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Marvin

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Marvin

  1. Passons à autre chose. Le dopage du Paris Saint-Germain, fantasme ou réalisme ? Quand Karl-Heinz Rummenigge parle de « doping financier », il ne fait que rebondir sur la critique adressée avec la plus grande récurrence au Paris-Saint-Germain depuis l’été 2012 et son changement de dimension économique. Mais c’est l’annonce d’un probable contrat d’image, conclu par le club avec la Qatar Tourism Authority, à l’heure des promesses de fair-play financier de Michel Platini, qui a le plus nourri le Leviathan politico-sportif. Il convient donc de s’interroger sur la valeur et l’opportunité d’une telle critique. Entre fantasme et réalisme, entre inquiétude légitime et lobby extra-footballistique, le Paris-Saint-Germain fait-il vraiment tomber la dernière digue entre business et idéal sportif ? Le Qatar et l’odyssée de tous les fantasmes Il faut bien reconnaître qu’en matière de football, d’argent et de pays du Golfe, plus grand monde ne sait où placer la frontière entre réalité et fantasme. Après les dépenses faramineuses ayant suivi le rachat du club de Manchester City par un fonds d’investissement d’Abu Dhabi ou les rumeurs de corruption dans l’attribution de la Coupe du Monde de football 2022 au Qatar, le récent fiasco du Times, piégé par l’imagination de l’Agence Transe Presse des Cahiers du Football (sans que cela n’ait jamais été la finalité), traduit bien l’incroyable crédulité de la planète football en la matière. C’est exactement ce qui se produit actuellement avec la rumeur du contrat d’image que conclurait la Qatar Tourism Authority avec le Paris-Saint-Germain, alors même que personne n’a idée ni de l’objet du contrat (périmètre, obligations des parties, nature des prestations), ni de son montant. Des chiffres impressionnants sont évoqués – de 100 à 200 millions d’euros – sans que l’on ne sache pour quelle durée ou à quelle fréquence ni que l’on prenne la peine de remarquer qu’entre 100 et 200 millions d’euros, la différence est particulièrement conséquente (la masse salariale des seuls joueurs du PSG, par exemple, s’élève à 92 millions d’euros brut). Un contrat d’image inqualifiable Avant de nous attarder sur la légitimité d’un tel contrat, il convient de préciser qu’il est juridiquement incontestable, même au regard des principes du fair-play financier, tels qu’ils sont annoncés. En effet, un contrat d’image liant l’autorité culturelle d’un pays en mal de tourisme et un club de football est absolument inédit. Au-delà de l’innovation juridique, c’est surtout une nouveauté économique hors marché dont il est presque impossible d’évaluer la pertinence et l’équilibre ex ante. Il est absolument indéniable de concéder que l’on n’a jamais autant parlé du Qatar que depuis le rachat du club parisien par le fonds souverain d’investissement (Qatar Investment Authority) du cheikh Tamim bin Hamad al-Thani. A titre d’exemple, ce même fonds souverain contrôle un peu plus de 6 % du capital d’EADS, 12,83% du Groupe Lagardère 15,1 % des actions du London Stock Exchange et 17 % de Volkswagen. Il est aussi propriétaire de nombreux palaces français (Martinez, Louvre, Concorde Lafayette…) ou biens immobiliers sur les Champs Elysées (sièges de HSBC, du Lido, de Virgin…). Concrètement, il s’agit d’investissements sans commune mesure avec ceux réalisés dans le cadre du rachat et de la gestion du Paris Saint Germain. Pour autant, c’est bien cet investissement sportif qui cristallise presque la totalité de la visibilité médiatique du Qatar en France et en Europe. S’il s’agit donc de mesurer la rentabilité d’image d’un tel contrat, il semble à première vue que cet investissement soit non seulement incontestable, mais plus probablement l’un des plus pertinents qui soient. Etant acquis que nous n’avons pas besoin de rappeler que l’investissement qatari dans le club parisien n’a nullement pour vocation première de gagner des titres par défi sportif, mais bien de crédibiliser et de répandre la « marque Qatar ». Il est particulièrement savoureux de noter que la polémique autour de ce contrat n’a d’autre effet que d’en augmenter la valeur et la crédibilité. Un contrat d’image a pour finalité de faire connaître la partie qui en est à l’initiative ; et il ne se passe pas une semaine dans l’actualité sportive sans que le Qatar et ce contrat ne fassent réagir les protagonistes du football mondial. C’est tout le paradoxe de ceux qui, à l’instar des dirigeants du Bayern Munich, ont entrepris de donner de l’écho et de la résonnance à leur lobby contre ce contrat. Un contrat inscrit dans une tendance lourde Si un tel contrat doit voir sa légitimité remise en cause, il convient au préalable d’en étudier l’environnement. Or, les circonstances générales et actuelles semblent bien plaider en faveur d’un tel contrat à l’heure même où le fair-play financier est, lui aussi, l’objet d’un paradoxe (lire : Fair-play financier, vraiment ?). En effet, il est cocasse de constater que l’imminence de cette promesse de Michel Platini entraîne encore davantage l’élargissement du fossé opposant les clubs européens les plus riches à leurs poursuivants. Pour se prémunir d’un futur arsenal normatif contraignant, ceux-ci augmentent massivement leurs recettes, en renouvelant, notamment, à grands frais leurs contrats de sponsoring. Ainsi Manchester United vient-il de conclure un contrat de 211 millions d’euros avec Aon pour simplement rebaptiser son centre d’entraînement lors des sept prochaines saisons. Un club qui a signé un contrat de sponsoring de son maillot de 424 millions sur cette même période. Son rival de City a, pour sa part, conclu un partenariat de 491 millions d’euros avec Etihad Airlines pour renommer son stade lors des dix prochaines saisons. Un procédé auquel Arsenal a aussi recouru avec le « naming » de l’Emirates Stadium pour cinq années contre 175 millions d’euros. En Espagne, le Real Madrid a conclu un double contrat de sponsoring à hauteur de 45 millions d’euros par saison avec Fly Emirates (25 millions d’euros) et Bwin (20 millions d’euros). Son rival catalan n’est pas en reste avec la signature d’un partenariat avec Qatar Airways et la Fondation du Qatar pour un montant total de 330 millions d’euros sur cinq saisons. Des recettes de sponsoring aussi impressionnantes et hors marché que celles annoncées pour le Paris-Saint-Germain. Ajoutons, par ailleurs, que ces clubs bénéficient de recettes de droits de retransmission télévisuelle sans commune mesure avec ce qui se fait en France. A eux seuls, Real Madrid et FC Barcelone bénéficient de la moitié de ces droits de retransmission la Liga (163 millions d’euros pour les Catalans, 156 millions d’euros pour les Castillans). Si un projet de loi devrait rendre plus équitable la répartition de ces droits entre clubs espagnols (lire : Liga : droits TV pour tous), cela ne devrait pas faire baisser l’enveloppe de ces deux clubs en raison de la vente de ces mêmes droits en Asie. En Angleterre, les clubs de Premier League se partagent 1,3 milliard d’euros par saison à tel point que les clubs promus disposent d’enveloppes de transfert supérieures à celle de l’Olympique Lyonnais ou de l’AC Milan. De telles comparaisons et de tels chiffres permettent de bien mettre en perspective le contrat d’image que pourrait conclure le Paris-Saint-Germain. A moins d’être profondément hypocrite, il est manifeste qu’il ne va créer aucun déséquilibre face à de tels mastodontes européens. Qui plus est, la répartition des ressources globales dont bénéficie le club parisien est infiniment plus juste (ou « fair play ») que celles pratiquées en Angleterre ou en Espagne. Le club parisien n’est pas le principal bénéficiaire français ou européen des droits de retransmission télévisuelle. Il n’est pas non plus destinataire de subventions publiques (la Mairie de Paris y a mis fin) comme nombre de clubs peuvent l’être. Alors même que les diffuseurs de la Ligue 1 (Canal+ a réalisé des records d’audience cette saison) ou la ville de Paris bénéficient pleinement de la visibilité grandissante et bienveillante du Paris-Saint-Germain. http://www.carnetsport.com/psg-dopage-financier-qatar-fair-play-uefa-contrat-image/ La suite de l'article en page 2. Bon article sur le PSG.
  2. Un avatar obligatoire de Zlatan pendant 1 semaine sera ta sanction.
  3. https://www.youtube.com/watch?v=-w_-8IBLPBA
  4. Marvin

    Shinji Kagawa

    On a des référentiels de lui à gauche. Au Japon il joue à gauche, à Dortmund il jouait plutôt au centre, à United il a plus joué à gauche qu'ailleurs. Moi je le préférerais en attaquant de soutient, gravitant autour de RvP, mais qui dit 2 attaquants, dit généralement 2 milieux, j'aimerais voir un milieu à 3, d'où le placement à gauche. Ensuite, il n'est clairement pas inimaginable qu'il soit placé à droite.
  5. Marvin

    Rumeurs fiables d'arrivées

    On prépare peut-être le depart d'Evra (Monaco?). Il adore le club, mais il pourrait vouloir retourner à Monaco aussi, surtout si Moyes est déterminé à recruter son meilleur joueur à Everton. Et pour Fabio, l'an prochain il peut être une doublure à Baines, et tenter de lui prendre sa place tout simplement. Vous avez peur de Baines ? Qu'il soit trop fort ? Personne n'est trop fort pour Manchester United, et si Fabio veut sa place, il faudra la gagner contre un grand adversaire. Parce que ici, c'est United
  6. Ruud van Nistelrooy... Tu sais où il va frapper, mais tu peux pas l'arrêter Clairement Busby, même si là, le pénalty était bien tiré, il n'était pas suffisamment. Même si j'ai l'impression que Cesar est bien loin de sa ligne au moment du tir de Forlan, il a déjà un petit mètre devant. Mais Forlan ne l'a pas mise raz du poteau non plus.
  7. Marvin

    Tennis

    Murray again ?
  8. Les brésiliens se font marcher dessus, c'est drôle. Luiz est un trisomique, quand tu as Dante sur le banc, tu fais pas ta fiote, tu le mets. Et quelle parade de Cesar sur le péno de Forlan...
  9. Marvin

    Thiago Alcántara

    Captain Britain vs Anti-Glazer
  10. Marvin

    Thiago Alcántara

    Il y a au moins 30% de paranoiac compulsif ça s'est sûr par contre.
  11. Il n'a pas forcément raison non plus. Il faut plusieurs grand joueur pour faire une grande équipe, et les grand joueurs le savent. Apres, dans le jeu, vont-ils s'entendre, ça on peut en discuter. Mais les histoires d'égos, mouais, Messi c'est pas Ibra, Neymar c'est pas Cantona non plus hein. Roh Cantona-Ibra, le duo de furieux, ils se tapent sur la gueule tous les 3 jours.
  12. L'ancienneté devrait compter. L'importance aussi.
  13. Scholes qui touche 60, Young 120. Monde de m****.
  14. Ouais mais nous on vise Thiago, pas Tevez quoi ^^
  15. Marvin

    Rumeurs fiables d'arrivées

    L'an prochain on aura Rooney ou Ronaldo. Je pense que le club ne prendra pas le risque économique, juste après la retraite de Ferguson, de laisser partir Rooney sans prendre Cristiano.
  16. La Juve aurait signé Tevez pour 12M€ (9+3 de bonus). Il gagnerait 5.5M€ + bonus Selon beaucoup de source. Officialisation sous peu. (Skysports notamment)
  17. Marvin

    Wayne Rooney

    Le problème, c'est qu'il ne bosse pas assez justement sa vivacité et son physique, et ses performances s'en ressentent, que vous le vouliez ou non. Ensuite pour la comparaison avec le rugby c'est clair, il n'y a qu'à voir la course de Debaty dans je ne sais plus quel match des 6 nations. Il est, malgré sa masse, très rapide.
  18. ------Mertez--Kos------- Sagna------------Gibbs/Monreal ---------Arteta----------- ---Rosicky-Fellaini---- Cazorla-----------Villa ----------Higuain------- C'est franchement pas mal. Bon Villa j'y crois moyen, certes ^^
  19. Dans la régularité technique. La technique, c'est ce qui permet de jouer au football. Technique : "ensemble des procédés mis en oeuvre dans un métier, un art, une science". Dans de son art ou son métier comme tu préfères, Xavi est plus régulier que Zidane. Après je n'ai pas dit que Xavi était plus technique que Zidane, ça c'est un peu difficile, sachant qu'ils n'ont pas le même rôle, ils n'ont forcément pas le même art (ou métier). Et la technique peut diminuer, des exemples, il y en a un tas, parce qu'elle dépend de pas mal d'autres facteurs.
  20. Dans la régularité technique, Xavi est le best ever.
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