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Tout ce qui a été posté par flachgordon
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Manchester United et l'argent
flachgordon a répondu à un(e) sujet de Mehdi United dans LA VIE DU CLUB
Man Utd shares now up to $18.10 - the highest point since last May when Fergie's retirement inspired a slump. $ 18,10 - le plus élevé depuis mai dernier, lors de la retraite de SAF -
Pour les nostalgiques ... http://www.camporetro.com/Shop-By-Team/Premier-League/Manchester-United
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Pourquoi Moyes est à la porte ? Parce que Ferguson.....
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In Moyes We Trust! We Must Stand With Our New Manager! He Is Need Our Support! f*** Off Plastic Fan!"
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Tu peux enlever Rafael ... Rafael has been ruled out of the match against Everton ! #mufc
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Mise à jour de physio : W Rooney Ankle/Foot Injury : 20th Apr 14 M Fellaini Calf/Shin Injury : 20th Apr 14 Rafael Hamstring Injury : no return date R Van Persie Knee Injury : no return date J Evans Calf/Shin Injury : 26th Apr 14
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http://www.express.co.uk/sport/football/471033/Wayne-Rooney-s-back-at-Everton-Manchester-United-striker-fit-for-Goodison-return
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Selon physioroom : Manchester United : W Rooney Ankle/Foot Injury : no return date M Fellaini Calf/Shin Injury : 20th Apr 14 Rafael Hamstring Injury : 20th Apr 14 R Van Persie Knee Injury : no return date J Evans Calf/Shin Injury : 20th Apr 14
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Pour ceux qui voulaient des rumeurs concernant Klopp http://www.mirror.co.uk/sport/football/news/manchester-united-eye-jurgen-klopp-3414806
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Entrainement en salle ... Mais sur la vidéo postée sur FB il a l'air déjà bien en forme ! http://www.express.co.uk/sport/football/470377/WATCH-as-Manchester-United-Robin-van-Persie-steps-up-injury-comeback-with-gym-workout
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Manchester United @ManUtd 46 min Darren Fletcher reveals he's fit and well and aims to fight for a regular spot in the #mufc team Bonne nouvelle pour lui et sa santé ...
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Pronostics Manchester Devils (2006-2018)
flachgordon a répondu à un(e) sujet de Jackhammer dans ACTUALITÉS DU SITE & DU FORUM
Dans les pronos il y a le match contre Hull qui se jouera en mai .... -
http://www.mirror.co.uk/sport/football/news/alex-ferguson-harvard-saf-agrees-3374569 Professeur Ferguson .... « Je suis ravi d’avoir l’opportunité et le privilège de contribuer à ce centre d’excellence. Le temps déjà passé à Harvard a été pour moi une expérience stimulante et je suis pressé de pouvoir développer de nouvelles relations et activités avec les étudiants, la faculté et mes amis de la communauté d’Harvard. »
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MDR c'est fou les glands ....
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Ashley Young = Aston Villa cqfd
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Justement BBC explique un peu plus pourquoi la bannière " The chosen one " reste en place .... http://www.bbc.com/sport/0/football/26768865
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http://www.sofoot.com/tu-sais-que-ton-equipe-a-perdu-de-sa-superbe-quand-181874.html?utm_source=taboola&utm_medium=referral
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Bon c'est le " METRO" mais ici ils parlent de 200 millions de livres sur 3 saisons afin de redresser le bateau et de redevenir un " gros " d’Europe. Ils fustigent également SAF lui faisant endosser le fait qu'il est partit en laissant derrière lui une équipe en ruine, le dernier titre n'étant qu'une façade et que DM doit repartir de très très bas ... http://metro.co.uk/2014/03/28/manchester-united-blame-sir-alex-ferguson-for-david-moyes-failings-4681301/
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Pas bien Marouane ... http://www.rtl.be/sport/football/footballetranger/269352/fellaini-sanctionne-pour-un-crachat-sur-zabaleta-video?utm_medium=email
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http://www1.skysports.com/football/news/11095/9236981/david-moyes-remains-convinced-he-is-the-best-man-to-lead-manchester-united DM à encore beaucoup de soutient en dehors d'ici ...
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Manchester United 0 - 3 Manchester City
flachgordon a répondu à un(e) sujet de Alruud dans JOUR DE MATCH
Manchester United et Manchester City s’affrontent ce mardi pour le compte de la 28e journée de la Premier League. L’occasion de revenir sur une rivalité à l'Anglaise. Le Clasico entre le Real et le Barça vient tout juste de se terminer et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a été à la hauteur de sa réputation. Mais si le Clasico est le roi des derbies (même si techniquement, il n’en est pas un, les deux clubs ne se situant pas dans la même zone géographique), le derby entre les deux équipes de Manchester, United et City, est sans doute le prince des rencontres entres grands rivaux. Certes, le Clasico espagnol peut se targuer de poser ses ramifications jusqu’aux aspects culturels, historiques et politiques de l'antagonisme régional, mais le derby de Manchester, avec sa légitimité géographique et son riche passé, n’a quasiment rien à lui envier. Pour Sir Alex Ferguson, c’est "le plus grand de tous les derbys". La rivalité mancunienne est vieille de plus de 130 ans, et son intensité s'est renforcée de manière spectaculaire ces dernières années, avec le retour au premier plan du club des Eastlands, dopé financièrement par l’argent des émirats. Les supporters de City se considèrent comme les seuls vrais représentants de la ville de Manchester, alors que les Red Devils seraient des banlieusards parce que leur stade et le quartier où ils ont vu le jour à Newton Heath, sont éloignés du centre. Si proches et pourtant si loin. Le cliché qui oppose aujourd'hui les ’bobos’ de United, qui demeurent à l’Ouest de la ville, face aux quartiers populaires de l’Est, a la vie dure. Lors du transfert de Carlos Tévez de United à City, d’immenses pancartes saluaient l’arrivée de l’Argentin chez les Sky Blues, avec en grand, un message dénué d’équivoque : « Welcome to Manchester ». Il ne s’agit pas d’un clivage confessionnel (même si City a été fondé par des bedeaux et si les Red Devils passent pour catholiques, et les Sky Blues pour protestants) . Et il ne s’agit plus d’une opposition de valeurs sociales qui mettrait en exergue une lutte sous-jacente des classes (United a été fondé par des cheminots, mais nous y reviendrons) comme c’est le cas dans moult derbys à travers le monde. Non, il s’agit de rivalité pure entre couleurs primaires. Construite à travers les décennies et les affrontements. Une véritable querelle locale. Sportivement, à part lors de courtes périodes dans les années 1950 et 1960, les Bleu ciel et les Rouges n'étaient pas des concurrents directs pour la gloire dans le Royaume. On se souvient qu’en 1968, année de titre pour City, les deux clubs rivaux avaient terminé aux deux premières places du Championnat. Mais United s’était débrouillé pour faire passer le grand soir des Citizens au second plan, en devenant le premier club anglais champion d'Europe, deux semaines et demie après le triomphe national des Citizens. Le scénario s’est répété en 2011 quand, après le sacre de City en Cup (un premier trophée en 25 ans de disette), United célébrait son record de titres en Premier League. City se vengeant un an après suite à un final à distance épique avec son voisin en battant les Queens Park Rangers 3-2 dans les ultimes minutes de la 38e et dernière journée de la Premier League pour s’adjuger un premier titre de champion après 44 ans d’attente. United avait battu Sunderland (1-0) et avait échoué avec le même nombre de points que City (le dénouement de la saison n'a pas cessé de changer au cours des deux affiches), mais une différence de buts générale moins avantageuse (+8 pour City). Mais ce haut fait citizien a coûté cher. Très cher. Outre les 44 ans d’attente, les Sky Blues avaient dû débourser la bagatelle d’un milliard de livres pour surclasser leur voisin (avec notamment un énorme déficit à 195 millions de livres lors de la saison 2010-2011). Si les deux clubs se ressemblent énormément malgré les dénégations de City, qui a toujours voulu jouer la carte du Manchester ouvrier du Nord, d’une classe sociale négligée et prolétaire, picaresque et pittoresque, qui oppose une authenticité immaculée derrière le bleu de travail souillé de graisse à sa courageuse infortune, face à un Manchester United représentant d’une économie de services et nanti d’une politique de merchandising agressive et tentaculaire, les deux clubs divergent aujourd’hui largement d’un point de vue économique. Manchester United a été racheté en 2005 par l'homme d'affaires américain Malcolm Glazer, qui y a toujours vu un « branding », un placement d’avenir sur une marque commerciale bien implantée en Europe et en Asie, avec la promesse d’un retour sur le moyen terme. En face, la viabilité de l’investissement du sheikh Mansour est encore à démontrer. Ce remarquable représentant de l’émirat pétrolier d'Abou Dhabi semble avoir consciemment investi à perte. A moins que la promotion de l'image de l'émirat à l'étranger ne lui soit une priorité, histoire de paver la voie au rouleau-compresseur Abu Dhabi Investment Authority (le plus important fonds souverain au monde), qui tente d'acquérir plusieurs aéroports anglais dont celui de Manchester, le deuxième du pays. Une stratégie multinationale de très grande envergure, loin de la spéculation parasitaire d’un Glazer et plus proche de QSI et du PSG en France. Mais qui reste en tous cas très loin des fresques mancuniennes de Laurence Stephen Lowry, dépeignant les quartiers industriels du Lancashire au XXe siècle qui véhiculaient des valeurs dont City, à une époque de son Histoire, pouvait encore se prévaloir. Mais dans un derby, ou un Clasico, il n’ya pas que des gros sous, il y a aussi des vedettes. Des vedettes qui parfois, ont joué dans les deux camps, défrayant la chronique, renforçant la charpente mythologique des deux équipes et forgeant l’Histoire au fer rouge… et bleu. Passons sur le cas Tévez, trop récent et quasiment non-canonique au regard de la riche Histoire du derby mancunien. Intéressons-nous à Denis Law, au but qui l’a toujours hanté, quand il a, d’une ultime talonnade pour le dernier ballon de sa carrière sous le maillot de City en 1974, envoyé Manchester United en deuxième division alors qu’il avait été surnommé le « King of Old Trafford » après 236 buts en 11 ans sous la vareuse rouge et qu’il venait de rejoindre les Sky Blues gratuitement. United avait été relégué pour la première fois en 37 ans, et au lieu d’une célébration rageuse pour son retour à Old Trafford face à l’équipe qui n’avait plus voulu de lui et au manager Tommy Docherty (que Law avait pourtant lui-même recommandé au Board en 1972), Law est resté immobile, rigide et pâle tandis que ses coéquipiers le poussaient et s’excitaient autour de lui dans une célébration des plus contrastées pour un homme déchiré entre deux allégeances. « J’ai dédié 19 ans de ma vie à tenter de marquer le plus de buts possibles, j’ai fini par marquer celui dont je ne voulais pas ». Parlons de Billy Meredith, le « Welsh Wizard » des décennies avant Ryan Giggs, sans doute la première star du foot anglais (et mondial) un siècle avant Gareth Bale. Parlons de son légendaire cure-dent et de sa manie de mâcher du tabac et de souiller ses maillots qui ont dû en voir de belles, que ce soit celui de United (à qui il a offert son premier titre après avoir rejoint les Red Devils en 1906 après la première grève des joueurs de l’Histoire du foot professionnel dont il avait été le principal protagoniste) ou de City, avec qui il a joué jusqu’à 49 ans et 245 jours (390 matchs, 150 buts dont un en finale de Cup contre Brighton en 1924 à 49 ans). Non, le derby mancunien n’est pas moins riche que le Clasico, que ce soit du point de vue historique ou financier. Reste aux acteurs de ce choc, quelque soit ses enjeux, autant de prétextes corsetés, censés délimiter la grandeur d’un duel qui se suffit à lui-même, à nous offrir un spectacle comparable à celui vécu dimanche en Espagne. Tous les ingrédients sont réunis. Et pour les joueurs de ce Clasico anglais, on aura les mêmes mots que ceux utilisés par Sir Alex Fergsuon à la mi-temps de la finale de la Ligue des champions 1999 : "À la fin du match, la Coupe d'Europe sera à deux mètres de vous. Si on perd, vous n'aurez pas le droit d'y toucher et dites-vous bien que vous n'aurez probablement jamais l'occasion de la revoir d'aussi près. N'essayez même pas de revenir ici si vous n'avez pas tout donné." AUTEUR : HOCINE HARZOUNE -
Trop facile le délit de faciès, j'aimerais bien voir la tienne de binette on pourrait peut être en rire aussi ....
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Les dessous des entrainements ... http://www.telegraph.co.uk/sport/football/picturegalleries/10706360/David-Moyes-takes-Manchester-United-training-but-what-went-on-behind-the-scenes.html?frame=2856053
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Avec David Moyes, MAN UNITED est devenu la risée du monde Quand on salit MU, son coach et ses joueurs, on se moque aussi des fans. A MU, on n’a pas l’habitude d’être traité comme des abrutis. Il faut que cela cesse. Des joueurs sont morts en 1958 parce qu’ils portaient le maillot de MU. David Moyes n’a pas la stature pour entraîner MU. MU ce n’est pas Everton, Man City ou Arsenal. MU c’est un club qui a trois C1 dans ses vitrines. Man United a les fans qui connaissent le mieux le ballon car ils ont été éduqués par Matt Busby. Sir Fergsuon c’est fini, d’accord on a compris mais Moyes ne sait pas s’y prendre. La peur est interdite de séjour à Old Trafford. Moyes n’a rien capté de la mystique de MU. Le MU de Moyes est en train de salir la mémoire de nos héros: The Flowers of Man United. Les supporters de MU ont vu Best, Charlton, Cantona, Scholes et Giggs. Maintenant, ils doivent se farcir des pantins d’Everton. Non, non et non! Sir Ferguson a demandé que l’on soit patient avec le nouveau coach, eh! bien non. La sensiblerie n’a rien à faire sur un terrain de football. Ce monsieur a un contrat sur cinq ans, il est grassement payé, donc pas de cadeau à lui faire. A chaque match, il ne semble pas encore entraîneur de MU. Il est comme Fellaini qui ne parvient pas à prendre ses marques. David Moyes a le costume, le bureau, tout du coach. Il l’air mais pas la chanson, pas les paroles. Finalement, j’aime mieux l’exubérance de Mourinho. Le football est affaire de compétence et de passion. Moyes ne dégage ni l’une ni l’autre pour diriger un monument de la dimension de MU. Il s’occupe de l’Arc de Triomphe comme si c’était une supérette. Le MU de Sir Ferguson encaissait parfois de cuisantes défaites mais ensuite ça repartait de plus belle ! Là, les Red Devils accumulent les matchs sans saveur, sans cervelle, sans force mentale, sans force physique. Liverpool a marché sur MU sans pitié, ils ont fait la loi à Old Trafford comme s’ils étaient chez eux. Que va-t-il se passer si Olympiacos vient ridiculier MU à O.T. en 8e de C1 retour ? Que va-t-il se passer si Man City vient lui aussi prendre les trois points à O.T. ? Va-t-on longtemps voir les Red Devils se liquéfier sur place dans leur stade mythique ? Une saison ça suffit ! Faut-il que la bourse coule l’action de MU pour que la famille Glazer ouvre les yeux sur le mauvais choix de Sir Ferguson qui a préféré nommer un ami qu’un coach vraiment capable d’assumer la succession ? Tactique de jeu: aucune, au petit bonheur la chance. Les joueurs tricotent sans cesse Coaching: désastreux. A écarté des joueurs qui ne sont plus concernés Langage du corps: le stress qu’il communique à l’ensemble. Face à Liverpool, trois penaltys contre MU ! Intervention auprès des arbitres: nulle Capacité à changer de tactique en cours de match: inexistante Impact sur les joueurs: aucune fermeté Comportement dans les médias: robinet d’eau tiédasse Résumé: honorable parcours à l’extérieur car la pression est moindre qu’à la maison Fellaini (milieu): le chouchou de Moyes, Marouane Fellaini, belge d’origine marocaine, a été transféré au mercato d’été pour le somme de 32,5 M€. Le milieu relayeur joue à 90% en retrait dès qu’il a le ballon. On dirai que sa grande taille, plus d’ 1 m 90, est tout à coup devenue un handicap alors qu’à Everton, il affichait une bonne coordination de gestes. Contre Liverpool le 16 mars 2014 (0-3) il a explosé en plein vol. C’est le cas de le dire: dans la conquête d’un ballon aérien face à deux joueurs de Liverpool, Steven Gerrard l’a violemment percuté, le blessant à l’arcade sourcilière. Visage ensanglanté, Fellaini faisait peine à voir. Pourquoi a-t-il perdu tout son football depuis qu’il est à MU ? Il erre sur le terrain alors qu’à Everton c’était une star locale. Le fait de repartir à zéro l’a assurément angoissé au point d’avoir peur dès qu’il joue avec le maillot de MU, surtout à domicile. On dirait toujours qu’il va au bagne alors qu’il joue à Man United. Il est à l’image du groupe. David Moyes est quelqu’un qui crée du stress. Fellaini concentre sur lui toutes les critiques qui visent son boss. Quand Fellaini hérite du ballon, on dirait qu’il va jouer à la roulette russe. Il s’en débarrasse comme si c’était du poison. Bernard Morlino
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Regarder les matchs de MU à la télé
flachgordon a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans MULTIMEDIA MANCHESTER UNITED
http://www.wiziwig.tv/broadcast.php?matchid=246458∂=sports