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Marvin

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Marvin

  1. Marvin

    Louis van Gaal

    Oui, reconnaître que c'est subjectif c'est déjà ne pas donner son avis comme étant évident.
  2. Marvin

    Louis van Gaal

    van Persie a été bidon, Falcao a été bidon, Rooney a été bidon. Mais celui qui proposait le moins c'était clairement Rooney, largement devant les deux autres, qui à défaut d'être bons, réguliers et efficaces, proposaient beaucoup plus que Rooney, extrêmement statique. De toute façon il est compliqué d'analyser la saison des numéros 9, tant lors de la première moitié de saison on était mauvais à la construction, et tant lors de la seconde moitié de saison on était inefficace dans les 35 derniers mètres. Mais je trouve un peu osé que de dire comme une évidence que Rooney a été le moins pire des numéros 9.
  3. United gagne la C1 dès l'an prochain no worries
  4. Oui. Je crois avoir lu que si t'es pas en minimum demi finale, t'es financièrement perdant à jouer la compétition.
  5. Marvin

    La FIFA

    Article du monde diplo de 2010 sur la Fifa : Intouchables parrains du football mondial Le 11 juin débute, à Johannesburg, la Coupe du monde 2010 de football. Organisatrice de l’événement, la Fédération internationale de football association (FIFA) affiche une prospérité insolente. Cependant les critiques abondent : mode de fonctionnement jugé autoritaire, pratiques douteuses dont se rendraient coupables ses dirigeants. M. Joseph Blatter, son président, concentre les reproches : achat de votes, pots-de-vin, détournement des droits de retransmission de matchs... par David Garcia, juin 2010 « La Coupe du monde doit profiter à l’ensemble du continent africain. Notre programme “Gagner en Afrique avec l’Afrique” concrétise cette volonté. Nous installerons d’ici à 2010 un terrain en gazon artificiel dans chaque fédération africaine (1) », promettait M. Joseph Blatter, président de la Fédération internationale de football association (FIFA), un an, jour pour jour, avant l’ouverture de la compétition qui se déroulera en Afrique du Sud du 11 juin au 11 juillet 2010. Cette générosité paraît quelque peu dérisoire dans le contexte d’un pays miné par la ségrégation sociale héritée de l’apartheid. Pourtant, la plantureuse FIFA ne manque pas d’atouts sonnants et trébuchants. Au point que la crise économique et financière mondiale semblerait ne pas avoir de prise sur la plus riche des fédérations sportives. Fondée en 1904, la FIFA a dégagé, en 2009, un bénéfice de 147 millions d’euros et augmenté ses fonds propres, qui atteignent désormais la coquette somme de 795 millions d’euros. « L’avenir semble tout aussi réjouissant, exulte M. Julio Grondona, président de sa commission des finances. La Coupe du monde (...) 2014 jouit déjà d’une grande popularité. Outre les six partenaires de la FIFA (2) qui sont actuellement sous contrat, nous avons déjà signé les premiers contrats de sponsoring nationaux et internationaux. En ces temps d’instabilité économique, notre compétition phare s’avère être une valeur sûre qui combine suspense, divertissement et sport de haut niveau, et qui constitue une excellente plate-forme pour les marques commerciales (3). » De ce point de vue, la Coupe du monde 2010 constitue « un excellent tremplin vers les marchés africains, comme celle de 1994 le fut pour le marché américain et celle de 2002 pour le marché asiatique », commente le sociologue Patrick Vassort, spécialiste des rapports entre football et politique (4). L’idylle entre les marques et la FIFA dure depuis trente-six ans. Les noces ont été célébrées le 11 juin 1974, à Francfort, pendant la Coupe du monde organisée par la République fédérale allemande. Ce jour-là, le Brésilien João Havelange emporte la présidence de l’organisation face au sortant, le Britannique Stanley Rous. Avec, en arrière-plan, un faiseur de rois aussi discret qu’efficace, M. Horst Dassler, patron de l’équipementier sportif Adidas, lequel « se contenta de distribuer une liasse de billets aux délégués encore indécis ou susceptibles de rabattre d’autres voix afin de les encourager à soutenir Havelange (5) ». Le jour suivant s’ouvre sur une promesse de lune de miel rythmée par la signature de contrats de plus en plus fructueux. Grisée par sa fortune naissante, la FIFA ajoute à son organigramme les directions du développement, du marketing et de la communication. Formation d’entraîneurs, nouveaux tournois, stages d’arbitrage : l’entreprenant M. Dassler persuade Coca-Cola de financer les projets de campagne de M. Havelange. En contrepartie, le groupe américain obtient « le droit de placarder son logo sur toute la Coupe du monde. Une fois que Coca-Cola eut signé, tout le monde voulut être de la partie (6) ». Ce faisant, la fédération internationale conclut « un pacte “faustien” avec les multinationales », résume l’historien du football Paul Dietschy (7). Plus riches qu’un patron de multinationale Visionnaire, M. Dassler pressent avant ses concurrents le formidable potentiel économique de la télévision. En créant, en 1983, la société de marketing et de gestion des droits International Sport & Leisure (ISL), le dirigeant d’Adidas s’érige en partenaire privilégié de la FIFA, à qui il assure une rente confortable. Le tout selon un mécanisme vieux comme le commerce : ISL achète les droits à la FIFA et les revend à prix d’or aux chaînes de télévision. Un accord « gagnant-gagnant » pour les actionnaires d’Adidas et une poignée de hiérarques de la fédération. Jusqu’à la faillite frauduleuse d’ISL, en décembre 2001, certains des hauts responsables de la FIFA toucheront des pots-de-vin en remerciement de leur fidélité à la marque aux trois bandes. L’ancien vice-président Jean-Marie Weber, ami de trente ans de M. Blatter, et cinq autres dirigeants de la société ont notamment été poursuivis pour escroquerie. Selon l’acte d’accusation, dressé lors du procès devant le tribunal du canton de Zoug (Suisse) en mars 2008, les prévenus auraient détourné 70 millions d’euros payés par la chaîne de télévision Globo (Brésil) et l’agence de publicité Dentsu (Japon) pour leur acheter les droits de diffusion des Coupes du monde 2002 et 2006 (8). Bien que M. Weber, considéré par les enquêteurs comme le cœur d’un « système de corruption », et ses collaborateurs refusent de révéler les noms des destinataires de ces « commission », deux dignitaires de la FIFA sont formellement identifiés. Il s’agit du président de la Confédération sud-américaine de football, M. Nicolás Leoz, qui aurait perçu 211 625 francs suisses (147 518 euros) en janvier et en mai 2000, et de l’ancien président de la fédération de football de Tanzanie, M. Muhidin Ndolanga, qui aurait touché de son côté 15 975 francs suisses (11 138 euros) en décembre 1999 (9). Au fond, les patrons de la FIFA sont de grands enfants trop gâtés par la vie : « Les vingt-quatre membres [de son comité exécutif] et ses sept vice-présidents sont probablement plus puissants et largement mieux rétribués que ceux de n’importe quelle entreprise multinationale du secteur concurrentiel. Son président, “Sepp” Blatter, dont la rémunération reste “secret-défense”, émargerait à près de 4 millions de dollars par an (10). » Les six accusés finiront par admettre, durant l’audience, qu’au cours de la décennie précédant la faillite d’ISL ils ont versé quelque 96,2 millions d’euros de pots-de-vin, via un compte de la banque LGT au Liechtenstein, petit paradis fiscal niché au cœur de la vieille Europe. A leur décharge, la législation helvétique n’interdisait pas les commissions à l’époque des faits. Moyennant quoi, les anciens dirigeants d’ISL et leurs « partenaires » de la FIFA ont été reconnus responsables... mais pas coupables. M. Blatter, qui a succédé à M. Havelange en 1998, s’accroche à son poste et négocie dorénavant avec... son neveu, M. Philippe Blatter, président de la société Infront Sports & Media, titulaire des droits télévisuels de la FIFA et domiciliée dans le canton de Zoug, à l’instar de l’ex-ISL et de nombreuses multinationales. Avant de prendre en 2006 la tête du groupe fondé par feu Robert-Louis Dreyfus, richissime homme d’affaires et propriétaire de l’Olympique de Marseille, M. Philippe Blatter travaillait pour McKinsey, le prestigieux cabinet de conseil auprès des directions générales. « De 2000 à 2006, McKinsey a facturé à la FIFA plus de 7 millions de dollars d’honoraires au titre du travail de titan fourni par Philippe Blatter en tant que consultant de luxe pour aider la Fédération internationale de football à s’organiser (11). » Avec ou sans ISL, la manne du petit écran continue de se déverser sur le siège zurichois de la FIFA. En 2009, M. Blatter a reçu des mains de son généreux neveu 487 millions d’euros au titre des droits de diffusion, dont 469 millions pour la Coupe du monde 2010, soit 60 % des revenus de la fédération internationale (12). Dans le monde de la FIFA, les pires entorses aux lois s’expliquent par le mode de désignation du président, dont découle le processus de prise de décision de l’organisation. Quelle que soit sa population, chaque Etat dispose d’une voix. Ce qui conduit à une surreprésentation des territoires sous-peuplés et des pays pauvres. Et favorise la corruption endémique dans laquelle est immergée la FIFA depuis des décennies. Avec deux cent sept adhérents, la Fédération regroupe plus de membres que l’Organisation des Nations unies (ONU). De quoi aiguiser l’appétit des candidats en manque de soutiens : « La FIFA, c’est un peu le meilleur des mondes. Les petites principautés européennes et les îles minuscules pèsent du même poids que les grandes fédérations », commente malicieusement M. Patrick Mendelewitsch, agent de joueurs et spécialiste du « foot business ». Même certains responsables trouvent que M. Joseph Blatter et ses affidés poussent le ballon un peu loin. « Le mode de fonctionnement de la FIFA n’est pas convenable », critique sobrement M. Jean-Pierre Karaquillo, directeur du Centre de droit et d’économie du sport et proche des instances dirigeantes de la Fédération française de football. Conseiller de la fédération de Trinité-et-Tobago, M. Jack Warner incarne le système jusqu’à la caricature. Le redouté président de la Confédération de football d’Amérique du Nord, centrale et des Caraïbes (Concacaf) est le principal auxiliaire de M. Blatter. Et pour cause : les îles des Caraïbes sont tellement nombreuses que, malgré leur population assez faible, la Concacaf bénéficie à elle seule de trois sièges au comité exécutif. Doté d’une fortune personnelle évaluée entre 15 millions et 30 millions d’euros, M. Warner monnaie son soutien au prix fort. En 1999, la FIFA renonce à une créance de près de 9,5 millions d’euros sur la Concacaf. Et lorsque, en 2002, le président de la fédération d’Antigua-et-Barbuda, M. Paul « Chet » Greene, demande un coup de pouce à la maison mère pour financer un « centre de développement pour le football Jack-Austin-Warner », un chèque de 161 439 dollars (121 000 euros) lui parvient aussitôt en provenance de Zurich. Un an plus tard, le journaliste Andrew Jennings se rend sur les lieux et, en fait de terrain de football, découvre « des chevaux qui broutent dans les broussailles près de la carcasse d’un camion de livraison de bière (13) ». Spécialiste du renvoi d’ascenseur, M. Warner se range derrière son président chaque fois que celui-ci est attaqué. L’élection de M. Blatter en 1998 et 2002 est-elle entachée d’irrégularités ? M. Warner exprime une solidarité sans faille envers lui et exige des sanctions exemplaires contre les contestataires. Vice-président de la Confédération africaine de football (CAF), M. Farah Addo fera les frais de la hargne des partisans de M. Blatter. En 1998, ce clan lui aurait offert 75 000 euros en échange de sa voix. M. Addo a affirmé que dix-huit officiels africains avaient vendu leur vote mais, devant son incapacité à étayer ses accusations, la commission disciplinaire de la FIFA l’a suspendu de ses activités pendant deux ans. Quant aux enquêtes internes sur ces élections controversées, elles ont toutes été classées sans suite. Peu enclin aux états d’âme, M. Blatter devrait se porter candidat à un quatrième mandat en 2011. « Je n’ai pas fini ma mission », a-t-il expliqué en souriant lors d’une conférence de presse au siège de la FIFA (14). Reste à battre son rival déclaré, le président de la Confédération asiatique de football (AFC), M. Mohammed Ben Hammam. « Maintenant qu’il sent venir son heure, M. Ben Hammam se retourne contre son maître », s’amuse M. Mendelewitsch. Comme M. Warner, M. Ben Hammam a soutenu inconditionnellement M. Blatter. Cela n’empêche pas ce proche de l’émir du Qatar de plaider subitement pour une limitation de la présidence de la FIFA à deux mandats. Parce que, au-delà, argumente-t-il, le numéro un de la FIFA « s’occupe de tout, sauf de football (15) ». Reste que, pour M. Mendelewitsch, « le successeur de M. Blatter sera tenu par le code de conduite de la grande famille du foot : il nettoiera à la marge mais ne changera pas radicalement le système ». David Garcia Journaliste. http://www.monde-diplomatique.fr/2010/06/GARCIA/19214
  6. Marvin

    Discussions transferts

    Bayern Munich have received concrete offers for Bastian Schweinsteiger and Dante from #mufc. [kicker via @BL_LatestEN] https://twitter.com/UtdReport/status/603677769290149889 http://www.dailystar.co.uk/sport/football/444601/Manchester-United-Mats-Hummels-transfer-news et une rumeur bidon sur Bacca : http://metro.co.uk/2015/05/28/manchester-united-favourites-to-seal-21-3million-transfer-of-sevilla-striker-carlos-bacca-5218459/ Bidon toujours : http://www.express.co.uk/sport/football/580458/Man-Utd-Ilkay-Gundogan-Arsenal-Borussia-Dortmund-Transfer-News-Gossip selon l'express on annoncerait l'arrivée de Gundodo ce W.E
  7. Je rigole ça va... Et puis j'ai déjà dit que je n'avait rien contre cette coupe, mais qu'elle est faite pour qu'on s'en tape, et que même pas mal de club du coup s'en tapent. Notemment reverser les clubs de CL qui ont ratés, les moments de diffusion, mal vendue.. Si il y avait de l'argent à se faire avec cette compétition beaucoup plus de clubs s'investiraient dedans, et elle serait aussi passionnante que la CL. Ça m'arrive souvent de regarder quelques matchs en +.
  8. C'est quoi la finale déja ?
  9. j'ai oublié le match lool non en vrai je voulais le regarder en plus... qui a gagné ? J'ai pas eu d'alerte sur mon tel ?
  10. Marvin

    Louis van Gaal

    il a été catastrophique en attaque aussi.
  11. Marvin

    Memphis Depay

    Magnifique vidéo. Elle ne se focalise que sur le dribble, mais c'est kiffant. L'interrogation c'est surtout sur la finition de ses actions, notamment son jeu de passe, même s'il est clairement difficile de ne se baser que sur les stats, ne sera pas forcément au point tout de suite. Son nombre de but montre quand même une très grande aptitude à frapper, donc à être précis. Avec un grand coach et une bonne équipe autour, il y a quand même pas mal d'espoir d'avoir un joueur décisif dès l'an prochain, et avec un potentiel exponentiel. Comme l'avait dit YB, c'est la star de son équipe depuis deux ans, champion des pays-bas et meilleur buteur du championnat. un petit article sofoot qui était publié pendant la WC : http://www.sofoot.com/8-choses-a-savoir-sur-memphis-depay-185966.html
  12. Marvin

    Louis van Gaal

    oui ^^ ce qu'il dit dans cette itw est plat comme un pain libanais
  13. Marvin

    Louis van Gaal

    non c'est juste qu'il ne met pas en avant le jeu de Rooney, mais son esprit combatif. c'est de la savante omission.
  14. quelle ordure . c'est tellement faux.
  15. (Réclamer la redistribution des richesses c'est réclamer ses chaînes ^^) Pfff... je parlais du capital culturel évidemment, toi tu penses que "argent, argent, argent"... désolant :P
  16. Pour l'héritage c'est évident.
  17. titulaire avec le Brésil en préparation de la WC -20 Marcos; João Pedro, Marlon, Lucão, Jorginho; Jaja, Alef, Andreas Pereira; Gabriel Jesus, Judivan, Marcos Guilherme.
  18. La honte pour la PL. La machine de guerre qui n'arrive même pas à se qualifier contre un coach bidon et une équipe à 10 contre 11. Si ça c'est une machine de guerre, la PL c'est même pas niveau Ligue 1.
  19. Marvin

    Tennis

    Et ta petite basque alors ? elle en est où ?
  20. Marvin

    Rumeurs fiables d'arrivées

    http://www.theguardian.com/football/2015/may/27/transfer-rumours-dani-alves-manchester-united pour continuer sur Alves Ian McCourt ne doit pas être le plus fiable au Guardian...
  21. Sans directeur sportif depuis un an, il est en freestyle total le Perez.
  22. S'il prend Benitez c'est pour faire l'intérim, clairement. Il prendra Klopp, le temps qu'il apprenne l'espagnol pendant 6 mois.
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