Best_07

Bienvenue Yassine. Je ne trouve pas le sommeil, alors je répète : Vidic is back.

Nani a, ce soir, gagné une place de titulaire. Son match était exceptionnel.

Ça y est les madrilènes sont repartis avec leurs photos en tout genre pour se justifier. Piss off.

je n'irais pas jusqu'à parler de penaltys non sifflés et de trucage du tirage. Mais donner un carton rouge à Nani pour cet excès d'engagement et ne pas en donner un à Varane qui annihile une grosse occasion : c'est inconcevable. Quelle manque de pertinence. En plus après l'arbitrage a été bancal tout du long. Un arbitre qui ne devrait pas arbitrer à ce niveau-là, point.

Porque ? Pathétique.

Si Giggs est vraiment titulaire à la place de Rooney et que nous sommes éliminés, Ferguson va s'en prendre plein la tronche. Et ce sera mérité. Parce que si c'est juste pour lui faire une fleur en raison de son 1000ème match : c'est limite. Wait & see...

Content que tu aies aimé. Quand il saute la nazie.

Les premiers plans de A Foreign Affair, ces vues aériennes sur une Allemagne en ruines – plus précisément sur un Berlin désenchanté (aucun jeu de mot avec Merlin n'étant ici intentionnel) –, évoquent tout de suite la dure réalité des conséquences de la guerre, où honte et précarité ne sont plus que les seuls repères d'un pays tout entier. Ces images assez difficiles à voir, surtout depuis cet avion américain composé de députés moqueurs et inhumains, évoquent tout de suite ce qu'on peut retrouver la même année chez un Rossellini dans Allemagne année zéro. Rassurez-vous, Billy Wilder n'est pas l'un des pères du néo-réalisme italien et sa manière de faire un portrait de l'Allemagne post-nazie se veut beaucoup moins sombre. Sans pour autant être écervelée, encore moins complaisante. [...] Douloureux, romantique, politique, ce film a tout de la comédie intelligente, qui sait ne pas être « trop » drôle, et qui sait surtout être efficace en tout point. Billy, tu as encore réussi ton coup.

VS Real Madrid : De Gea Rafael Ferdinand Evans Evra Carrick Cleverley Welbeck Rooney Young Van Persie

Ouais non Vive la France ça a l'air vraiment mauvais. Et puis Michael Younn/José Garcia c'est quand même autrement plus beauf que Clovis Cornillac/Manu Payet. Alors l'humour de Radiostars ne va pas chercher super-loin non plus. Mais c'est un road movie où les blagues passent toutes seules et s'enchaînent très bien. On lui en demande pas forcément plus. Honnêtement tu ne risques pas d'être déçu : c'est drôle. OLH : Si, j'ai plutôt apprécié Le Prestige. Sans plus. J'ai trouvé ça trop tiré par les cheveux sur la fin. Tandis que Vanilla Sky est juste mon film culte par excellence.

Ai vu Radiostars : agréablement surpris. Une bonne comédie française. C'est assez rare pour être souligné.

Je t'ai toujours imaginé en Marshall en plus.

pj c'est un peu comme Nolan : il est carrément surcoté.

Tu peux commencer par Boulevard du Crépuscule, du même Wilder. Puis Rebecca d'Hitchcock. Ça te pose les bases.

Ai vu Le Hobbit : c'est quand même très décevant par rapport au Seigneur des anneaux. C'est exactement la même ligne conductrice (au point de reprendre certaines scènes) mais... en moins bien. Ai vu L'Odyssée de Pi : c'est très bon. Une 3D efficace et une photo assez sublime. Bon, je n'irai pas jusqu'à le qualifier de chef-d'œuvre. Mais c'est clairement l'un des films grand public de ces derniers mois qu'il faut avoir vu.

I see what you did there. (Oui bon "on rigole pas avec l'histoire du club blablabla" : piss off, le décalage est trop important pour avoir de... l'importance).

UN CHEF-D'OEUVRE DE BILLY WILDER : ASSURANCE SUR LA MORT (1944). - Ou le coup d'essai avant le film-d'une-carrière : Boulevard du Crépuscule. - À une époque où les réalisateurs semblent obsédés par l'idée de distinguer le bien (USA) du mal (Nazisme) en faisant des films au propos lassant tels que Lifeboat (Hitchcock) ou Le Criminel (Welles), Billy Wilder offre quant à lui un propos tout en nuances et en pertinence. L'entreprise de ce film n'en est alors que plus louable et, au-delà de ses vertus purement cinématographiques, en fait évidemment un des longs-métrages les plus importants et réussis du milieu des années quarante ; ou devrais-je dire, du cœur de la seconde guerre mondiale. [...] Le film n'est peut-être pas exempt de tout défaut – que je n'aurais ni le cœur ni l'envie d'évoquer –, mais il touche là où ça fait mal, nous montrant à travers ce personnage en apparence irréprochable qui sombre dans une bassesse indéfendable, que aucun de nous n'est à l'abri de tomber un jour ou l'autre du « mauvais côté ». Billy Wilder ne juge pas les personnages. Il ne juge pas le Mal. Il montre les choses telles qu'elles sont : ambigües, incertaines, subjectives, et imprévisibles. Et il le fait en arrivant à intégrer son propos dans une histoire cinématographique palpitante et ingénieuse. En ce sens il a (à peu près) tout compris.

Y a quelqu'un ici ?

C'est pas glorieux mais à trois jours du match contre le Real, tant qu'on assure l'essentiel...

La Défense Lincoln est pas mal ouais. Matthew McConaughey.

Thanks.

Bon allez, c'est pas tout mais j'y vais. Y a des montpelliéraines qui attendent désespérément que je les soulève. Bonne deuxième période ; en espérant qu'elle soit plus enthousiasmante que la première, qui ressemblait à un match Fifa en manuel...