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Duncan Edwards

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Tout ce qui a été posté par Duncan Edwards

  1. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    @garaa et manc7. Ne mélangez pas tout et lisez les pages précédentes avant de parler. Quand tu lis il nous faut " Hummels+ Vidal+Reus+ Strootman+la kiné de Chelsea " ça fait beaucoup hein. Je ne pense pas qu'ici beaucoup cracherait sur Vidal et Hummels, en revanche beaucoup s'accorde à dire que pour cette saison ça suffirait amplement. Nuances. Et puis depuis quand on recrute en fonction de nos concurrents. Encore une fois un recrutement de porc ne garantie pas le succès, loin de là. Remember Real Madrid galactique
  2. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    Ce qui est sûr c'est qu'heureusement ce n'est pas le tien
  3. Je viens de lire que Torsten Frings n'etait pas un très bon joueur
  4. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    C'est tout. Je rajouterai Ronaldo, Neuer, Lahm, Aguero, Iniesta et là on est bon. Après tout on vient de signer un contrat qui va rapporter avec Chevrolet 155M par an, alors qu'est ce qu'on attend, chaque saison recrutons la crème de la crème. On est Manchester United sérieux, un petit coup de vaseline ça ne fait pas de mal.
  5. Justement non. Ce n'est pas pareil. La différence est que tu laisses la possession à l'adversaire, ce qu'a fait Louis notamment à cause de l'absence de Strootman. Après oui le 5 3 2 se transforme selon qui a le ballon.
  6. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    Pogba ? Que v.Gaal décrit comme un joueur unique. Tout d'un coups la déclaration de Ferguson concernat le retour d'un visage familier prends tout son sens. Voilà ce que Louis avait déclaré avant de rencontrer les bleus en amical: Pogba est un des éléments importants de l'équipe de France, les Pays-Bas ne comptent pas de joueur comme lui ? (Rires) Pogba est un cas unique. Il est très fort (physiquement) mais il est aussi très rapide et très bon techniquement. On n'a pas ça mais il y en a pas beaucoup des comme ça. A l'évidence ce sont des joueurs très utiles pour une équipe.
  7. Ou tu as raison, mais là tu parles du 3 5 2 qui est différent du 5 3 2 utilisé par v.Gaal lors du mondial et qui est extrêmement malléable.
  8. Bah il y a moyen de sa capter et de ce faire au moins un match, une bouffe et un débat sur les requins Je pars en terre catalane à la fin de la semaine mais je serai de retour pour la pré saison. Tu me diras en MP quand tu es par chez nous et si les dates coïncide on se prévoit ça. D'ailleurs ce serait sympa de se faire un truc si il y a des membres sur Toulouse mis à part, Alruud, Guadloup1.
  9. Si tu passes sur Toulouse, tu es le bienvenu.
  10. Disons qu'avec le 5 3 2 tu ne faits pas le jeu, tu ne joue pas la possession, au contraire, tu la laisse volontairement à l'adversaire pour mieux le surprendre si on peut dire ça. Aussi le 5 3 2 (et j'ai envie de dire toutes les formations selon le coach) est très malléable comme on a pu s'en rendre compte. Je ne suis pas expert, si quelqu'un peut apporter plus de précision.
  11. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    Oh ça va, c'est pas parce qu'l a mis une balayette une fois qu'l faut le comparer à Mario " no brain " Ballotelli. Rien à voir.
  12. La leçon tactique de van Gaal Un tableau noir dont jaillit la lumière: le sélectionneur des Pays-Bas Louis van Gaal a su modifier avec brio son schéma tactique dimanche pour battre le Mexique 2-1 en 8e de finale du Mondial et son équipe s'avère d'autant plus redoutable qu'elle est modulable. Du 5-3-2 au 4-3-3 en passant par un "plan B" avec quasiment quatre attaquants, le technicien néerlandais a tiré profit de l'adaptabilité de ses hommes, à l'image de Dirk Kuyt: pour sa 100e sélection, l'ailier a joué dans trois positions successives: arrière gauche, arrière droit et avant-centre ! Le 5-3-2, pour contrer Depuis le début du Mondial, les Pays-Bas de Van Gaal ont basé leur jeu sur une défense à cinq assez inhabituelle pour le pays du "football total", où le 4-3-3 a longtemps été un horizon indépassable. Johan Cruyff, ancien attaquant vedette des "Oranje", s'est d'ailleurs élevé contre cette hérésie, estimant que les Néerlandais jouaient "contre-nature, trop bas". Mais ce dispositif à cinq défenseurs, avec deux latéraux très entreprenants, a payé d'entrée: c'est dans ce schéma que les Pays-Bas ont balayé l'Espagne (5-1), championne du monde en titre, avec notamment deux passes décisives de l'arrière gauche Daley Blind. C'est un système où les Pays-Bas ne font pas le jeu, voire abandonnent la possession de balle à l'adversaire. Mais cela ouvre des opportunités de contres aux attaquants Arjen Robben et Robin van Persie, bien alimentés par le meneur Wesley Sneijder. Le 4-3-3, pour réagir Depuis leur arrivée au Brésil, les Pays-Bas ont été menés au score au cours de trois de leurs quatre matches: contre l'Espagne, l'Australie (3-2) et le Mexique (2-1). Et ils ont su l'emporter à chaque fois grâce aux adaptations tactiques de Van Gaal, qui n'a pas hésité à revenir au 4-3-3. "C'est une formation naturelle que tout joueur néerlandais connaît", expliquait le technicien juste après le match contre l'Australie. Dimanche, sous la chaleur de Fortaleza, ses hommes se sont retrouvés menés au score à la 48e minute. Pour réagir, Van Gaal a fait entrer Memphis Depay (56) comme ailier gauche et placé Robben à droite et Van Persie en pointe, ce qui a offert plusieurs occasions franches aux "Oranje", bien stoppées néanmoins par le gardien mexicain Guillermo Ochoa. "Tactiquement, (Van Gaal) est l'un des meilleurs, peut-être le meilleur, a jugé Dirk Kuyt après la rencontre. Peu importe le système, les joueurs savent exactement quoi faire. Il nous avait prévenu avant le match que nous pourrions passer au 4-3-3 si nous étions menés 1-0." Le "plan B", pour pilonner A 15 minutes de la fin, Van Gaal a profité de la seconde "pause hydratation" accordée par l'arbitre pour demander à ses joueurs d'appliquer ce qu'il a appelé son "plan B". "C'est une manière intelligente de profiter de cette pause", a-t-il expliqué avec malice. "C'était évidemment un système que nous avions travaillé, avec (Klaas-Jan) Huntelaar et Kuyt comme pointes. Nous devions jouer de longs ballons en profondeur, avec ces deux joueurs proches du but et Robben et Depay sur les ailes." Soit quatre attaquants et une stratégie de pilonnage qui a porté ses fruits: sur un corner, un ballon repoussé est retombé dans les pieds de Wesley Sneijder, qui a égalisé d'une puissante frappe (88), avant que Robben n'obtienne un penalty polémique mais synonyme de victoire (90+4). Désormais en quarts de finale, les Pays-Bas affronteront le Costa Rica. Et Van Gaal a déjà prévenu: son dispositif dépendra des "qualités de l'adversaire" costaricien, qui peut déjà redouter les inspirations tactiques du maître à jouer des "Oranje".
  13. Une petite interview qui date, assez intéressant: Parmi les quelques entraîneurs qui ont atteint le plus haut niveau, rares sont ceux qui peuvent se vanter de posséder un palmarès comparable à celui de Louis van Gaal. Le technicien de 62 ans a été champion en Allemagne, en Espagne et aux Pays-Bas. Il a également remporté la Ligue des champions de l'UEFA et la Supercoupe de l'UEFA. Non content d'avoir mené son pays en phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, van Gaal s'est payé le luxe de rester invaincu tout au long de la compétition préliminaire. Versés dans le Groupe B, les Oranje se mesureront l'été prochain aux champions du monde espagnols, au Chili et à l'Australie. Les perspectives du Néerlandais ne se limitent cependant pas à Brésil 2014. Au micro de FIFA.com, van Gaal évoque sa philosophie, les qualités qui ont fait de Pep Guardiola un grand capitaine à Barcelone et les aspects les plus frustrants du métier de sélectionneur. Louis, qu'est-ce qui vous distingue des autres entraîneurs ? Je pense que ma philosophie est unique. Elle lie étroitement les joueurs et l'entraînement. Au fil des ans, beaucoup de footballeurs ont manifesté un vif intérêt pour mes méthodes. Ils aiment travailler avec moi car je propose un jeu offensif, technique et tactique. Mon système leur permet de mettre leurs qualités en valeur. Quelles sont les caractéristiques que vous recherchez chez un joueur ? Cette question nous ramène à ce que je disais précédemment. Il faut penser collectif et non individuel. C'est la raison pour laquelle je reviens toujours à ma vision du jeu et au collectif. Ensuite, je me mets en quête de joueurs capables de s'adapter à mon 4-3-3. Quoi qu'il arrive, mes équipes jouent toujours ainsi. Si un jeune joueur me semble convenir, il aura sa chance. Si je trouve quelqu'un de plus expérimenté, ça n'est pas un problème non plus. L'âge n'est pas un critère déterminant. Au FC Barcelone, vous avez été le premier à titulariser des joueurs comme Xavi ou Andrès Iniesta. Tirez-vous une fierté particulière de leur parcours ? Bien entendu. Quand je vois que Barcelone utilise encore quatre de mes joueurs, comme le Bayern Munich, ça me rend fier et heureux. Mais les Xavi, Iniesta, Motta, Müller et autres Alaba ont avant tout été choisis parce qu'ils répondaient au cahier des charges à leur poste. Par exemple, j'ai discuté avec Alaba du poste d'arrière latéral. Il ne voulait pas jouer là. Il était milieu de terrain de formation mais j'avais une place à lui offrir. Nous avions des blessés et je pensais qu'il pouvait nous apporter quelque chose sur le côté. Après de longues discussions, il a accepté de tenter l'expérience, pour le bien de l'équipe. Quel est son poste aujourd'hui ? Arrière gauche. Que pouvez-vous nous dire de l'évolution de Bastian Schweinsteiger ? Il ne correspondait pas à l'idée que je me faisais d'un ailier gauche. Quand je suis arrivé au Bayern, j'ai discuté avec chaque joueur de son poste, de sa personnalité, de l'équipe et de sa façon de travailler avec ses coéquipiers. J'ai dit à Bastian qu'il devrait jouer au milieu. À l'époque, nous évoluions avec deux récupérateurs et un meneur de jeu, Thomas Müller. Je l'ai titularisé dans l'entrejeu et il a découvert que ce poste lui plaisait beaucoup. Aujourd'hui, Guardiola en a fait un de ses récupérateurs. Les joueurs capables de briller sur les ailes ne sont pas nombreux. Un footballeur à l'aise dans les couloirs possède généralement les qualités pour faire un bon numéro 6 ou numéro 10. Mais il lui faut pour cela consentir des efforts. Schweinsteiger n'avait jamais été placé dans l'entrejeu, mais après deux semaines de travail et deux matches, il ne s'était jamais senti aussi bien. Si mes joueurs acceptent ces changements, c'est parce qu'ils sont convaincus par ma vision. Vous évoquez Thomas Müller. Il évoluait avec les U-19 lorsque vous êtes arrivé au club. Deux ans plus tard, il remporte le Soulier d'Or et le titre du Meilleur Jeune Joueur de la Coupe du Monde en Afrique du Sud. Qu'avez-vous vu en lui ? Quand j'arrive dans un club, je conserve toujours un membre de l'encadrement précédent. Cette fois, j'ai choisi Herman Kerland, qui travaille d'ailleurs toujours avec Pep Guardiola. Je voulais qu'il m'indique les joueurs les plus prometteurs. Il m'a dit : "Il faut garder un œil sur Müller, Badstuber et Alaba". Je les ai donc invités à s'entraîner avec l'équipe première. Je les ai observés et j'ai décidé du poste qui leur convenait le mieux. Au départ, Badstuber était arrière gauche mais je l'ai reconverti en défense centrale. Et quelles qualités recherchez-vous chez un capitaine ? Je fais mon choix en fonction d'un certain nombre de caractéristiques qui me semblent importantes. C'est moi qui choisis mon capitaine et non mes joueurs. Je ne laisse jamais ce soin à quelqu'un d'autre car je dois travailler avec ce joueur, qui aura des responsabilités accrues. Je dois apprécier sa personnalité, savoir qui il est vraiment. Mes capitaines sont professionnels, très ambitieux et honnêtes. Vous retrouverez ces qualités chez tous ceux que j'ai choisis. L'âge n'est pas un facteur ? Non, l'âge n'est pas important. Quand je suis arrivé à Barcelone, Guardiola n'avait que 27 ans. En Espagne, on confie traditionnellement le brassard aux footballeurs les plus âgés. Je voulais lui donner des responsabilités et lui faire partager ma philosophie. Je dois partager un lien avec mon capitaine. Je lui ai dit : "Il faut que tu sois mon capitaine". Il ne voulait pas, mais j'ai insisté. "Je veux que ce soit toi, car tu as la même vision du jeu que moi." C'est pourquoi je tenais à ce qu'il accepte. Aujourd'hui, il a fait son chemin. Regrettez-vous de ne plus travailler au quotidien avec vos joueurs ? Tous les jours. J'ai été professeur d'éducation physique. J'aime communiquer avec des jeunes. Maintenant, on me demande de sélectionner et d'observer. Je ne suis en contact avec mon équipe que huit fois par an environ. Je n'aime pas trop ça. Heureusement, nous allons bientôt commencer les préparatifs pour la Coupe du Monde !
  14. Pl, fa cup, carling cup, il y a de quoi faire jouer tout le monde. D'ailleurs on a pu voir que Louis a utilisé tout son effectif en cdm. Je pense que ceux qui ne le connaissent pas risque d'etre surpris par sa manière de gérer un groupe et de donner leurs chances aux jeunes les plus talentueux. Costume sombre et cravate orange, comme tout son staff, Louis Van Gaal n'est pas du genre à brasser du vent en invectivant ses joueurs. Un signe de maîtrise de la situation? Il est le sélectionneur le plus vissé à son banc du Mondial. L'assurance d'avoir fait les bons choix et d'avoir suffisamment briefé. Et personne ne contestera son génie avant le match des Pays-Bas contre l'Argentine ce mercredi à Sao Paulo. En changeant avec succès de gardien pour les tirs au but, contre le Costa Rica, ce géant au cou balladurien a réalisé LE coup de poker du Mondial. Un pari préparé, risqué et payant, alors que l'adversaire comptait s'appuyer sur la vista de son meilleur joueur et portier Keylor Navas. Tim Krul, l'homme du match, s'était préparé pour une telle issue et savait où chaque Costaricain avait tendance à frapper - et il ne s'est pas gêner pour leur dire. Une solution concoctée dans le plus grand secret par Van Gaal et son entraîneur des gardiens, Frans Hoek. Même le titulaire au poste, Jasper Cillessen, n'était pas au courant! Sans le 4-3-3 Avant ce coup d'éclat, Van Gaal est à l'origine d'une petite révolution dans le pays du football total de Johan Cruyff. Aussi audacieuse que de demander à l'Angleterre de rouler à droite. Renoncer au 4-3-3 au profit d'un 5-3-2 mêlant défense regroupée et contre-attaques, après le forfait de Kevin Strootman, son "seul milieu relayeur/infiltrateur". Un crime de lèse-majesté pour palier l'inexpérience de la défense batave. Un crime pour un autre: battre 5-1 l'Espagne championne du monde pour son entrée dans la compétition, grâce à ses fusées Robben et Van Persie en attaque. Mais quand c'est nécessaire, Van Gaal sait revenir aux fondamentaux néerlandais, comme il l'a fait lorsque les Pays-Bas étaient menés au score, notamment contre l'Australie (3-2) et le Mexique (2-1). "Tactiquement, il est l'un des meilleurs, peut-être le meilleur, a fait valoir Dirk Kuyt après le succès contre les Mexicains. Peu importe le système, les joueurs savent exactement quoi faire. Il nous avait prévenus avant le match que nous pourrions passer au 4-3-3 si nous étions menés 1-0." Champion partout où il est passé De l'audace et de la maîtrise. Van Gaal n'a pas été recruté par hasard pour être le digne successeur de Sir Alex Ferguson à Manchester United - en mettant de côté le raté David Moyes et l'interim Ryan Giggs. Il a a été champion dans tous les clubs qu'il a entraînés : le Bayern Munich, le FC Barcelone, l'Ajax Amsterdam (où il a tout gagné dans les années 90) et même le petit AZ Alkmaar, pour un titre national en 2009 qui a rappelé qu'il avait toujours la main. Cet homme au nez plat l'a aussi creux. Il a été le premier à lancer dans le grand bain des joueurs appelés à devenir des stars du jeu: Davids, Kluivert (son adjoint en sélection), Seedorf à l'Ajax dans les années 90, Xavi au Barça, où il forcera le joueur Pep Guardiola à prendre le rôle de capitaine, Alaba et Müller au Bayern Munich. "J'ai été professeur d'éducation physique. J'ai toujours aimé travailler avec les jeunes", explique-t-il. Il vient de récidiver avec la sélection des Pays-Bas (Cillessen, Blind, De Vrik, Martins Indi, Janmaat, Wijnaldum, Depay). Un provocateur qui "aime" ses joueurs Souvent décrit comme arrogant et colérique, il s'affirme comme un manager caractériel. "Je les provoque, mais je les aime", dit-il souvent à propos de ses joueurs. "[il] a un jour voulu nous dire clairement qu'il pouvait décider de mettre sur le banc des remplaçants n'importe quel joueur, quel que soit son nom, car il avait des couilles. Pour nous le prouver, il a baissé son pantalon. Je n'ai jamais vu cela, c'était complètement fou", racontait en 2011 l'ex-attaquant du Bayern Luca Toni. Van Gaal fait des choix et n'accepte pas qu'on les remette en question. Son leadership n'est pas négociable. "Je suis un coach qui décide seul. Jamais personne ne m'a dicté la tactique à suivre. Les seuls à avoir tenté de le faire ont été les dirigeants du Bayern, ce qui avait provoqué mon départ du club", a-t-il rappelé en préparation du Mondial. Les dirigeants comme les joueurs de Manchester United sont prévenus. Dans ce mondial, il ya sept joueurs qui étaient dans les M21 des pays bas qui ont atteind les demis finales l'an dernier en Israël. Oui Louis aime travailler avec les jeunes et ça ne changera pas chez nous.
  15. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    Non du tout. Il n'est pas aussi bête que lui. Il a un potentiel monstre. Là n'est pas la question. Il est parti, a bien craché sur le club(même si je suis d'accord avec lui pour le temps de jeu qu'il aurait du avoir) et aujourd'hui on devrait aller le récupérer pour une grosse somme. Qu'il reste où il est, ou qu'il aille à Chelsea avec José pour poser des bus et ne pas dépasser la ligne médiane. Son temps à Manchester est fini. Si on devait rapatrier un joueur c'est Ravel, Fabio ou Daehli. Désolé du HS.
  16. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    Rapatrier Pogba. Non merci.
  17. Disons que partout où il est passé il a lancé pas mal de jeunes. Pourquoi ça serait différent chez nous ? Parce qu'on doit retrouver les sommets immédiatement, et alors, quoi de plus beau que de le faire avec les minots Ps: Comprends bien qu'il ne s'agit pas de lancer 10 jeunes n'importe comment, mais deux ou trois qui valent le coups dont Keane, Powell et Henriquez. Pour un club comme le notre ça devrait être une priorité, priorité qui semble s'éloigner de plus en plus au fil du temps.
  18. Je ne te pensais pas aussi naïf pour pouvoir croire cette déclaration. Oui merci, j'ai bien noté le troll dating qui se déroule sur ce topic depuis quelques temps.
  19. Duncan Edwards

    Arturo Vidal

    Généralement, quand les personnes dites fiables ne savent rien de se qui se trame ça sent bon. Vidal chez nous dans la semaine ? Les paris sont ouverts.
  20. Euh, il y a eu des rumeurs pour les deux joueurs cités mais rien de concret (Young de retour à Villa, et Fellaini à la Fiorentina que v.Gaal ne veux pas dans son effectif) Quand il y a des rumeurs de départs c'est un enf**** et quand il y en a pas c'est une chèvre et c'est parce que personne n'en veut le summum de la mauvaise foi ! Néanmoins, je tiens à souligner la pertinence de ce magnifique post. Difficile de faire mieux.
  21. Oui, et d'ailleurs, cette image prouve bien à quel point les stats ne sont révélatrices de pas grand choses. C'est vrai qu'il le mériterait mais bon, c'est pas comme si Casillas n'avait pas essayé
  22. Messix, messix, messix...Quelle horreur de savoir qu'on gagne des récompenses qu'on ne mérite pas et qu'on est surcoté par une majorité de titix. Pour moi, le meilleur joueur de cette cdm doit se jouer entre Kroos/Sweini. Malheureusement Kroos rate sa finale, mais alors que dire du match de Bastian @mondoudou: Je ne vois pas comment tu peux dire que Higuain lui fonce dessus. Si quelqu'un a un gif de l'action svp. Ça n'enlève rien que c'est le meilleur gardien du tournoi.
  23. Mouais, tu y vas fort là non. Même ses plus fervents défenseurs s'accordent à dire que le salaire de Rooney est exagéré par rapport à son rendement sportif ( et non économique). Donc rien à voir tant Cr7 est exceptionnel sportivement. Après je suis d'accord avec toi, beaucoup espèrent que Rooney se plante et se servent du moindre faits et gestes du joueur pour lui cracher dessus, certes. Mais il ne faut pas en faire une généralité, il faut aussi dire qu'il y en a qui ne porte pas/plus Rooney dans leur coeur et qui malgré tout espère une bonne saison de sa part, et, reste toujours objectif concernant le joueur et ses performances. Je pense à Don, Franky Tenojah, Jiminy, Moha et d'autres que j'oublie surement. Pas de rumeurs de départ cet été. Ouch, les jaloux vont maigrir dixit Mokobé Grosse saison à venir pour le gros, je vous le dis
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