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Duncan Edwards

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Duncan Edwards

  1. Tu peux pas faire pire que Di Maria
  2. Haha je t'ai chatouillé du coups tu l'as fait Parfait, c'est jamais trop tard. Oui.
  3. Postes le ici dans ce cas Ray7. Pour la une, Ryan où un des administrateurs décidera de la publié ou pas.Tu l'as fini ? J'avoue que j'ai hâte de lire aussi.
  4. Si tu as parler en grande partie de United, aucun problème, au contraire.
  5. Est ce que tu as lu mes posté précedents OGS concernant; Evans, Jones, Smalling ? F Pour ton dernier paragraphe je ne vois pas où tu veux en venir ? Tous ça parce que je vois la venue de Pedro(bon rapport qualité/prix) d'un bon oeil ? Pour info, j'ai toujours été contre le transfert de Di Maria à 75 millions dès les premieres rumeurs d'arrivée. De plus,tu sais très bien ce que je pense des recrues " Bling Bling ", de même que tu sais très bien que si ça ne tenait qu'à moi, Thorpe(qu'on a vendu et vu que tu parles de Rojo) et d'autres jeunes seraient titulaires, or, d'autres personnes ne l'entendent pas de cette oreille, notamment, Lvg. Donc encore une fois, je ne vois pas où tu veux en venir avec ton post.
  6. 8 ans chez nous, c'est pas rien.
  7. Good bye Rafa. Beaucoup de bons moments...des mauvais aussi. Si je devais résumer Rafael en un seul mot, ce serait " abnégation " sans hésiter. Son physique lui aura fait défaut alors qu'il aurait pu/du devenir l'un des meilleurs latéraux d'Europe, et il l'aura demontré, à plusieurs reprises. Sur le forum, ça a souvent parler de mauvais traitements, mise au placard pour pas mal de joueurs. Si il y a bien un joueur qui a bénéficié souvent de ce traitement et qui a toujours fermé sa gueule, c'est bien lui. Pourtant il est toujours revenu, motivé plus que jamais, malheureusement, pour mieux rechuter par la suite. J'ai toujours aimé ce joueur, sa fougue, son style. Il a toujours mouillé le maillot. Ça me fait vraiment mal au coeur de le voir partir. Je lui souhaite de se refaire une santé en L1 et de rebondir après. m**** pour la suite. Rafael#21
  8. Il n'y est pas/plus non. En tout cas rien sur Tweeter de fiable qui parle de ça. J'ai vu vite fait deux trois articles par ci par là.
  9. Ben Fairthorne il travaille pas pour le Sun lui ?
  10. Les mêmes cons. La preuve que non, car Pedro attend bien tranquillement son transfert. Lui n'a pas raté l'avion pour rejoindre son futur club comme un malpropre. Au contraire, il s'est rendu avec son club en tournée et a même joué contre nous, son futur club sans faire d'histoire. Il a pris la peine de dire à son coach, ses partenaires, son président qu'il quittait le Barça pour Mu, uniquement pour Mu. Pleins de détail qui font qu'il semble différent de Di Maria. Je dis bien semble, car je ne connais aucun des deux personnellement.
  11. Jonas Giaever. C'est un journaliste sportif norvégien (Oslo). Il est spécialisé dans le foot européen/latino-américain. C'est quelqu'un de très fiable généralement. Les mêmes erreurs ? Lesquelles ? Parce que les situations de Di Maria et Pedro sont bien differentes, sportivement, financièrement et contractuellement. Leur profil idem, ils sont différents en tout point en fait, sauf pour se rouler par terre
  12. J'ai répondu à Tsubasa Jim'.. Pour ce qui est de les rendre meilleurs, je suis perplexe. Ferguson est quand même en partie responsable de leur non progression tu trouves pas. En les trimballant un coup à droite un coup dans l'axe, ils n'ont jamais pu progresser. C'est d'autant plus vrai pour Jones qui a joué DC, latéral droit et milieu défensif. A leur arrivée,.Jones Smalling c'est de très bonnes prestations. Là où on a foiré c'est en c1, quand nous avons sous estimé les adversaires en poule. Je pense que ça a commencé là pour eux. Puis c'est aller de mal en pire. J'ai quand même espoir encore en Jones et Smalling, par contre Evans je ne le vois plus s'en sortir ici malheureusement.
  13. Je suis d'accord avec ça En fait je répondais à Kamak qui disait que Fergie aurait recruté un meilleur DC..
  14. Cette photo, le troll ultime, avec en plus la stat sur la belle soeur en bonus :D
  15. " Heureusement, Paul fut aussi le « ginger prince ». Forcément, à force de casser des cages et de régaler les « neuf » qui nont plus qu'à pousser la bille derrière la ligne, il est devenu un mythe discret, au coeur d'un mythe bruyant, oeuvrant magistralement en honorant de sa classe époustouflante le rouge vif de son maillot, sans jamais renier le rouge des briques de son enfance. Petit, laid, roux, sans ambition, traqué par la maladie dOsgood-Schlatter qui lui serine le genou à chaque pas, l'incroyable Paul est parti avec un bagage accablant, et a malgré tout réussi à exister jusqu'à devenir une légende de son sport, fort d'une humilité absolue et d'un talent sidérant. Paul, c'est le syndrome « Julian Ross » : il fallait bien accabler l'Homme de handicaps pour que les autres puissent espérer. Opiniâtreté, constance, humilité : un triptyque boulonné par un génie insolent. Paul aura su me fasciner au-delà de sa condition de sportif de haut niveau. Car si Paul avait été beau, grand, fort, idiot, il serait probablement parti au Real Madrid, et je ne serais pas en train de poser ces dithyrambes. Mais l'idée dun Clark Kent des terrains, déguisé en père modèle qui va chercher ses enfants à lécole tous les jours, qui fréquente la même femme depuis son adolescence malgré l'argent et le succès, qui élève son fils autiste pendant que ses collègues élèvent des Ferraris, qui jure fidélité à son club formateur (oui, cest plus facile quand on est né à Manchester quà Avignon), et qui endosse son costume de superman tous les week-ends pour punir les méchants prétendants à la suprématie du championnat anglais, cette idée là, je la trouve paradoxalement « extraordinaire ». Paul ? Un anti-héro comme je les aime. Un type avare de mots, bégayeur, ombrageux, teinté comme un c** par peur de la lumière, qui devient un épouvantail sanguinaire une fois la liquette rouge sur le dos. " En effet, tu voyages. L'auteur te fait vivre ça comme lui le ressent, je trouve ça très fort...et ça marche ! Par contre, ces deux paragraphes sont justes excellents, d'une pertinence qui est à souligner. Ça résume parfaitement Scholes selon moi.
  16. Bah il n'a pas supporté la pression, ou tout simplement pensait qu'il ne le méritait pas. Je trouve que c'est tout à son honneur, car peu l'aurait fait selon moi. Après chacun en pense ce qu'il veut mais de la à dire qu'il a fait tâche, il y a un pas que je ne franchirait pas.
  17. De rien. J'en ai eu des frissons
  18. Lisez cette chronique, tout simplement magnifique. Gianluca Zambrotta aurait dû le savoir. D'ailleurs il le savait. Et il le sait encore, aujourd'hui. Dans une position défensive, il n'est pas de remise dans l'axe qui soit admise. Sous aucun prétexte. Cette règle, connue de l'amateur le plus décérébré, est d'or, et s'applique avec d'autant plus de rigueur lorsque le milieu offensif de l'équipe adverse est petit, roux et doté dune frappe de poney. De poney ukrainien précisément. Une frappe aussi puissante que précise, de celles qui propulsent le cuir à cinquante mètres de distance en plein milieu du'n tronc de chêne. Bien au fait de cette règle, Zambrotta, qui n'était pas un peintre, l'a tout de même fait. Il a relancé dans l'axe un ballon moyennement dangereux qui s'est transformé en violent coup de fusil. Contrôle dynamique, corps qui se recentre, pied gauche qui vient écraser le sol, et ce pied droit, ce foutu pied droit, qui vient gifler le ballon de son extérieur. On est le 29 Avril 2008, une lucarne vient d'être nettoyée par un célèbre anonyme: frissons. Manchester United élimine le FC Barcelone. Rideau. C'est l'histoire d'un ptit gars de banlieue mancunienne, qui cumule tous les clichés de son patelin gris foncé : quelconque, roux, accent grotesque, famille ouvrière. Et petit. Pas vraiment le poulain sur qui on miserait un pound. Son avenir était tout tracé : arrêt des cours à 14 ans, père à 16, marié à une laiteuse obèse du quartier à noyer son spleen dans les pintes, au beau milieu des briques rouges et des « f*** off ». Rideau. Sauf que. Sauf que Paul n'est pas tout à fait comme les autres. Paul est un petit bonhomme robuste. Paul est excessivement intelligent. Paul a un David Beckham dans chaque orteil. Un virtuose avec un physique de victime. La chose est très agaçante pour ses camarades pragmatiques, qui le choisissent tout de même en premier lors du « choux-fleur » de cour de récréation. Cest vrai quon pardonne d'avantage le talent quand il est la propriété du beau. Alors Paul prend des roustes à lécole. Paul prend des roustes sur le terrain. Mais Paul se relève. Toujours, et sans moufter. Paul ne se plaint jamais. Quand Paul touche le ballon, il n'est pas nécessaire da'imer le football pour apprécier l'élégance avec laquelle il le caresse. Paul fait l'amour à son jouet, chaque contact avec la gonfle est une sorte de ballet wagnérien à l'esthétique somptueuse. Paul ? Ce sont les profanes qui en parlent le mieux : un de mes amis qui doit beaucoup boire pour tenir quatre-vingt dix minutes sans s'endormir, m'a un jour interpellé alors que nous regardions un match au pub. Il me tint à peu près ce langage : « le rouquin, il ne ressemble à rien, mais on dirait un jeu vidéo quand il joue. Il a la classe pour un nabot. En plus, ils sont toujours deux sur lui, on dirait qu'il leur fait peur. Il se passe un truc avec ce ptit gars ». C'est précisément cela. Il se passe un truc. Un truc fluide, gracieux, organique. Ça dégouline de choses qu'on apprend ni à lécole, ni en club, ni par mimétisme. Paul sur un terrain, c'est David Bowie qui chante « space oddity ». La classe absolue. Paul voit tout avant tout le monde. Paul exécute plus vite que tout le monde. Paul tape là où ça fait mal. Son seul défaut sur un terrain est en fait ce qui le rend incontestablement rocknroll : Paul tacle comme un hooligan du dimanche. C'est un enfer. Lui qui ne pourrait se résoudre à écraser la mouche au quotidien, semble physiquement incapable de tacler proprement quand il est sur le pré. Pis encore, il s'est fait une spécialité de pratiquer cet art exclusivement par derrière, les deux pieds largement décollés du solinsensé. Sir Alex aurait tenu dix ans de plus sans le kung-fu meurtrier du teigneux roussâtre. Toujours est-il que je ne l'aurais pas voulu autrement ce maudit rouquin, car même avec son tablier de boucher, il reste jubilatoire. Il est élégant jusque dans la découpe de cuissots. C'est un artisan du tendon d'Achille, un genre de Pâris de la sphère footballistique. Ses attentats sont autant de plaisirs coupables. Paul, c'est une p***** de rock star géniale, qui sest déguisée en petite carotte flétrie pour mieux emmerder Nike, Adidas et consorts. Il n'y a qu'à voir les épis crâniens du garçon pour comprendre quil na que faire des sollicitations médiatiques et publicitaires. J'ai en mémoire un sticker Panini sur lequel il semblait tout droit sorti du lit, le cheveu anarchiste, la crotte à lil, le regard absent : un p***** de génie. Les médias construisent et déconstruisent les légendes. Trop souvent, et par excès de consensus, de bêtise, dignorance aussi, ils bâtissent des gratte-ciel de balourdises profondément injustes. Ainsi Paul fut appelé le « Cantona roux ». N'importe quel journaliste un peu au courant, visionnaire, et dépourvu de certitudes plébéiennes, aurait eu la justesse de faire de Cantona « le Scholes brun », peu importe la frise chronologique. Point. Heureusement, Paul fut aussi le « ginger prince ». Forcément, à force de casser des cages et de régaler les « neuf » qui nont plus qu'à pousser la bille derrière la ligne, il est devenu un mythe discret, au coeur d'un mythe bruyant, oeuvrant magistralement en honorant de sa classe époustouflante le rouge vif de son maillot, sans jamais renier le rouge des briques de son enfance. Petit, laid, roux, sans ambition, traqué par la maladie dOsgood-Schlatter qui lui serine le genou à chaque pas, l'incroyable Paul est parti avec un bagage accablant, et a malgré tout réussi à exister jusqu'à devenir une légende de son sport, fort d'une humilité absolue et d'un talent sidérant. Paul, c'est le syndrome « Julian Ross » : il fallait bien accabler l'Homme de handicaps pour que les autres puissent espérer. Opiniâtreté, constance, humilité : un triptyque boulonné par un génie insolent. Paul aura su me fasciner au-delà de sa condition de sportif de haut niveau. Car si Paul avait été beau, grand, fort, idiot, il serait probablement parti au Real Madrid, et je ne serais pas en train de poser ces dithyrambes. Mais l'idée dun Clark Kent des terrains, déguisé en père modèle qui va chercher ses enfants à lécole tous les jours, qui fréquente la même femme depuis son adolescence malgré l'argent et le succès, qui élève son fils autiste pendant que ses collègues élèvent des Ferraris, qui jure fidélité à son club formateur (oui, cest plus facile quand on est né à Manchester quà Avignon), et qui endosse son costume de superman tous les week-ends pour punir les méchants prétendants à la suprématie du championnat anglais, cette idée là, je la trouve paradoxalement « extraordinaire ». Paul ? Un anti-héro comme je les aime. Un type avare de mots, bégayeur, ombrageux, teinté comme un c** par peur de la lumière, qui devient un épouvantail sanguinaire une fois la liquette rouge sur le dos. Je ne suis pas un accroc du ballon rond. Je m'y intéresse cest vrai, tout en constatant que la ferveur quasi religieuse et bien souvent idiote et inconsidérée qui plane autour de cet univers, m'éloigne tout à fait de la condition du supporter crétin la bibine à la main. Jaime Manchester United. Jaime Paul. Le voir évoluer, orchestrer le jeu, saccager les filets adverses, tacler les lombaires, torturer les beaux gosses plein de gel. Mais Paul est humain. Et passé 35 ans, on ne court plus aussi efficacement après un ballon (sauf si on a du sang sierra-léonais). Alors jamais plus je ne verrai Paul sur un terrain. Cette idée, aussi futile peut-elle vous apparaître, sait aujourd'hui me rendre triste. Sources: leschroniquesdel'incroyable.com
  19. Je rêve de les rencontrer en poule. Une rouste à Old Trafford avec accueil spécial pour Di Mariole. Et une valise à Paris devant leur publix pour les calmer. Le rêve quoi !!! L'uefa si vous me lisez
  20. Assez d'accord avec ça. Je pense juste qu'il veut induire en erreur pas mal de monde quand à la formation et ses plans de jeu pour la prochaine saison. Il dit tout et n'importe quoi, nous même ne savons pas sur quel pied danser, il en est de même le pour les autres. Par contre je suis d'accord avec Ryan. Finir ailleurs que 1er ou deuxième et sans titres quel qu'il soit serait une contre performance. On a sur le papier le meilleur milieu de PL, il y a de quoi faire avec les recrues offensives et défensives que sont Darmian et Schneiderlin. Attendons le premier match ce week-end end et nous aurons déjà quelques éléments de réponse.
  21. Pour commencer, Norvégian, ne lit pas l'article au dessus Plus sérieusement, mon dieu, je comprend pourquoi il est si mauvais avec les chevilles autant enflées.. " Les gens doivent maintenant respecter Paris qui est l'un des plus grands clubs au monde, seul la Barça et le Réal sont un cran au dessus " :D j'en peux plus :D merci pour ce fou rire Ray. Mode footix on On a battu Barcelone 3-1 nous hein Mode footix off Je sens que je vais m'y coller à cette chronique, ça va faire mal !
  22. À part une rumeur bidon la semaine dernière, rien à ce sujet Mais oui, il a du avoir echos des envies de Pedro, tout comme les autres clubs intéressés, mais visiblement le joueur lui veut venir à United.
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