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Marvin

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Marvin

  1. Si tu es défenseur, tu sais obligatoirement que la meilleure manière de défendre, c'est de garder le ballon. C'est résumer à 0% le nombre de chance adverse. Quand l'équipe d'Espagne se font des passes dites "inutiles" derrières, ils défendent, et de la manière la plus sûre. Après Chelsea ce n'est pas brillantissime défensivement ils ont du mal à sortir le ballon, se font souvent prendre sur les cotés, ou dans le dos. On verra sur ce match. Si je devais parier je parierais Chelsea en finale, mais ça va être fait salement, et surtout en étant moins audacieux que son adversaire. C'est dommage pour un club qui peut claquer 300M par mercatos. Leur victoires pourraient êtres bien plus certaines s'ils avaient une autre approche globale selon moi. Après ils gagnent comme ça, c'est très bien. Ce que je note c'est qu'ils ne rentreront pas du tout dans l'histoire du football, même s'ils gagnent 3 LDC d'affilés. Ils n'auront rien montré de spectaculaire, rien montré offensivement. Même leur contres sont très souvent mal joués. Après ils vont gagner par leur force dans les duels, mais j'ai l'impression qu'ils arrivent à résumer le football à ça, et moi ça me déplore.
  2. Personne ne dit que c'est interdit. C'est simplement la honte. Mais il l'assume, le José, il s'en tape. Il sait que c'est une honte, il n'y a que toi qui pense que c'est pas la honte, même les joueurs le savent. Chelsea a réussi 78 passes en 45 minutes. 8/30 dans le tiers offensif (attacking third).
  3. Schwarzer va les degouter et Torres les crucifier. Salement. Move that bus! Move that bus!
  4. mdr la compo de Mourinho Vive l'audace... Quel immonde vainqueur.
  5. Peux-tu nous parler de Van Gaal, et notamment de la saison où il se fait virer ? Est-ce que tu penses, comme Van Gaal le pense, que Jupp Heynckes a profité aussi du travail de Van Gaal pour avoir une équipe aussi compétitive ?
  6. Marvin

    Dimitar Berbatov

    lol sérieux ? Il y a débat ?
  7. Marvin

    Ryan Giggs

    En conf de presse vendredi.
  8. Je ne connais pas non plus cette saison du Bayern en profondeur. Il y avait beaucoup de blessé c'est certain, ils ont été mauvais c'est certains aussi. Ce qui est certain aussi, c'est que Jupp Heynckes a construit une équipe aussi forte, sur les bases de son travail. Comme Moyes a essayé de construire sur le travail (déplorable ces deux dernières saisons) de Ferguson. Il ferait donc un parfait Head coach 3-4 ans au moins, pour la transition, si ce n'est plus si affinité.
  9. OSEF de son visage de film d'horreur, on ne va pas recruter David Beckham en head coach.
  10. Oui, je suis persuadé que c'est celui qu'il nous faut, à défaut de pouvoir recruter Pep Guardiola ou Jurgen Klopp. Il est extrêmement complet dans son approche footballistique : vision du football, progression des jeunes, immense tacticien, a déjà gagné énormément de trophées, dans tous les clubs dans lesquels il est passé, gros caractère, franc et direct, et il a révélé les Xavi, Iniesta, Muller, Seedorf, Bergkamp, VdS ... Je ne comprends pas trop comment on peut dire qu'il ne ferait pas un excellent coach à United. Il a la mentalité, l'audace et le désir de supériorité, comme United.
  11. Marvin

    David Moyes

    http://www.dailymail.co.uk/sport/football/article-2610259/Phil-Neville-remain-Manchester-United-coaching-staff-Steve-Round-Jimmy-Lumsden-set-depart.html?ITO=1490&ns_mchannel=rss&ns_campaign=1490&utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter Round et Lumsden vont quitter le club. Phil Neville conserverait son poste.
  12. Marvin

    David Moyes

    Rodney Marsh ‏@RodneyMarsh10 24 min I understand David Moyes went to Carrington to shake hands with the players before leaving the club. Pas de haine, juste un au revoir poli. Merci pour avoir essayer comme disent les anglais.
  13. Pour le moment, c'est Ryan Giggs qui remplace Moyes. Sûrement avec Butt qui remplace Round. Ce jusqu'à la fin de saison. Pour savoir qui sera le prochain coach de United, il faudra déjà attendre que le championnat soit terminé. Avant ou après la CDM, on en sait rien. Ca dépend de nos cibles. La cible la plus réalisable, et selon moi qui a le plus gros rapport réalisable/bon coup, c'est Van Gaal, qui veut entraîner en PL, et qui a refusé Tottenham plus tôt. Si on prend LVG, je pense qu'il faudra attendre au moins l'élimination des Pays-Bas pour qu'il nous rejoigne officiellement. Pour le moment il a un objectif sur lequel il doit utiliser tout son temps.
  14. Marvin

    David Moyes

    Rien ne leur donne raison, voyons. Son licenciement est surtout lié aux résultats calamiteux qu'il a eu en tant que chef de l'équipe. Pour ouvrir les yeux, il faudra sûrement attendre la saison prochaine, où l'on jouera sous un bon coach (je l'espère). Van Gaal ferait tellement mieux avec cet effectif, c'est tellement évident. Maintenant, pour vous en persuader, il faudra simplement voir la saison prochaine. Personne ne peut lire l'avenir.
  15. Tu pourrais parler un peu plus du modèle du rugby ? Je ne connais pas (du tout/trop) ce sport (dans le topic approprié si tu le souhaites)
  16. Marvin

    Wayne Rooney

    Par contre tu sors un match comme celui de ce week end sous Van Gaal, tu squattes le banc une bonne demi douzaine de fois avant de rejouer.
  17. Je n'en serais pas si sûr. Il voulait le poste après Ferguson. Il voulait être son successeur à United. Là il s'est fait humilier parce que le club lui a préféré Moyes. Je ne suis pas certain, au vu de son degré d'amour propre et son caractère prétentieux, qu'il veuille nous rejoindre plus que nous détruire en PL. Et puis de toute façon je n'en veux pas. J'aimerais voir du football à United, ça fait un bail.
  18. LIVERPOOL, LE RENOUVEAU PAR LE MILIEU La fête et le bonheur sont là à Liverpool. Au pas de la porte, après ce week-end marqué par la défaite de Chelsea contre Sunderland et la victoire des Reds 3-2 à Norwich, contre qui, pour une fois, Luis Suarez n’a pas inscrit un triplé. Il n’a encore rien gagné, et pourtant il est déjà le grand vainqueur de cette saison. Brendan Rodgers, auteur d’une première campagne mitigée et cible de nombreuses critiques lors de ses premiers mois, est aujourd’hui intouchable. Il sera au minimum l’homme qui a fait revenir la Ligue des champions à Anfield, un espoir encore incertain en août dernier. Les Reds visaient le top 4 aux premières heures de ce championnat d’Angleterre. Ils étaient cinquièmes au soir de la phase aller. Et pourtant, l’entraîneur nord-irlandais rêvait de mieux. Depuis le début. Dans une interview donnée récemment au Telegraph, Steven Gerrard déclarait :”Le coach n’a jamais dit que le top 4 était notre seul objectif.” Le temps aura donné à raison à Rodgers, qui se tient désormais à la tête d’un club leader de Premier League, emmené par Luis Suarez et Daniel Sturridge à l’avant de son système. Si ses attaquants empilent les buts, la réussite de Liverpool réside en réalité plus bas dans le schéma tactique. Là où Rodgers intervient le plus souvent. L’ADAPTATION, SANS INTERRUPTION La première saison à Liverpool de l’ancien coach de Reading fut marquée par sa capacité à corriger ses erreurs en cours de match. Il arrivait régulièrement qu’après une entame de rencontre ratée par un onze de départ inadéquat, Rodgers modifiait son équipe, soit par les joueurs, soit par le module tactique, et l’aidait à se relever. Une situation beaucoup moins banale depuis plusieurs mois, parce que les Reds doivent moins souvent rattraper leur retard. Liverpool ouvrit le score lors de la moitié de ses matchs de Premier League la saison passée. Cette saison, les Scousers ont déjà marqué le premier but 27 fois en 35 journées. Le meilleur bilan du championnat dans ce domaine, où ils devancent Manchester City (26/34) et Chelsea (25/35). On y verrait presque un début de corrélation entre classement et fréquence d’ouverture du score. Lors de ses victoires face à ses concurrents directs, que ce soit pour le top 4 ou le titre de champion, Liverpool a quasiment toujours ouvert la marque. Même quand les joueurs de la Mersey ont perdu à Chelsea, ou en déplacement à l’Etihad Stadium (les deux seules défaites dans ce scénario), ils avaient frappé en premier. Liverpool pose des problèmes à toutes les équipes grâce aux profils variés de ses joueurs, dont Rodgers a su profiter en les interchangeant selon l’opposition. À Southampton, après l’ouverture du score par Luis Suarez, il a fait entrer Raheem Sterling au sommet du milieu en losange pour profiter des espaces laissés par Southampton en phase offensive. Le jeune anglais a marqué une minute après sa première foulée sur la pelouse. À Cardiff, Rodgers a titularisé Philippe Coutinho au sommet du même losange, parce qu’il savait que les Gallois joueraient bas, que la vision et de qualité technique du Brésilien – formé au futsal, comme Wissam Ben Yedder – seraient plus à propos pour défaire un bloc reculé. Le meneur de jeu de poche, numéro 10 dans le dos, a délivré deux passes décisives. Les rencontres où Rodgers a besoin d’intervenir en cours de match sont devenues de plus en plus rares. Liverpool refuse le “round d’observation”, et nous épargne d’un poncif habituel du consultantisme. Les Reds ont inscrit 11 buts dans les dix premières minutes de jeu, 13 dans les dix minutes suivantes. La première satisfaction, quand on affronte Liverpool cette saison, c’est échapper à l’effondrement en première mi-temps. Lors de leur venue à Anfield, Everton, Tottenham, Arsenal et Manchester City ont tous craqué et encaissé au moins deux buts. Autrefois pro-possession à Swansea, Rodgers a néanmoins dû faire face à des vents contraires en de rares occasions. Et démontré un pragmatisme en plein développement, ainsi qu’une science de la micro-tactique (cette capacité à inverser le cours d’un match par un changement de système ou de joueurs, dont Mourinho et Guardiola sont maîtres). Liverpool a la deuxième meilleure moyenne de points après avoir encaissé le premier but, 1,13 par match, derrière les 1,44 de Chelsea. Contre Aston Villa, Rodgers a réorganisé son dispositif pour revenir de 0-2 à 2-2 lors de la deuxième mi-temps, en rajoutant Lucas au milieu dès le début de la seconde période. C’est également ce qu’il fit contre West Ham il y a quelques semaines, à nouveau après seulement 45 minutes, pour un succès final 2-1. Les deux fois, c’est Philippe Coutinho qui est sorti. Sans ressentiment. Lors du match suivant celui à Upton Park, c’est lui qui a mené les Reds vers un succès vital contre Manchester City. VERS LA FLEXIBILITÉ Les entames de matchs réussies par Liverpool s’expliquent autant par le onze sélectionné par Rodgers que par le style qu’il a fait adopter à son équipe. La saison 2012/2013 se déroula en deux actes. La phase aller vit le Nord-Irlandais tenter d’imiter son Swansea, et de copier le modèle de conservation du ballon qui avait fait sa renommée. Rodgers avait d’ailleurs continué dans la lignée de Roberto Martinez, coach du club gallois de 2007 à 2009. Aujourd’hui à Everton, l’Espagnol avait refusé Liverpool en 2012 avant que ses dirigeants américains ne se portent sur Rodgers, qui fut en grande partie choisi pour le style qu’il parvenait à installer dans un club modeste. Rétrospectivement, l’ex-technicien de Reading est sans doute moins radical que son homologue ibérique. La possession moyenne des Toffees cette saison est en effet supérieure à celle de leurs voisins : 55,7% contre 54,7. La saison passée, Liverpool atteignait 57%. Le résultat d’un changement de cap opéré par Rodgers, le deuxième acte, notamment suite aux arrivées de Philippe Coutinho et Daniel Sturridge en janvier 2013, joueurs plus intéressés par la prise de risque que par la répétition de passes courtes. Le Brésilien, par exemple, est le 13e joueur qui tente le plus de tirs en Premier League (une de ses lacunes) et le 12e qui réussit le plus de dribbles. L’effectif de Liverpool compte plus de joueurs verticaux qu’horizontaux. Avec ces profils, Rodgers a opté pour un modèle de jeu plus mixte. Liverpool reste capable de prendre la maîtrise du jeu si nécessaire (le deuxième but contre Norwich, après 17 passes et une construction depuis la défense centrale, en est une illustration). Parfois avec difficulté, en attestent les succès arrachés contre Fulham et West Ham. En revanche, dans les secondes qui précèdent la récupération et qui la suivent, les hommes en rouge impressionnent. INTENSITÉ ET PRESSING L’effectif de Liverpool est jeune. Raheem Sterling a 19 ans, Philippe Coutinho et Jon Flanagan en ont 21, Jordan Henderson 23. Rodgers a su en profiter. Il a pu inculquer à des joueurs encore modelables comment se comporter lors d’une phase habituellement peu attirante : le jeu sans ballon. Car c’est là que Liverpool a fait sa révolution cette saison. Une progression brutale qui a provoqué des comparaisons avec le Dortmund de Jürgen Klopp, comparaisons qui trahissent légèrement la réalité. Les Borussens exercent leur pressing extraordinairement haut, parfois jusqu’à la surface adverse, alors que les Scousers se limitent jusqu’ici à une zone moins avancée du terrain. La naissance des mécanismes défensifs de Liverpool s’est faite en plusieurs épisodes. La fessée donnée à Tottenham à White Hart Lane, sur le score de 5-0, avait permis d’entrevoir quelques instants de cette nouveauté. Mais c’est la victoire 4-0 sur Everton à Anfield, fin janvier, qui a véritablement lancé à la fois le règne du pressing et rendu visibles les possibilités immenses de contre-attaque qu’offrent les qualités de l’effectif liverpuldien. La démonstration a finalement eu lieu face à Arsenal, à peine dix jours après le derby. C’est lors de cette rencontre que le milieu rouge, malgré son allure qui ne laisse pas imaginer un tel talent de destructeur, a brillamment exposé sa nouvelle force. En phase de pressing, Liverpool aime isoler un adversaire sur le côté, zone de faiblesse. Ici, c'est Santi Cazorla qui est obligé de rendre le ballon à la seule solution disponible. La première étape du piège rouge. La deuxième, c'est le pressing immédiat (et déjà lancé) de Coutinho sur le receveur, qui est finalement forcé de rendre le ballon à son défenseur. C'est la troisième étape. La passe sera d'ailleurs ratée à cause de la vivacité du Brésilien. Rodgers a ainsi pu transformer un meneur de jeu en un outil de pressing. Une éducation qu’il n’a pas eu besoin de livrer à Jordan Henderson, déjà spécialiste, et beaucoup plus costaud que son compère auriverde. Ici, Jordan Henderson est au duel avec Mesut Özil, qu'il domine physiquement. L'Allemand perd le ballon, et Henderson conduit le cuir avant de servir Luis Suarez. Coutinho pique vers la surface, mais c'est Sterling (en bas à droite), grâce à sa vélocité, qui recevra la passe de l'Uruguayen pour le 3-0 quelques secondes plus tard. C’est par cette intensité soudaine, dès le coup d’envoi des rencontres, que Liverpool a pu aussi souvent prendre l’avantage. Une tendance qui permet à ses joueurs de profondeurs d’exploiter les espaces forcément abandonnés par les adversaires dans leur tentative de remontée au score. Néanmoins, ce pressing ne renferme pas qu’un intérêt offensif. Il protège également Steven Gerrard d’un travail défensif qu’il serait incapable d’assumer. Grâce à Henderson, Coutinho, Allen ou Lucas, le capitaine reste loin de ces tâches-là. Plus bas, il récupère des ballons déjà abîmés par ses coéquipiers, et, de temps à autre, ramène le football dans les années 2000 en envoyant un tacle viril (il réalise 2,8 tacles par match cette saison, ce qui le classe 29ème en Angleterre et 4ème à Liverpool). Gerrard a toujours été un excellent tacleur. On l’avait simplement oublié. Peu de joueurs se sont révélés assez talentueux pour briser le pressing de Liverpool. David Silva y est parvenu lors de la deuxième période du match perdu par Manchester City à Anfield. Il s’est intercalé dans des zones où les Reds ne savaient pas se partager les responsabilités, entre le latéral et le milieu intérieur. Dès que le pressing faiblit au milieu, la défense de Liverpool montre ses failles. Et Steven Gerrard, beaucoup moins mobile que par le passé, a vécu 45 minutes difficiles. Au micro après le coup de sifflet final, il a dit que c’était les “90 minutes plus longues” qu’il avait jamais disputées. Et peut-être les plus importantes dans son histoire conflictuelle avec la Premier League. RÉCOMPENSE La série de onze victoires de Liverpool, née avec la démolition d’Arsenal, quittera rapidement les mémoires si elle ne conduit pas à un dix-neuvième titre de champion d’Angleterre, le premier depuis 1990. Pour éviter pareille déconvenue, il faudra faire en sorte de ne pas perdre contre Chelsea ce week-end. Les Blues en seraient le bénéficiaire direct, mais pas le principal. Manchester City serait complètement relancé. À Luis Suarez et Daniel Sturridge, 50 buts à eux deux cette saison en championnat, de valider le chantier tactique effectué par Brendan Rodgers depuis des mois. Les Scousers seront quoi qu’il en soit champions s’il prennent sept points sur les trois dernières rencontres. Ce billet a été rédigé par Raphael Cosmidis le 21 avril 2014 http://cahiersdufootball.net/blogs/les-de-managers/2014/04/21/liverpool-le-renouveau-par-le-milieu/
  19. Marvin

    Ryan Giggs

    Nigga what? Nigga who?
  20. Marvin

    Ryan Giggs

    Il va planter et sera le seul Head Coach qui aura planté un but, en plus d'avoir planté un but dans chaque saison de PL. Met toi titulaire Ryan! Et fait toi tirer tous les CF !
  21. Klopp ne viendra pas. Il veut construire quelque chose sur le long terme avec Dortmund, et j'espère de tout coeur qu'il y arrivera et que jamais il ne rejoindra un autre club. Louis Van Gaal est un excellent coach, il a une réelle philosophie de jeu, et sait gérer un grand club et en y étant triomphant de surcroît. Il va instaurer une grande discipline tactique et en même temps un jeu tourné vers l'attaque. De plus il a du flair et sais à la fois convaincre des jeunes perles de nous rejoindre, mais aussi de faire que cette perle devienne un top player. Il est également attrayant pour les joueurs qui seraient susceptibles de nous rejoindre. Il identifiera parfaitement les manquements dans notre équipe et ne recrutera que des joueurs qui nous sont fondamentalement utiles et nécessaires. Avec sa carrière et le fait qu'il ai découvert ou révélé des joueurs comme Xavi, Iniesta ou Motta, et encore avant Seedorf, de Boer, Bergkamp, Davids, VdS, il ne fait aucun doute qu'il puisse faire de même avec United. Selon moi il serait parfait à United, au moins le temps qu'un coach sur le très long terme arrive, peut-être Klopp dans 3/4 ans, mais je n'espère pas au fond, même si j'adore cet entraîneur.
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