EricLeRouge

c'est comme ça et ça changera jamais le seul moment où TF1 a eu (un peu) de respect pour MU, c'est l'année où justement, Laurent Blanc a joué pour nous pour la période "Canto", c'était que sur A2 via Didier Roustan (qui est un pote à lui) sinon... il suffirait que Wenger entraîne MU pour que tout change nan hein, je rigole, Wenger à MU !!! mouhahaha ! autant rester dans l'indifférence des couillons de journalistes français

ce qui m'a tracassé hier, c'est son aptitude au "jeu de tête"... proche du néant (voir le néant), surtout sur les dégagement de notre gardien : de mémoire il n'a pas touché un seul ballon, soit mal placé, soit timing pourri, comme si il avait peur de faire une tête !?

je regrette quand même de ne pas avoir joué les blues quand c'était prévu...

tu as raison... mais ce qui serait encore plus cool c'est retenir de ses erreurs ! et chaque fois que y'a un truc qui va moins bien, les pleureuses sont là ! et à chaque fois c'est la même histoire (mon Dieu le titre est perdu !) à croire que ces gens ne supportent manchester QUE dans la victoire et quand on est un "vieux" comme moi, qui suit cette équipe depuis des décénies, alors je peux dire que c'est lourd, et que oui, manifestement y'a beaucoup de gamins ici et "gamin" ce n'est pas péjoratif hein, mois je dis bien que je suis vieux... à 44 ans ! sauf que dans ma tête, je me considère comme bien plus jeune que la plupart sur ce, je souhaite une bonne soirée tout à le monde, plus particulièrement à ballax, et si tu cherches un kdo pour ton anniversaire, petit conseil, demande un dictionnaire, ça te fera le plus grand bien

c'est le moins que l'on puisse dire...

réaction puérile de ta part prouve moi plutôt que j'ai tort !? mais ça, ça va être très difficile je crois

mon Dieu, quel fofo de gamins, ça fait pitié d'un côté faudra vous relire pour certains... allez, now c'est parti pour le 2-3 ou 3-2 mais ça va pas rester 2-2

à lire certains, c'est reparti pour un tour, et donc... : Mon Dieu, le titre est perdu !!!

personne ne constate que le corner pour le but vient du côté où... Evra était en train de se faire soigner ??? merci ref pour ne pas avoir vu ce coup de coude

oui bien sur, c'était l'autre partie de mon message qui est importante le fait de jouer à la Samp ne peut lui faire que du bien, et ce sera tout bénéf pour nous ensuite (du moins je l'espère)

quand je lis que certains trouvent kiko "insuffisant", je crois rêver... ce GAMIN (car faut quand même pas oublier son âge) a tout pour réussir, alors autant que ce soit à MU

on s'en balance de balotelli, quand on voit le jeu de rooney et l'influence qu'il a sur l'équipe, y'a pas photo entre les 2 ! et pour moi, rooney peut ne plus marquer 1 seul but d'ici la fin de la saison, si il peut continuer à animer notre jeu et faire en sorte que les autres joueurs marquent, c'est bien ça l'important celui qui regarde un résumé peut se dire : wai bof, pas terrible roo... celui qui regarde un match entier se rend compte à quel point roo est phénoménal

(rafa est cata défensivement contre bale), par contre il est affolant offensivement ! un pure diamant, il faut vraiment façonner son jeu, et surtout il doit être moins impétueux, sinon il va collectionner les suspensions... à l'autre bout de ma liste, je place carrick, à mon avis il fait toujours sa sieste et ne sait pas que le match a commencé à 17.10 ! et pour bale, je reste persuadé que l'on DOIT recruter ce gars là

akinfeevvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv ! le voila le type de gardien qu'il faut à MU

je ne retiens que ta dernière phrase, pleine de bon sens Longue est encore la route, mais savourons cet instant de bonheur, mes amis !

et ça repart... entre ceux qui nous voyait largué et jouer la descente, et les autres qui maintenant veulent déjà ouvrir le champagne décidément, certains ne comprendront jamais le seul truc qu'on puisse dire, c'est que la situation actuelle nous est favorable, le reste on verra...

super journée pour MU !!! arsenul city 0-0 chelsea et les spurs qui perdent... liverpool aussi, mais bon, ça fait longtemps qu'ils sont loin, très loin, trop loin

article DH belgique : Unique. Historique. À en faire se retourner dans leurs tombes des lignées de chevaliers français qui se sont invariablement cassé les dents en essayant de conquérir l’Angleterre. Éric Cantona, lui, a réussi. Il a mis la Perfide Albion à ses pieds. Il est et restera à jamais King Éric , roi d’Old Trafford, monarque du Théâtre des Rêves où ses coups de génie ont fait se lever une foule qui l’a acclamé, adoré, adulé, au point même de lui déclamer son amour sur l’air de La Marseillaise. Que de chemin parcouru pour le gamin qui a poussé ses premiers cris dans une grotte nichée sur les hauteurs des Caillols, à Marseille, en 1966. Canto , fruit d’une drôle de lignée. Arrière-grand-père paternel sarde, grand-père maternel catalan qui s’est battu contre Franco : le bougre a de qui tenir. Enfin, pas tant que cela. “Je ne suis ni sarde, ni catalan”, répond-il dans une interview accordée à L’Express en 1993. “Je me sens fils des Cantona, et rien d’autre. Je suis comme ça, c’est tout. Typique Cantona. Modèle déposé.” Qui va d’abord commencer à marcher dans les traces de son père gardien de but. Le gamin se débrouille bien. Mais il s’ennuie ferme. “Pour moi, il n’y avait que deux postes possibles : goal ou attaquant. Je n’envisageais qu’une chose : être le sauveur de mon équipe. Si je ne suis pas resté gardien ? C’est parce qu’avec les poussins des Caillols, on a mis 9-0 à ceux de Gardanne. Puis, on en a collé 8 aux poussins de je ne sais où. Je touchais jamais le ballon. Je servais à rien dans les buts. Alors, j’ai jeté les gants. Et je suis passé devant.” Le Potentiel du jeune attaquant ne laisse pas insensible les recruteurs. Monaco et Nice le courtisent, Auxerre rafle la mise. Le Marseillais pose son baluchon en Bourgogne à 15 ans. Nous sommes alors en 1981. Patiemment, il gravit les échelons. Équipe de France de jeunes, débuts pros en novembre 1983 et premières incartades. À 17 ans, Cantona est mis à la porte du centre de formation auxerrois qui ressemble, à l’époque, à une forteresse retranchée. Interdiction de sortir, cadenas aux fenêtres et Guy Roux dans le rôle de B ig Brother. “Un soir, j’ai fait le mur, on m’a dénoncé. Je me suis colleté avec le gardien du centre. Des mots violents. Des insultes. Partout ailleurs, on me ramenait à la gare. Guy Roux, lui, il m’a pris un appartement en ville. Il a su me comprendre. À cause de cela, j’ai beaucoup de respect pour lui.” L’exclusion, l’attaquant la connaît ensuite en équipe de France junior. Le motif ? “Instabilité caractérielle.” Premier chapitre d’une histoire tourmentée sous le maillot bleu. En club, Canto , barré à Auxerre, rebondit lors d’un prêt à Martigues lors de la saison 1985-86. Il revient alors en Bourgogne pour y signer son premier contrat pro et Henri Michel lui offre sa première sélection en août 1988, avec, à la clef, son premier but, lors d’une défaite contre la RFA. Le talent de Cantona devient rapidement trop grand pour Auxerre et l’attaquant est ainsi transféré à Marseille à l’été 1988. À 22 ans et pour 22 millions de francs français (soit 3,4 millions d’euros), un record à l’époque, le voilà de retour dans sa ville natale où rien ne se passe comme prévu. Les frasques se multiplient : en août, Henri Michel ne le retient pas pour un match contre la Tchéquoslovaquie et Cantona le traite alors de “sac à *****”. (sic) Suspendu un an, il jure de ne plus jamais porter le maillot bleu. Ah ! ces satanés maillots, toute une histoire. En janvier 1989, mécontent d’être rappelé sur le banc de l’OM lors d’un match amical, il jette sa tunique aux pieds de son entraîneur. Suspendu un mois, il est envoyé à Bordeaux. Après ce premier prêt, il est expédié à l’été 1989 à Montpellier pour une saison tout en contraste. Côté pile, une bagarre avec un coéquipier après une défaite à Lille, synonyme d’une suspension d’une semaine. Côté face, les joies du maintien et une Coupe de France. Chez les Bleus par contre, grand soleil pour celui que le nouveau sélectionneur Michel Platini a installé en pointe avec un certain Jean-Pierre Papin. Canto retourne ainsi à l’OM en 1991 mais, la faute à une blessure, il ne s’impose jamais. Lui, le Marseillais, ne sera jamais prophète en son pays et se voit céder à Nîmes, tout juste promu. Mais en décembre 1991, une décision de l’arbitre le fait dégoupiller. Cantona jette le ballon sur l’homme en noir, se fait logiquement exclure et écope de quatre matches de suspension. Sauf que Cantona, l’injustice, il déteste. Il traite alors la commission de discipline “d’idiots” . Deux mois de suspension en plus et le 12 décembre 1991, il décide alors de résilier son contrat avec Nîmes et de mettre un terme à sa carrière. Un vrai tsunami dans le football français. Avec l’Euro 92 qui s’annonce, le sélectionneur Michel Platini le convainc d’aller tenter sa chance outre-Manche. La France ne l’a jamais vraiment compris, l’Angleterre va l’adopter. Et plutôt deux fois qu’une. En février 92, il signe à Leeds avec qui il sera, dans la foulée, sacré champion d’Angleterre. 18 ans que tout un peuple attendait cela. Lors des célébrations du titre, la foule est nombreuse et boit les paroles d’un Cantona qui n’en croit pas ses yeux. “I love you. I don’t know why, but I love you.” La Cantomania peut commencer. Mais elle va prendre une toute autre dimension à Manchester où il s’engage en novembre 92. Il devient là-bas le premier joueur à être sacré champion deux fois d’affilée avec deux équipes différentes. Cantona devient Éric the King , guide suprême de la génération dorée des Red Devils . “Quand il était sur le terrain, même les choses les plus difficiles paraissaient faciles”, se souvient Ryan Giggs. “Avant, nous avions du mal à trouver la faille. Dès qu’il est arrivé, les buts ont commencé à pleuvoir.” Et les titres aussi. L’histoire d’amour entre Manchester et Cantona prend une autre tournure en janvier 95. Exclu sur le terrain de Crystal Palace, le Français se fait insulter par un spectateur xénophobe à qui il adresse un coup de pied à faire pâlir d’envie Bruce Lee. Son geste fait le tour du monde. Condamné à deux mois de prison avec sursis, sa peine est commuée en 120 heures de travaux d’intérêt général. La légende franchit un nouveau cap lors d’une conférence de presse mythique qui se résume en une tirade. “Quand les mouettes suivent un chalutier, c’est parce qu’elles pensent que des sardines seront jetées à la mer.” 248 jours après sa suspension, il effectue son retour le 1er octobre 1995 et renverse la situation contre Liverpool, l’ennemi honni de United . De nouveaux trophées suivront et le Français, élu joueur du siècle par les fans de Man U , décide d’arrêter sa carrière en pleine gloire, comme il l’avait promis, en mai 1997. À 31 ans, il referme le livre de son histoire. L’histoire de celui qui, au pays des ennemis ancestraux de sa patrie, a été couronné roi.

3 supers bons pts !!! car on n'en méritait que 1 et si WBA avait marqué son péno, nous en aurions surement eu 0... tout le reste est du vent

et tant que j'y suis, passe le bonjour à Ripley...

... et le Club respire un peu (même si c'est pas encore une vraie rennaissance)

la DH : Les Londoniens n'ont certes pas bien joué mais ils ont eu le brin de réussite qu'il leur fallait puisque Didier Drogba était hors jeu sur l'action du but pour ne pas changer...

rassures moi, en gagnant nos 2 matches de retard, on repasse devant WEST HAM quand même !?

j'étais au taf, j'ai rien vu du match et ne sais rien de celui-ci... et quoi, à lire certains sur cette page, c'est fait : on ne sera donc PAS champion alors !?

comme si on avait jamais joué sur la neige... bref