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Messages recommandés

c'est nettement en dessous de Shaun of the dead et surtout Hot Fuzz mais c'est cool

 

Prisoners, t'a trouvé un lien ? mais il est super y parait, mais faut aimer ce genre de film

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Prisoners, à voir surtout pour la grosse performance de Jackman et Gyllenhaal (surtout le premier) sinon y'a pas mal de scènes inutiles, limite ridicules.

 

@O.L.H, je t'ai passé un lien.

 

 

Vous trouvez pas que Gyllenhaal réutilise le même tic que Gosling (dans the place beyond the pines ? Même si j'ai un gros doute là-dessus)

 

 

 

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Les mecs, vous en pensez quoi :

Synopsis :

1. En voiture à la tombée de la nuit et au milieu de nulle part, Marc, tandis qu'il est au téléphone avec sa mère, perd le réseau et heurte un chien errant. ¹ Sa voiture s'arrêtant de fonctionner, il est contraint d'aller chercher de l'aide aux alentours. Il arrive aux abords d'une demeure délabrée et isolée, à côté de laquelle se trouve garée une vieille estafette.

2. Après qu'il ait toqué à la porte, un vieil homme bourru et méfiant l'accueille froidement, un fusil entre les mains. ² Sa femme se montre néanmoins plus hospitalière et invite Marc à entrer, s'exprimant depuis l'intérieur de la maison mais ne se montrant pas. Entraîné au sein d'une petite pièce se situant à l'étage, Marc fait la découverte de leur habitat précaire et peu rassurant ; ainsi que de la femme, au visage très marqué et cerné, assise sur une chaise à bascule au fond de cette fameuse pièce sombre, éclairée par une simple lampe à pétrole. Le malaise naissant de Marc se transforme en peur lorsqu'il entend des coups de hachoir et des gémissements indistincts en provenance d'une pièce voisine. L'attitude de l'homme, qui tourne autour de lui comme un prédateur et s'en va poser le fusil dans un coin de la pièce, contribue à accroître la peur grandissante de Marc.

Assis à la table, Marc se méfie de l'hospitalité de la femme et de la rudesse de l'homme. Il demande à utiliser un téléphone, et s'aperçoit que la ligne est coupée. La femme ordonne à son mari de servir un verre d'eau de vie au jeune homme. En s'exécutant, le mari appelle quelqu'un dans la pièce voisine. Les coups de hachoir cessent. Entre dans la pièce un trentenaire massif, à l'air hagard et dérangé, parcouru d'une bênitude enfantine. Au mépris de son père à son égard réagit la tendresse affective de sa mère, dans les bras de laquelle il va se réfugier quelques instants, avant de repartir dans la pièce voisine. Les coups de hachoir reprennent. Le père termine de préparer le verre de Marc et vient le servir. Constatant son hésitation craintive vis-à-vis de cette offrande hospitalière, le père ajoute une blague de mauvais goût. S'ensuit un fou rire répulsant du père et de la mère, qui parachève l'angoisse de Marc.

3. Rongé par la peur, Marc se précipite sur le fusil posé dans le coin de la pièce, avant que le père et la mère n'aient le temps de réagir. Il vide le chargeur en leur tirant deux balles dans la poitrine. Alerté par les coups de feu, le fils pénètre dans la pièce en courant et en panique, pendant que Marc cherche d'autres cartouches et recharge le fusil. Après s'être apitoyé devant le corps sans vie de ses parents, le fils se relève et se rue sur Marc, poing en avant. Au moment où il l'atteint, Marc appuie sur la détente. Le fils, abattu, s'étale sur Marc.

4. Enseveli sous son corps, Marc se dégage laborieusement. Il retourne le fils sur le dos, essuie le fusil, et le place entre ses mains. Il quitte ensuite la pièce, jetant un bref regard dans la pièce voisine, où trône un gibier à moitié préparé.

5. Il descend les escaliers, attrape un trousseau de clés qui se trouve près de la porte, sort de la maison, et vole l'estafette de la famille avec laquelle il s'enfuit.

Structure :

1. Exposition
2. Développement
3. Plateau de climax
4. Chute
5. Dénouement

¹ : Élément perturbateur
² : Élément déclencheur

Explications :

Le conflit principal oppose la barbarie à la civilisation. Dans un premier temps, le spectateur doit épouser le point de vue de Marc, qui représente la civilisation (téléphone, voiture). Tandis que ses hôtes portent davantage en eux l'attirail de la barbarie (précarité). Avant que ne s'opère un retournement (bascule corps contre corps) et que Marc, en tant que réel élément perturbateur, venu déranger le cours tranquille de cette famille tripartite équilibrée, soit le vrai barbare. Qui, isolé de sa propre civilisation, perd au même moment son humanité. Un conflit et un déroulement identifiables dès l'exposition, puisque Marc percute un chien errant avec une voiture (un des symboles de la civilisation).

Un sous-conflit met en opposition l'hospitalité et la violence. Caractérisés chacun par un objet phare et symbolique : le verre d'eau de vie et le fusil. À la fin du film, Marc a en fin de compte le choix entre accepter l'hospitalité de la famille ou la refuser violemment. Au lieu de boire le verre qu'on lui offre, il préfère, rongé par la peur, se ruer sur le fusil.

La thèse est donc de montrer que tout homme en perte de repères et vulnérable face à l'Autre, est un barbare en puissance qui, la plupart du temps, dans un processus de déshumanisation, se réfugiera derrière la violence « protectrice » (en réalité dévastatrice).

Modifié par Best_07
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Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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J'aime bieng'! Si t'as besoin d'un mec pour faire le trentenaire qui charcute une biche (et j'parle pas d'la soeur de Skynet), tu peux m'appeler.

 

Perso j'débarque dans une cabane qui me rappelle "Texas chainsaw massacre", j'les défouraille aussi. Parce que je manque de repère, mais aussi parce que j'aime les slashers. You know what I'm sayin'?

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J'avais plutôt Marvin en tête pour le rôle mais ça peut marcher.

Skynet quand je ferai une adaptation de RE5 je penserai à toi. ;)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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J'ai été voir Cartel hier ( rassuré vous je ne m'étais pas renseigné sur le film avant d'aller le voir on est allé au ciné sur un coup de tête ) et c'était je pense le film le plus nul et mauvais que j'ai jamais vu !! Vraiment à ch*** .. Mais vraiment vraiment vraiment !!!

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Hahahaha, la bande-annonce du prochain film de Lars von Trier censurée sur Youtube. p***** de bordel. Ils n'ont donc pas honte de s'opposer ainsi à l'art ? Et toutes les merdes qu'on se tape sur Youtube tranquillement, dont la promotion de Shark, absolument inhumaine. Qu'ils aillent se faire mettre bien profondément.

http://www.melty.fr/nymphomaniac-la-premiere-bande-annonce-non-censuree-devoilee-video-a230033.html

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Shame était une daube assommante. Là ça a l'air d'être quand même dans un tout autre style.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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"Shame" parlait d'un sex-addict justement. Après j'aime bien le vice au cinéma personnellement. Enfin, le « vice »... L'amoral, plutôt. Qu'on aille au plus profond des désirs des personnages, qu'importe ce qu'ils peuvent représenter dans notre société bourrée de tabous mais pourtant hyper-violente. Des personnages parcourus d'une rage de vivre, qui s'expriment à travers leur sexualité, c'est beau je trouve. Là ça a l'air d'être tout à fait ça.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Hahahaha, la bande-annonce du prochain film de Lars von Trier censurée sur Youtube. p***** de bordel. Ils n'ont donc pas honte de s'opposer ainsi à l'art ? Et toutes les merdes qu'on se tape sur Youtube tranquillement, dont la promotion de Shark, absolument inhumaine. Qu'ils aillent se faire mettre bien profondément.

 

http://www.melty.fr/nymphomaniac-la-premiere-bande-annonce-non-censuree-devoilee-video-a230033.html

 

Ya quand même des scénes assez évocantes dance la BO et je te rapelle que sur Youtube ya plein de gamais de moins 12ans et ca peut choquer, La BO on peut la voir ailleurs que sur Youtube.

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La BA, déjà.

Et sinon sur Youtube y a bel et bien un accès sécurisé aux vidéos -16/-18. Ils auraient très bien pu le mettre pour cette bande-annonce. Or ils l'ont juste supprimée. Purement et simplement. C'est une honte totale.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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C'est quoi ce film :D j'irai le voir tiens. Avec une meuf :D trop le bon plan, les mecs vont se ruer au cinoche.

 

"Salut ça te dirait un cinéma ?

- oui!

-ok jte prends a 20h30, je connais pas le film mais on m'en a dit du bien

 

 

Et la tu la pêcho dans le ciné grâce au film qui la chauffe bien comme il faut

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Il y aura des scènes de sexe non simulées, comme dans "Antichrist". Je crois que Charlotte Gainsbourg fait une fellation à Zac Effron*. Pour ceux qui ne connaissent pas trop von Trier, c'est le réalisateur de "Dogville" et "Melancholia", entre autres. De ce que j'en vois, et je peux me tromper, c'est du grand cinéma. Il y a déjà des plans qui, dans la BA, m'ont scotché. Une des BA les plus viscéralement humaine que j'ai pu voir. Le film sera divisé en 2 chapitres qui sortiront le 1er et le 29 janvier. Chacun d'une durée de 2h.

* Shia Labeouf pardon. Je les confonds toujours.

Et pour le plaisir :

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Enfin voir Charlotte Gainsbourg à poils autant regarder Young centrer, c'est plus excitant !!!

 

De toute façon on sait que c'est Shia Labeouf que tu veux voir c** nu. :D

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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De toute façon on sait que c'est Shia Labeouf que tu veux voir c** nu. :D

 

Non mais elle a une sale gueule et elle est plate... rien de bien bandant. Tu fais un plan avec les deux torse nu, je suis sûr que tu les confonds !!!

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C'est évident qu'elle n'a pas de formes. Après, d'un point de vue personnel, je la trouve jolie. Elle a une vulnérabilité et certains traits qui me plaisent. C'est tout à fait subjectif. Enfin de toute façon, et même si je sais que tu blaguais, l'intérêt du film ne réside pas là-dedans, fort heureusement. :P

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Bah être bonne n'est pas un critère pour être nympho. Si le film parlait d'une actrice porno, je serais d'accord, mais là non. Je pense qu'il la choisit avant tout – déjà parce qu'il a déjà travaillé avec elle – parce qu'elle dégage quelque chose d'assez étrange. Elle a quelque chose de singulier, de potentiellement dérangé, qui colle bien à un tel personnage. Même si je ne sais pas encore, concrètement, qui elle « est » dans le film.

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Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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