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Gray

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Gray

  1. Put** je suis outré de toujours voir Valencia sur le terrain !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Moyes qu'est-ce que tu attends pour le sortir la ? Stupéfaction !
  2. Valencia il joue souvent peut-être Coolman ? pareil pour Ferdinand et Giggs.
  3. Il ne se fera pas viré RedDevil71, j'ai beau comme toi faire genre et espéré que cette homme (au début j'avais écris quelque chose de pas très glorieux à la place de homme mais j'ai peur de me faire traiter de faux-supporter ) soit viré et me dire ce soir en cas de non-qualification, ça sera le cas mais non, faux, complétement faux, c'est que le début du cauchemar..
  4. Gray

    Shinji Kagawa

    PUT** J'SUIS DEG DE FOU !!!!!!! :shout: :shout: :shout: :shout: :shout: :shout:
  5. Vous êtes sérieux pour la compo ? La non-titularisation de Kagawa au profit de.. Welbeck ? Rio qui sors sa pire saison au club titulaire ? Rooney en 10 ?
  6. Gray

    Robin Van Persie

    Robin van Persie peut-il voler seul ? Quel pied. Après une dizaine d’années d’observation, il ne fait plus aucun doute que la patte gauche de Robin van Persie a des superpouvoirs. Tout comme ses compatriotes néerlandais Bergkamp, Rembrandt, Sneijder, van Dyck, van Basten, Vermeer ou encore Robben. Comme si une force créatrice avait décidé de compenser la laideur de leur langue par la grandeur de leurs talents artistiques. La peinture, la sculpture, le football. Puisque la création ne s’explique pas, limitons-nous à raconter celle de Robin van Persie : sa trajectoire, ses choix, ses œuvres. Si Rotterdam est le plus grand port européen, il n’est pas certain que Robin ait eu l’occasion d’admirer de nombreux albatros au cours de sa jeunesse. Il est simplement né comme ça, avec des bras d’une longueur infinie. Et si sa dégaine est fascinante, elle ne l’est pas autant que ses pieds. Ceux-là deviennent pros à 17 ans sous les couleurs du Feyenoord. Victime de son talent insolent, van Persie joue deux demi-saisons sous Bert van Marwijk, entre exclusions, grosses prestations et caprices. « J’étais jeune, immature, très ambitieux et impatient ». A 21 ans, il traverse la mer du Nord, à peine 321 kilomètres jusqu’à Londres, et 2,75M£. Le Sun s’empresse de parler d’un « bad boy » au « tempérament explosif ». Avec un peu de talent, aussi. Huit ans à Arsenal, deux titres et trois périodes En huit années passées chez les Gunners, il connaît trois périodes. 2004-2006. C’est dramatique, mais Robin remporte ses deux seuls titres avec Arsenal lors de sa première saison : un vulgaire Community Shield et une légère FA Cup. Robin gagne surtout sur le banc, ou alors sur un côté. Derrière Henry, au service de Bergkamp, en retrait. En 2006, il n’inscrit pas son nom sur la feuille de match de la finale de C1 contre le Barça. 2006-2009. La prise de pouvoir manquée. Peu à peu, professeur Wenger retente les expériences qui avaient fonctionné sur Henry : le 11 devient un avant-centre. Robin essaye, convainc, mais se blesse. Beaucoup. Entre 2005 et 2009, Adebayor marque plus et mieux : 46 buts avec un ratio de 0,44 but par match, contre 34 et 0,38 pour van Persie le maudit. A 26 ans en 2009, van Persie sort de sa saison la plus complète avec seulement 11 buts et 11 assists. Et 2009-2012. La première saison est courte – 16 matchs de championnat – mais intense. Le Néerlandais tire les pénaltys, les corners, marque 9 buts et porte le brassard lorsque Cesc est blessé. Surtout, il se fait adopter définitivement par les Gooners. « Mon cœur est à Arsenal et je ne peux pas m’imaginer porter un maillot différent ». Cela fait de l’effet. Aussi, Adebayor le traître choisit van Persie pour s’essuyer les crampons lors du polémique City-Arsenal. Sur le point de devenir une icône, van Persie est déjà un symbole. Mais si sa carrière s’était arrêtée en décembre 2010, on aurait été embêté pour tenter de la qualifier. Pourquoi n’arrivait-il pas à exprimer son potentiel ? Etait-il vraiment moins fort ? Pouvait-on tout mettre sur les dos des blessures ? Tactiquement, il est certain que les présences d’Henry et Bergkamp, puis Adebayor, Nasri et Cesc ont contribué à diminuer l’influence du gaucher sur le jeu de Wenger. Van Persie, jusqu’en janvier 2011, n’était pas beaucoup plus qu’un joueur d’Arsenal : son maillot en disait plus que ses statistiques. Puis, en un an et demi, tout s’emballe. 35 buts en 36 matchs de championnat sur l’année civile, et le titre de meilleur buteur de Premier League la saison suivante avec 30 buts. Van Persie est alors capitaine, figure emblématique, meilleur joueur et esprit d’Arsenal. Février 2011, finale de la League Cup contre Birmingham City. Robin marque en première mi-temps, se blesse en marquant, sort après la pause. Et Arsenal s’incline en prolongations. La lose. Manchester United propose 24M£ pour un joueur qui refuse de prolonger. Wenger dit oui. L’envol à Manchester Une saison plus tard, l’arrogant numéro 20 floqué dans le dos, le héros marque d’une reprise de volée artistique le but du vingtième titre des Red Devils. Un triplé en moins d’une mi-temps, pour finir à 26 buts. 30, toutes compétitions confondues. Van Persie fait passer Rooney pour un joueur brouillon et est élu « homme de la saison 2012-2013 ». Toujours aussi esthétique, le batave rend United attrayant à lui tout seul. Lors de ses pires saisons, van Persie disparaissait sur le terrain. A Old Trafford, il développe l’art de la constance du coup d’éclat. Les « late-minute goals » deviennent une spécialité. A une certaine époque de la saison 2012-13, tout fan de football se devait de regarder Manchester pour ne pas rater les gestes osés, les déviations précises et les frappes chirurgicales de RVP. Pour résumer cet état de grâce, Robin est arrivé à un moment de sa vie où il peut marquer des reprises acrobatiques du droit sans que personne ne demande des explications. Des explications sont en revanche demandées pour ses performances lors des grands rendez-vous. Alors qu’Ibra sera pourchassé jusqu’à sa tombe pour quelques matchs manqués avec l’Inter et le Barça (depuis 2011, il a toujours été décisif en C1, et ses éliminations ont toujours été logiques), van Persie est moins emmerdé. C’est certainement parce qu’il n’a jamais atteint un niveau de domination suffisant pour y avoir droit. La double confrontation de 2011 contre le Barça aurait pu tout changer. Ce but de chirurgien à l’Emirates, et puis cette expulsion « médicale » au Camp Nou, après que Robin n’ait « pas entendu le sifflet ». Une injustice historique. En équipe nationale, van Persie est un paradoxe. Meilleur buteur de l’histoire d’une nation (41 buts) dont le cœur a battu pour des Bergkamp, van Basten, van Nistelrooy ou autre Kluivert, Robin reste coupable de n’avoir jamais marqué en match à élimination directe. En 2010, il reste muet quand Sneijder et Robben volent jusqu’en finale. Lors du dernier Euro, il offre un beau but contre l’Allemagne, mais surtout beaucoup de ratés. En ce sens, van Persie est un anti-Sneijder : au top lors des qualifications, discret en phase finale. La revanche en juin ? L’albatros et son pinceau Si l’on s’intéresse tant à Robin van Persie, c’est bien plus grâce à la poésie de son jeu que pour ses statistiques. La manière de voler des oiseaux est souvent plus fascinante que l’oiseau en lui-même. Chez les footballeurs, c’est pareil. Il y a Robben le ptérodactyle, et van Persie l’albatros. Les gauchers sont fascinants. De la conduite de balle « publicitaire » d’un James Rodriguez aux angles fous d’Angel Di Maria en passant par le toucher d’un Recoba et les passes de Guti, le constat est le même : il n’est pas naturel d’être aussi doué, aussi adroit (c’est le cas de le dire). Et si le gaucher est parfois un brin vulgaire, à force d’en faire trop, ce n’est certainement pas le cas de Robin van Persie. Un nom digne d’un chevalier, ou d’un pilote de F1, au choix. Les tempes grisonnantes, le regard intelligent et le corps droit et long (1m88). Van Persie, sa dégaine désarticulée, ses bras infiniment longs, ses doigts d’artiste, est un élégant qui ne respecte pas les conventions. Insaisissable car harmonieux dans la disproportion. On l’imagine en tueur à gages, long manteau en cuir, gants noirs, costume cintré. Un méchant fascinant, qui irait égorger silencieusement les Stoke, Everton ou encore Arsenal. Une technique aussi élaborée, un sens du but aussi poignant. On croit souvent que c’est vulgaire ou futile de parler de « footballeurs artistes ». Mais Robin, né d’un père sculpteur et d’une mère peintre, a bien conscience de ce qu’est l’art, son monde, ses valeurs et ses représentations. « Je pense qu’il y a un lien créatif entre mes parents et moi. Et je pense que le football est l’endroit où ma créativité s’exprime. Comme eux, je vois des choses que les autres ne voient pas. Quand je vois un terrain de football, je le regarde comme si c’était ma toile. Et j’y vois des solutions, des possibilités, des espaces pour m’exprimer ». De l’excellence de United à la quête de Robin Au fil des années de métamorphose du football en Angleterre, Sir Alex Ferguson est peu à peu devenu à lui seul l’identité de Manchester United. Si ce n’était plus le club de George Best, si les supporters vigoureux étaient partis, Manchester conservait ses valeurs à travers la poigne de son chef. Les joueurs s’y sentaient mieux que nulle part ailleurs (ils y restent en moyenne 5 ans !), le club gagnait et le prestige de l’institution grandissait. Surtout, United rimait avec la gagne. Avant de parler de nationalité ou de style de jeu, un joueur de Manchester était avant tout un gagnant. Une tête bien faite, un travailleur, un orgueil bien placé. Van Persie, le blessé, l’irrégulier, était un pur produit de cet Arsenal moderne. Acheté pour rien à 21 ans, nourri au biberon par tonton Arsène, technique, beau à voir jouer, et peu titré. Aujourd’hui, van Persie est devenu un joueur plus cynique que son propre club et a un plus beau pied gauche que Ryan Giggs. Ce transfert a quelque part démontré que tout ce qui est beau va bien à Manchester United, même quand cela vient d’Arsenal. Si l’on va plus loin, cela signifie qu’un Bergkamp aurait pu finir à United. L’excellence est une valeur, et Manchester l’incarne parfaitement en Angleterre, malgré les problèmes de jeu récurrents depuis 2009 et le départ de Cristiano. Pour Manchester United, Arsenal n’est qu’un club londonien de plus, et Londres est bien plus une rivale sur la scène rock que football. Ainsi, l’arrivée de Robin n’est pas un argument pour la « perte de valeurs » de la Barclays Premier League. Si les supporters de Stamford Bridge ont rejeté Benitez du début à la fin, c’était avant tout une histoire personnelle. Et il n’y avait rien de personnel dans le transfert de van Persie. D’où la tristesse de l’histoire. Van Persie, de son côté, a bien trahi ces huit années passées aux côtés de Wenger. Evidemment, il n’a fait que suivre l’exemple de Cesc et Nasri, tous deux plus couronnés loin de Londres. Van Persie voulait être roi, peu importe le royaume. Une quête individuelle comme une autre, donc. Après tout, les artistes aussi vendent leurs toiles. Son agent l’a confirmé : « Robin aurait quitté Arsenal dans tous les cas, parce que rester revenait à gagner zéro trophée. Mais s’il avait su que Ferguson allait partir, il serait allé à Barcelone ou au Bayern ». Aujourd’hui, alors que Manchester s’enfonce dans une triste période, l’albatros est à présent sans peuple ni royaume. L’occasion de démontrer qu’il peut voler seul ? Par mon pote Markus, lien de l'article en question -> http://fautetactique.com/2014/03/19/robin-van-persie-peut-il-voler-seul/
  7. Gray

    Danny Welbeck

    Tu as tort, toi qui soutient... Jones ?
  8. Gray

    David Moyes

    Arrigo Sacchi : On croit toujours que le jeu naît des pieds des joueurs. Mais non, le football doit naître de l’idée ! Un bon film n’est jamais né d’un acteur. Il grandit dans la tête d’un réalisateur, d’un scénariste, dans leurs idées
  9. Gray

    David Moyes

    Oui SAF est un coach exceptionnel, sans aucun doute le meilleur de l'histoire mais pour moi il est inconcevable de dire que la longévité est seulement la différence entre un grand coach et un coach exceptionnel que tu ne vois pas à chaque génération. C'est une des différences mais pas la seule, tu peux travailler à court-terme, comme Sacchi avec le Milan ou Guardiola avec le Barça et pendant ce laps de temps faire quelque chose de tellement incroyable que ça fait que tu marques l'histoire et que tu es un coach exceptionnel. Tiens justement Moyes a poussé la même porte d'entrée pendant 11 ans à Everton en insufflant la même motivation à ses joueurs mais t'imagines bien que dans l'histoire globale du football, il ne l'a pas du tout marqué contrairement à un Mourinho par exemple qui pourtant n'a pas eu la même régularité dans le même club sur le long terme que l’Écossais. Le longévité, c'est une des qualités et une capacité sur lequel un coach peut être jugé comme exceptionnel et incroyable mais pas seulement. Un entraîneur qui fait que du court-terme, selon ce qu'il fait durant ce court-terme, peut finir meilleur entraineur de l'histoire. Tout dépend de ce qu'il fait.
  10. Gray

    David Moyes

    C'est ce que je fais depuis le début Alruud, je te lis. Objectivement, 95% du temps dans l'avant, comme dans l'aprés-match (sauf depuis la défaite contre Liverpool, c'est à dire après plus de 30 matchs), les fautifs sont les joueurs, ensuite l'entraîneur. Au moins reconnais ce que tu dis depuis le début, comme quoi les fautifs sont les joueurs et que d'une manière assez incroyable, tu veux changé l’effectif a moitié car selon toi "ils ne méritent pas de joué pour MU". Toi et Norvegian (que j’apprécie) d'ailleurs vous pensez cela. Je mets une interview de Guardiola (qui n'est pas n'importe qui, encore une fois) qui lui dit justement le contraire, de nos jours, les footballeurs ont besoin d'être motivé et n'auto-motive pas tout seul. Tu as peut-être plus de 30 ans et une expérience largement supérieur à la mienne dans le football, aucun problème. Mais comprend le football d'aujourd'hui et ne crois pas qu'il faut un bon coup de pied au c** pour motivé ses millionnaires. C'est complétement différent de nos jours, il faut un projet de jeu, une concurrence saine, savoir mettre en confiance un homme via le sportif en valorisant ses qualités, etc.
  11. Gray

    David Moyes

    Guardiola ( ) en interview au site autopista.es : "J'ai quitté le Barça parce que je n'arrivais plus à motiver mes joueurs. Si tu ne peux pas motiver tes joueurs en tant qu'entraîneur, tu sais que le moment de partir est venu". Ça voudrait donc dire, sachant que les pro-Moyes disent le contraire car selon eux, on a un effectif de bon à rien (alors qu'en vérité, on a juste un des 3 meilleurs effectif de la PL), que selon Guardiola (qui mine de rien a gagné 2 des 4 ligues des champions qu'il a joué pour le moment en tant que coach) les joueurs doivent être motivé par leur coach et ne doivent pas s'auto-motivé de nos jours ! Un entraîneur n'est donc pas là seulement pour mettre un 11 mais il doit aussi motivé ses joueurs. Incroyable, qui l'aurait cru, hein Alruud ? Que le travail d'un coach ne s'arrête pas à la feuille de match, qu'il doit aussi pensé à comment son équipe doit joué, qu'il doit aussi pensé à comment motivé ses joueurs, qu'il doit le faire à chaque match, etc. L'interview en entier -> : http://www.autopista.es/reportajes/articulo/entrevista-guardiola-stadler-dos-genios-de-la-estrategia-99782
  12. Gray

    The Funny Pictures

    " Rien de mieux qu'une bonne défaite 3-0 à domicile contre Liverpool pour redonner un peu de pep's au groupe "
  13. Gray

    David Moyes

    Ba la personne n'a rien dit de grave. J'ai le droit quand même de posté une photo de Moyes lors de la conférence de presse d'aujourd'hui souriant et de dire que ça me dérange le fait qu'il dise 'J'ai un beau travail' juste 2 jours suite à une défaite énorme de Liverpool à OT. C'est mon avis qui est subjectif et il ne concerne que moi.. comme toi lorsque tu dis que Rooney est le meilleur joueur de l'histoire du football et que Cleverley est un joueur de curling. Ça ne concerne que toi.
  14. Gray

    David Moyes

    Elle est prise cette aprem lors de la conf de presse pour le match de demain soir, deux jours après la victoire 3-0 de Liverpool à Old Trafford si tu veux tout savoir. De maniére officiel oui, il a dit aujourd'hui " «J'ai un beau travail. " 2 jours aprés la victoire 3-0 de Liverpool à MU.
  15. Gray

    David Moyes

    La décla en entier, non. Puis j'avais envie d'mettre la photo aussi car la vie a l'air belle selon lui..
  16. Gray

    David Moyes

    Interrogé sur son avenir en conférence de presse mardi, l'entraîneur de Manchester United, David Moyes, s'est défendu d'être sur la sellette : «J'ai un beau travail. Rien n'a changé pour mon avenir. On ne parle jamais de ça (avec les dirigeants, ndlr). Ma meilleure assurance, c'est qu'ils me laissent continuer mon travail. Je sais exactement la direction que je souhaite prendre. Nous avons de grands projets pour les années qui viennent. C'est un club qui travaille avec une vision à long terme. C'est pour cela qu'on m'a donné six ans de contrat.» Avec Moyes à sa tête, le champion d'Angleterre en titre, éliminé dès janvier des deux Coupes nationales et probablement pas européen en mai, traverse une saison chaotique et occupe actuellement la 7e place de la Premier League, à 18 points du premier, Chelsea. L'entraîneur des Red Devils a aussi rassuré son monde quant à son entente avec Sir Alex Ferguson : «Je parle régulièrement avec lui et quand il vient aux matches il me soutient beaucoup. Il m'avait dit avant de venir que ce serait compliqué mais lui et Ed Woodward (directeur général, ndlr) me sont d'une grande aide.» http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Moyes-rien-n-a-change/450187
  17. Gray

    David Moyes

    Il voit une vision au long-terme ? Il sait dans quel direction il veut aller ? Kagawa est un joueur important sportivement ? Mais qu'est-ce qui raconte omg.. insupportable sérieux. La différence entre le terrain, la progression de notre équipe, la progression des joueurs, la gestion des joueurs, la concurrence, le projet de jeu et ce qu'il raconte depuis des mois en conférence de presse est tellement importante que je n'en peux plus de le lire/entendre..
  18. Gray

    David Moyes

    L’idéal pour moi aujourd'hui : - Moyes démissionne dans les 2 semaines (car si on le vire, on devra lui payé + de 25 millions nets). - Giggs prend le relais jusqu'à la fin de la saison. - Van Gaal (Je préfère Klopp mais c'est improbable, il a prolongé et aime énormément Dortmund, ceux qui suivent un peu le Borussia le savent) reprend le relais pour 2 ou 3 ans, le temps de reconstruire en prenant des décisions fortes lié au jeu. - Solskjaer prend à son tour le relais et aura une vrai base (construite par un homme qui sait prendre des décisions et qui a des idées de jeu, Van Gaal) pour qu'on ai du succès. Ca ressemble un peu à ce que le Bayern à fait entre 2009 et 2013 avec l'arrivée de Van Gaal et les victoires de Heynckes.
  19. Gray

    David Moyes

    Au contraire, tout prouve que cette relation de confiance entre les joueurs et le coach n'existe pas, en commençant par le plus important : le terrain. Pour le reste, je suis d'accord avec toi, malheureusement, sur le fait qu'aucun leader technique se dégage. Normalement, ça devrait être Rooney.. mais bon.
  20. Ahaha. Il est clairement meilleur que Hoarau, surtout techniquement et il aurait pu bien rebondir à Bordeaux, dommage.. vraiment.
  21. Gray

    David Moyes

    Ce n'est pas le travail d'un coach de se faire respecter (par des décisions fortes notamment) et savoir installer une relation de confiance entre lui et ses joueurs ? Le rêve ultime :
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