Cinéma

[MicroDevils]

J'ai déjà essayé, le lien torrent est mort

[t0m4]

Battle Royale, trash?

 

C'est le pire film asiat' à avoir débarqué chez nous.

Volcano High, p*****!!

[Best_07]

L'intention même du film c'est d'être trash, oui.

Trash : Se dit d'une tendance contemporaine à utiliser une forme de mauvais goût agressif, dans le but de provoquer, de choquer.

Après, la réussite (ou non) du film, chacun en est juge. Par contre, cette dimension trash, elle est indéniable.

Moi, je n'aime pas trop le film. Même si je l'ai vu quand j'avais 13-14 ans et pas revu depuis, mon avis ne changerait pas, je pense. Je me souviens néanmoins d'avoir trouvé cet univers trash assez délirant. Y a un sans gêne dans la manière de souiller cette classe qui fait sourire par intermittence. C'est à peu près tout.

Modifié le 4 décembre 2013 par Best_07

[t0m4]

Tu as raison.

[Best_07]

  Le 04/12/2013 à 22:27, MicroDevils a dit :

Best, une idée de film pour une après défaite?

 

Ou sinon cette vidéo ça marche toujours.

 

http://www.youtube.com/watch?v=LW8ddkl_f0E

[Marvin]

C'est simplement deux crottes cinématographiques.

Modifié le 5 décembre 2013 par Marvin

[Jiminy]

  Le 04/12/2013 à 22:13, t0m4 a dit :

Sauf que Hunger Games n'a absolument aucun rapport avec Battle Royale. Et Hunger Games est infiniment plus riche et profond que Battle Royale.

Tu tente le Troll de l'année ?

 

Non mais j'avous dans HG :

 

 

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La stratégie de: "elle est montée dans un arbre, j'arrive pas à l'avoir d'une fleche, alors la bonne idée c'est de camper en dessous de l'arbre, on est 4 et il y en a pas un qui prend le quart de garde" est simplement exceptionnelle, profonde de sens, et incarne tout ce qu'on peut imaginer dans un survival games !

 

 

Du grand grand 7ième art

 

[t0m4]

C'est différent dans le livre. 90% du film parait un peu zarb' parce que dans le bouquin, on se retrouve souvent dans la tête des protagonistes. Dans le film, ça tombe à plat, mais c'est toujours explicable. Pareil pour les jeux, qui semblent durer 2 jours alors que dans le bouquin, Katniss est à deux doigts de mourir de soif, de froid et d'une infection.

Malgré ça, c'est 100 fois mieux adapté que cette m**** de "The hobbit", qui est exécrable.

 

Perso j'aime le cinéma d'anticipation, j'aime voir des dérives de notre monde, de notre comportement. Je trouve le principe même de rébellion (dû à une pauvreté absolue) remuant et touchant.
J'aime aussi comparer le présentateur au sourire ultra-white et à la bonne humeur contagieuse, César, à tous ces encul** qu'on voit tous les jours sur TF1 et Canal+, qui nous servent leurs saloperies avec le sourire et sans la moindre once de culpabilité.

[Jiminy]

  Citation

C'est différent dans le livre. 90% du film parait un peu zarb' parce que dans le bouquin, on se retrouve souvent dans la tête des protagonistes.

 

Tu parles de Battle Royale la ? Car c'est exactement le principe du livre + du manga. D'ailleur il y a des personnages plus importants que d'autres mais pas de "héros"; seul pour le film ils se sont arrêtés sur deux perso et en ont fait des "héros".

 

Et la fin de HG, plus ridicule tu meurs

[t0m4]

Bla bla. Tu regardes ce film avec ton C*L!!!

[Jiminy]

[t0m4]

Tu m'as fait rigolé au bureau espèce de c*n

[Jiminy]

On s'en fout, ça travaille pas un comptable, ça ne fait que facturer un temps qu'il t'a fait croire comme travaillé

[t0m4]

Tu as à moitié raison!

 

J'en profite avant de devoir attaquer la cloture

[Best_07]

  Le 05/12/2013 à 09:28, t0m4 a dit :

1) C'est différent dans le livre. 90% du film parait un peu zarb' parce que dans le bouquin, on se retrouve souvent dans la tête des protagonistes. Dans le film, ça tombe à plat, mais c'est toujours explicable. Pareil pour les jeux, qui semblent durer 2 jours alors que dans le bouquin, Katniss est à deux doigts de mourir de soif, de froid et d'une infection.

 

2) Perso j'aime le cinéma d'anticipation, j'aime voir des dérives de notre monde, de notre comportement. Je trouve le principe même de rébellion (dû à une pauvreté absolue) remuant et touchant.

 

3) J'aime aussi comparer le présentateur au sourire ultra-white et à la bonne humeur contagieuse, César, à tous ces encul** qu'on voit tous les jours sur TF1 et Canal+, qui nous servent leurs saloperies avec le sourire et sans la moindre once de culpabilité.

 

1) À la rigueur, on s'en fout. Ce sont des détails qui n'ont pas d'impact sur la valeur du film. Sauf pour la question du point de vue, si le contraste est trop saisissant. Même si je doute que le bouquin soit une merveille psychologique. Mais je ne me prononcerai pas, je ne l'ai pas lu. Une chose est sûre, c'est que les personnages sont traités de manière médiocre dans le film. C'est toujours en surface, on ne creuse rien. Et pourtant la confrontation avec la mort, c'est censé permettre d'aller au cœur des choses.

 

2) J'aime aussi les films d'anticipation, mais la plupart ont quand même tendance à tomber dans la simplification extrême. Parce que les cibles premières de ces films-là (et tout particulièrement de Hunger Games) ce sont des adolescents. Les producteurs pensent qu'il faut prendre les jeunes pour des idiots : seul moyen de se faire du fric sur leur dos, que de formater leur goût auprès d'œuvre aseptisées et superficielles. Hunger Games, c'est tout ça à la fois. J'ai ressenti ce gêne et cette médiocrité cinématographique dès la première minute. Ça a été la même chose cette année avec Elysium ou Le Transperceneige. Des films au fond tellement simplifié qu'on est incapables d'y plonger. C'était encore plus vrai pour le premier, où on est clairement dans une vision d'un monde binaire, sans ambigüité, étouffé par le manichéisme.

 

3) Si tu veux. Mais c'est un détail qui pèse le poids de Moha dans la balance.

 

Hunger Games c'est un film sans réflexion, sans inventivité, sans qualité artistique aucune, si ce n'est le c** de Jennifer Lawrence. À la rigueur, qu'on me dise qu'on aime Hunger Games parce qu'il fait partie de cette catégorie de films, communément appelés des « plaisirs coupables », qui fait du bien, de temps à autres : pourquoi pas. Mettons ça avec les Harry Potter, Twilight et autres / Seigneur des Anneaux. Et je démarque bien Le Seigneur des Anneaux de tous ces films, parce que Le Seigneur des Anneaux c'est la quintessence du film manichéen. Et qu'il y a une vraie patte artistique qu'aucun film de la trempe n'est parvenu à égaler. Par contre, qu'on me dise qu'on aime Hunger Games parce qu'il est riche et profond, remuant et touchant, ça me dépasse.

 

Et puis l'univers de Tolkien c'est quand même autre chose que l'univers de l'autre grognasse. The Hobbit inclus.

Modifié le 5 décembre 2013 par Best_07

[Invité Attila 26]

 

 

[Best_07]

6.7 le deuxième volet de Hunger Games sur Sens Critique.

Soit autant que Bellflower et plus que The Tree of Life.

Ça s'allocinéise, j'ai l'impression...

[Best_07]

[The.]

@Best, t'as vu Miss Bala, si oui, vaut-il le détour ?

[Best_07]

Oui, je l'ai vu. Il est bon. Violent et impitoyable. Un film mexicain, quoi.

[MicroDevils]

J'ai engagé un tueur --> 6.8 sur SensCritique, moi pas comprendre

[Best_07]

Connais pas.

J'ai vu La Reine des neiges au cinoche. Déçu. Trop de chansons dans le premier tiers. Un premier tiers d'ailleurs assez lourd. L'histoire est bancale et pas vraiment captivante. Par contre le bonhomme de neige est à tomber. Mais ça sauve pas grand chose. Bon, ça reste sympatoche.

[Loïc]

Vu au ciné hier et c'est effectivement un bon film.
On m'a tellement parlé de la fin que finalement j'étais un peu déçu sur ce point là.
Concernant l'intrigue, j'avais pas cramé du tout moi, en partie dû aux fausses pistes sur lesquelles nous emmène l'enquête et à certaines scènes qui vont trop vite.
D'ailleurs faut que je le revois, y'a des trucs qui me questionnent toujours et d'autres illogiques

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(La petite s'est échappée ou a réussi le labyrinthe? C'est peut être dit mais cette scène va vite aussi.
Le gars avec les serpents je comprends pas trop son rôle, son délire de voler les vêtements, le sang de porc...)

Hormis ces quelques incompréhensions on ne voit pas le temps passer, le film tient le spectateur en haleine et comporte quelques grandes scènes.
Mention aussi aux acteurs (même si Jackman surjoue par moment je trouve)


Avec tout le buzz qu'il a eu je suis un peu déçu..
L'ambiance sombre fait son effet, on est bel et bien dans un film noir, mais ça ne décolle pas.
L'intrigue policière n'est finalement prétexte qu'à la "maladie" du héros et lasse vite, du coup une scène sur deux est intéressante. C'est dommage parce que la partie "sentimentale" est excellente et vraiment bien traité, en partie grâce à un Matthias Schoenaerts touchant et très bon dans son rôle.
Pas trop aimé non plus les Wallons dans le film, caricaturés au maximum...


Indiana Jones c'est des souvenirs, un des héros de mon enfance, les trois films sont classiques chez moi.
Ca f'sait un bail que jme disais qu'il fallait que je vois le 4 et bah j'aurais pas dû..
On dirait un film pour gamins, mais le film vraiment con, des répliques téléphonées, des scènes d'action de m**** (ce combat de sabre sur la jeep..), une méchante à ch*** (Cate Blanchette ridicule).. bref que des ingrédients pourris
Ils ont essayé de jouer la carte jeunesse en mettant Shia Laboeuf (à moitié réussi) et jouer aussi la carte nostalgie avec divers clins d'oeil aux précédents films mais au final le résultat est raté.
J'espère de tout coeur qu'ils ne feront pas de 5.


J'ai pas assez joué à Hitman pour pour avoir un avis concret sur la fidélité au jeu vidéo mais hormis le nom, j'ai pas eu l'impression d'avoir affaire aux aventures de l'agent 47.
Hitman c'est un type discret, qui tue en douce, là pendant les 3/4 du film le mec canarde en mode bourrin.
T'ajoutes à ça que Timothy Olyphant à le charisme d'une huître et c'est pas gagné..
Heureusement on se rince un peu l'oeil avec Olga Kurylenko..
Ca se laisse regarder mais bon, anecdotique.

[Best_07]

Ah bon, qu'est-ce qu'on t'avait dit sur la fin de Prisoners ? Quand même pas qu'elle était trop ouf, j'espère. ^^
Pour l'intrigue en elle-même, ce n'est pas la première fois que je le dis, mais je la trouve bancale et mal foutue. En réalité, elle l'est, objectivement.

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Je ne dis pas ça parce que j'ai « deviné » au bout de 30min qui avait kidnappé les petites filles et pourquoi. Je dis ça parce que les diverses pistes et indices nous sont révélés laborieusement, sans maîtrise. Alors qu'on aurait très bien pu avoir une intrigue à peu près similaire, mais mieux déployée pour être davantage captivante et moins maladroite en terme d'évolution. Il y a plusieurs points-clés de l'intrigue que je trouve très mal négociés : à commencer par la phrase prononcée dans le parking, par le personnage de Paul Dano. C'est un peu facile comme procédé, de le faire soudain parler, pour que seul Hugh Jackman entende et réagisse. D'autant plus que la phrase est tellement ambigüe qu'elle peut être interprétée de plusieurs manières : « They only cried when I left them. » Il peut aussi bien parler des fillettes, qu'il aurait kidnappé amicalement et donc sans qu'elles ne soient effrayées, avant l'intervention de sa fausse tante. Comme il peut parler de ses parents, dont il a été séparé deux décennies auparavant. Moi, comme mon cerveau était en « marche » et tentait de résoudre l'intrigue avec tous les éléments mis à disposition, j'ai cherché une alternative à cette phrase ambigüe. Et en suis donc arrivé à la 2ème conclusion, qui recoupait deux « éléments » balancés par l'intrigue auparavant : la discussion entre Jake Gyllenhaal et la fausse tante, où l'on insiste étrangement sur les raisons qui l'ont poussé à devoir élever Paul Dano. Ainsi que cette visite à une femme dont le fils a été kidnappé 20 ans plus tôt. Ça + les déficiences mentales du personnage, ça faisait beaucoup d'indices convergents vers une même hypothèse. Bon, je l'admets, j'ai eu un peu de chance et de « bonne intuition » en terme de suites d'idées. Mais quoi qu'il en soit, je trouve qu'il y a tellement d'éléments qui vont dans ce sens, que c'est difficile de ne pas y voir une certaine transparence de l'intrigue. Quant au personnage qui ne sert qu'à introduire une énorme fausse piste, c'est le pire élément du film. On sent que le scénariste ne savait pas comment complexifier son intrigue afin de la rendre moins transparente. Alors il a créé carrément un personnage-outil, dont la psychologie et l'intérêt sont limités, voire nulles. Tout ça pour mieux « surprendre ». Je trouve ça insultant, pour le spectateur. Et frustrant, quand on s'aperçoit que cette histoire de labyrinthes n'a aucune réelle utilité à la résolution de l'intrigue. Puisqu'il s'agit juste d'un symbole présent sur le pendentif du kidnappeur. En soi, les labyrinthes que les enfants doivent résoudre (si est-ce qu'ils doivent en résoudre), n'ont aucune finalité. La petite black a juste réussi à s'enfuir Loic, comme le personnage-outil traumatisé.

 

Modifié le 9 décembre 2013 par Best_07

[David-07]

Une projection presse unique du "Hobbit : la désolation de Smaug" s'est tenue ce matin au Pathé Beaugrenelle. Dès leur sortie, journalistes et blogueurs se sont montrés pour la plupart très élogieux sur Twitter. La preuve avec ces quelques réactions.

 

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18629306.html