positif. Hélas ce ne fut pas le cas. » Diouf réaffirme néanmoins sa confiance à l'entraîneur phocéen, Eric Gerets. « Cet échec, aussi cruel soit-il, ne doit pas nous démobiliser, ni instiller le doute dans nos esprits. Tout le monde doit rester mobilisé. Je reste persuadé qu'Eric Gerets trouvera la solution. Nous devons plus que jamais faire bloc autour de l'équipe, avec la certitude et la conviction que les choses vont finir par tourner favorablement. De toute façon, il est trop tôt pour faire quelque bilan que ce soit. Le moment pour cela viendra. » source::francefootball.fr
  14. PARIS PERD MAIS ESPÈRE Encore battu à domicile, le Paris-SG a bouclé le premier tiers du Championnat sur un bilan aussi famélique que la saison dernière. Dimanche, la carte jeunes n'a pas suffi face aux atouts de Lyon (2-3), mais rarement l'équipe parisienne aura manifesté un tel allant. Et si elle se préparait des lendemains qui chantent ? Le Guen y croit «plus que jamais». Embellie Quatrième défaite à domicile et quinzième place au classement avec une pauvre moyenne d'un point par match : dans leur sécheresse, les chiffres soulignent le bilan largement déficitaire du premier tiers de Championnat du Paris-SG. Même s'il reste invaincu à l'extérieur, le club parisien ne fait pas mieux - pour ne pas dire aussi mal - que l'an dernier à la même époque. Ses mauvais résultats qui l'expédient pour l'instant aux antipodes de l'Europe visée en début d'exercice n'ont cependant pas tous la même signification. La défaite de dimanche face à Lyon (3-2) atteste sans équivoque d'une embellie dans l'envie et le jeu parisiens. Paul Le Guen avait visiblement plaisir à relever ces progrès en salle de presse. Comme en réponse aux interrogations sur sa stratégie de concurrence totale depuis Valenciennes (0-0) et la titularisation de cinq jeunes issus du centre de formation. S'il a admis volontiers que la situation comptable du PSG était «un peu préoccupante» (doux euphémisme !), l'entraîneur parisien a tout autant martelé qu'il «conserv(ait) l'espoir» et que le club avait «des raisons d'espérer» malgré la défaite concédée au sextuple champion de France et actuel leader de la Ligue 1. Vécu Face à un ogre lyonnais à l'appétit revenu, le technicien breton a vu une équipe qui «ne s'est pas désunie» et «s'est battue avec beaucoup de coeur». «Il faut au moins avoir cet acquis pour se donner des chances de gagner. Mais Lyon était un ton au-dessus de nous sur le plan de l'efficacité». Le triple champion de France avec l'OL sait de quoi il parle : «C'est dur de maintenir une pression constante sur cette équipe qui a de la maîtrise technique et qui possède des joueurs qui arrivent à se dégager par des dribbles, par du talent». Dimanche, les Lyonnais Karim Benzema et Hatem Ben Arfa (lancés par Le Guen) ont montré à la jeune garde du PSG le chemin à parcourir. Benzema a livré son «meilleur match de la saison» en prouvant qu'«on peut être exceptionnel sans marquer» dixit Jean-Michel Aulas. Ben Arfa aurait pu convertir son doublé (41e, 43e) en triplé sans un «excès de gourmandise» face à Landreau (51e), toujours selon le président de l'OL. La percée de 40 mètres de Benzema sur le deuxième but de Ben Arfa a résumé à lui seul le "vécu" qui sépare les deux internationaux du quatuor parisien qui compte 10 titularisations en L1. Comme le public du Parc, Sidney Govou, auteur du 3e but lyonnais (74e), a découvert le Président Sakho et ses contemporains. «Ils sont jeunes. Ils ont encore beaucoup à apprendre. Mais il est clair qu'ils ont du talent». «On a senti une équipe très généreuse, très dynamique, très conquérante», a renchéri Alain Perrin, qui estime que l'OL a dû «arracher» les trois points. «Obstination» Le PSG a cadré autant de frappes que Lyon (7), s'est procuré beaucoup plus de corners (8 contre 2) et fait peser jusqu'au bout la menace d'une égalisation. Il est vrai que l'OL a évolué à dix le plus clair de la deuxième période (exclusion de Cleber Anderson à la 52e) et a marqué un but décisif en infériorité numérique. De quoi relativiser la possession de balle majoritaire des Parisiens en fin de partie. Sans pour autant doucher la détermination de Paul Le Guen qui croit «plus que jamais» en son groupe. Sans distinction de générations. Auteur d'un doublé en 40 minutes de présence sur le terrain (61e, 90e+2), Pauleta peut-il espérer un meilleur temps de jeu ? «Oui, comme tous les joueurs. Quand il est bon, je suis le premier content. Chacun a sa place». Comment enfin rendre Paris à son jardin ? «Il faut faire preuve d'obstination, être solidaire, se dire que si on reste avec le même état d'esprit, on a de meilleures chances de gagner. Contre Rennes (défaite 3-1), je n'étais pas satisfait, ce soir je le suis davantage malgré la défaite. A nous de confirmer cette semaine face à Montpellier en Coupe de la Ligue». Ce sera encore au Parc, mercredi (19h00). source:: lequipe.fr
  15. Résultats complet de 12ème journée Metz 0-0 Nancy Bordeaux 2-1 Valenciennes Lorient 0-0 Nice Saint-Etienne 0-0 Auxerre Lille 0-3 Strasbourg Monaco 0-0 Caen Sochaux 2-1 Marseille Dimanche 28 octobre 2007 Lens 1-2 Rennes Le Mans 1-1 Toulouse Paris-SG 2-3 Lyon source::lequipe.fr
  16. L'OL prince du Parc L'OL n'a pas tremblé sur la pelouse du PSG pour s'offrir sa neuvième victoire de la saison. Emmenés par un binôme Benzema-Ben Arfa des grands soirs, les sextuples champions de France ont prolongé le cauchemar des Parisiens au Parc des Princes en s'imposant par un but d'écart (3-2). En fin de première période, Ben Arfa inscrivait un doublé qui faisait basculer la rencontre avant que Pedro Pauleta, entré en cours de jeu, ne réduise la marque. Mais les Gones, plein de maîtrise, scellaient leur succès à cinq minutes du terme de la rencontre lorsque Govou propulsait le ballon au fond de la cage gardée par Landreau. L'Aigle des Açores réduisait à nouveau la marque dans les arrêts de jeu, en vain. Lyon reste le maître incontesté de la L1 et Paris s'englue dans la seconde moitié du classement. source:: football.fr
  17. Les Rangers s’inclinent Les Glasgow Rangers ont été battus sur la pelouse de Dundee (2-1) lors de la 11e journée. Malgré un penalty de Daniel Cousin, les Rangers ont subi leur 3e défaite de la saison à Dundee (2-1) et sont rejoints à la 2e place par leur bourreau du jour, à trois longueurs du Celtic. Aberdeen et Falkirk ont fait match nul (1-1). Résultats de la 11e journée : Samedi Gretna - Inverness 0-4 Hibernian - Saint-Mirren 0-1 Celtic - Motherwell 3-0 Kilmarnock - Hearts 3-1 Dimanche Dundee - Rangers 2-1 Aberdeen - Falkirk 1-1 source:: sport24.com
  18. Le Bayern accroché Plus que bousculé par le Borussia Dortmund, le Bayern Munich a tout de même réussi à préserver le point du match nul (0-0). Privé de Franck Ribéry, le Bayern a souffert à Dortmund même si les Bavarois ont frappé la transversale par deux fois. Le Borussia touchait également le poteau mais personne ne réussissait finalement à marquer (0-0). Au classement, les Munichois voient Hambourg, vainqueur à Duisbourg (0-1), revenir à quatre longueurs. Résultats de la 11e journée : Vendredi Eintracht Francfort - Hanovre 96 0-0 Samedi Wolfsburg - Nuremberg 3-1 Hertha Berlin - Bochum 2-0 Arminia Bielefeld - Energie Cottbus 1-1 Schalke 04 - Werder Brême 1-1 Stuttgart - Bayer Leverkusen 1-0 Hansa Rostock - Karlsruhe 0-0 Dimanche Duisbourg - Hambourg SV 0-1 Borussia Dortmund - Bayern Munich 0-0 source:: sport24.com
  19. LENS NE S'EN SORT PAS Nouvelle défaite pour Lens, battu à Bollaert par une belle équipe de Rennes (1-2). Match nul à Léon-Bollée entre Le Mans et Toulouse (1-1). A 21h00, Paul Le Guen sera au centre des débats pour le choc de cette journée entre le Paris-SG et Lyon. L'entraîneur parisien a encore fait le choix de la jeunesse pour tenter d'arracher son premier succès de la saison au Parc. A l'instar de l'Olympique de Marseille, le Racing Club de Lens est lui aussi bien parti pour vivre une saison galère. C'est une nouvelle confirmation après le revers concédé à Bollaert ce dimanche face à Rennes (1-2). Une nouvelle grosse désillusion pour l'équipe de Jean-Pierre Papin, qui se devait de l'emporter pour éviter de s'enliser dans la zone rouge (19e avec 9 pts). Malgré un début de saison terrible, les Lensois étaient pourtant encore invaincus à Bollaert avant ce match avec notamment zéro but encaissé. Rennes a démoli tout ça, et tranquillement. Après une première période tactiquement à l'avantage des Rennais, les Artésiens ont fait illusion un court moment juste après la pause par Monterrubio, qui a profité d'une mauvaise relance de Hansson (50e, 1-0). Mais les Bretons, qui n'ont plus perdu depuis huit mois à l'extérieur, ont vite repris le dessus avec d'abord une égalisation de Wiltord, étrangement seul au second poteau sur un centre de Sorlin (58e, 1-1), puis grâce à un but de Leroy (77e, 1-2). Trois jours après sa défaite en UEFA à Bâle (0-1), la formation de Pierre Dréossi rebondit merveilleusement et reprend sa place sur le podium (3e), à égalité avec Nancy (24 pts) et juste devant Bordeaux et Le Mans. Les Sarthois n'ont eux aussi pas fait la loi chez eux face à Toulouse (1-1). Menés au score après un but splendide de Stéphane Sessegnon, le TFC a trouvé les ressources pour égaliser grâce à Nicolas Dieuze, buteur providentiel en l'absence de Johan Elmander. Un résultat qui va rassurer des Toulousains en pleine zone de turbulence après leur deux matches perdus en quelques jours au Stadium face à Saint-Etienne (0-2) et à Leverkusen (0-1). PARIS : On prend les mêmes...ou presque Ce n'était donc pas un simple coup de poker. Paul Le Guen va bien reconduire une équipe rajeunie dimanche soir au Parc des Princes face à Lyon. Ce qui était apparu à Valenciennes comme un pari, une volonté de piquer l'orgueil de certains, laisse place aujourd'hui à un souhait profond de modifier la donne. L'entraîneur parisien avait décidé dans le Nord de titulariser cinq gamins, et de nommer Sakho capitaine pour son premier match en L1. Conscient que ses choix ne sont sans doute pas complètement viables dans la continuité, en tout cas dans une telle proportion, l'ancien technicien lyonnais a choisi cette fois de faire du neuf, avec un peu de « vieux ». David Ngog, l'un des chefs de file de la classe biberon ne sera pas dans le groupe, retenu en équipe de France des moins de 19 ans. Le Paris-SG a demandé et obtenu une dérogation de la Fédération pour le milieu Younousse Sankharé (2 matches en L1). Le Guen devrait l'utiliser comme contre VA. Granddi Ngoyi (2 matches en L1) et Loris Arnaud (5 matches en L1) se retrouveront dans le onze de départ. « C'est une belle promotion qu'il faut accompagner, même si cela peut prendre un peu de temps. Je veux faire vivre une vraie concurrence. Ces jeunes ont des atouts pour s'exprimer au Parc. Si le public reste fidèle et supporter, nous avons les moyens de faire quelque chose », plaide Paul Le Guen sur le site officiel du club. Pour encadrer ces « gamins », le retour de suspension de Rothen sera important. La présence de Mario Yepès, qui n'a pas déçu à Valenciennes, l'est tout autant. Pour Pauleta, en revanche, le déclin se poursuivra sur le banc, comme pour Gallardo. Il demeure une grande interrogation : le Paris-SG nouveau est-il capable d'obtenir son premier succès de la saison au Parc face à un ténor qui retrouve peu à peu sa voix ? Le « pari jeune » ne risque t-il pas de se transformer en « péril jeune » face à l'ogre lyonnais ? Au risque de tomber dans la gueule du Lyon, Paul Le Guen y jouera une partie de sa crédibilité et sans doute l'un de ses derniers jokers. « Ces jeunes veulent se faire un nom » et c'est sans doute cette inconnue qui inquiète son homologue lyonnais, Alain Perrin. « Le problème est qu'effectivement, nos joueurs ne connaissent pas, ni leur style de jeu, leur registre, leur technique, ni leur vitesse de course. L'entraîneur (Paul Le Guen) n'est pas fou. S'il fait confiance à ces jeunes-là, c'est qu'il a pu voir depuis le début de saison qu'ils avaient des qualités pour entrer dans l'équipe» prévient le stratège rhodanien. source:: lequipe.fr
  20. - Le président s'excuse Après le mécontentement affiché par plusieurs supporters de Tottenham suite au limogeage de Martin Jol, le président et propriétaire des Spurs, Daniel Lévy, a tenu à s'excuser, dans un communiqué diffusé sur le site internet du club dimanche, pour la manière dont l'ancien manager a été licencié jeudi dernier. «Les évènements ne se sont pas passés comme nous le voulions et je suis le premier à admettre que je suis désolé et que les choses auraient dû être faites différemment et d'une meilleure manière» a expliqué Lévy. source:: lequipe.fr
  21. 9ème journée Majorque 2-2 Espanyol Athletic Bilbao 0-0 Betis Séville Levante 0-1 Atlético Madrid Osasuna 2-2 Valladolid Santander 2-0 Getafe Murcie 1-0 Recreativo Huelva Saragosse 4-1 Villarreal Real Madrid 3-1 La Corogne Barcelone 0-0 Almeria (en cours) 21h00FC Séville - Valence source:: sport24.com
  22. Grosso forfait à Paris L'Olympique Lyonnais devra se passer de Fabio Grosso pour se déplacer dimanche au Parc des Princes, où le club lyonnais doit affronter le PSG (12e journée de L1). Le défenseur italien souffre d'un gros hématome au pied gauche, ce qui l'a empêché de s'entraîner depuis jeudi. « Cela fait partie des aléas, avait commenté Alain Perrin vendredi. S'il ne peut pas jouer pour ce match, j'espère pouvoir le récupérer mercredi prochain à Caen. » L'entraîneur lyonnais est d'ailleurs tenté d'attendre ce match de Coupe de la Ligue pour faire tourner son effectif. « On fera le point après la dernière séance avec Karim (Benzema) pour savoir s'il a besoin de souffler et quand », a encore précisé Perrin. Fred pourrait alors retrouver à Paris une place de titulaire qu'il avait quittée le 5 mai dernier... lors d'un déplacement au Parc des Princes, où il s'était blessé à la cheville. « Mais faire jouer Fred et Benzema ensemble fait également partie de la réflexion », souligne Perrin. source:: francefootball.fr
  23. baaiidy93

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    Tennis - ATP - Bercy - Simon passe le 1er tour Gilles Simon s'est qualifié, dimanche, pour le deuxième tour du Masters Series de Paris Bercy en dominant l'Italien Potito Starace (6-3, 3-6, 6-3). Au prochain tour, il affrontera le Chilien Fernando Gonzalez (n°7). source:: lequipe.fr
  24. Résultats de la11ème journée( fin) Bolton1-1Aston Villa Derby County0-2Everton Tottenham1-2Blackburn source:: eurosport.fr
  25. baaiidy93

    Tennis

    Tennis, ATP, St-Pétersbourg Murray s’impose Andy Murray décroche le 3e tournoi de sa carrière après sa victoire à Saint-Pétersbourg. Gêné une bonne partie de la saison au poignet, Andy Murray termine fort cette année. A Saint-Pétersbourg, l’Ecossais remporte le 3e titre de sa carrière grâce à son succès sur Fernando Verdasco en finale (6/2 6/3). Résultat de la finale : Murray (GB, 2) - Verdasco (Esp, 6) 6/2 6/3 source:: sport24.com
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