Bunny-Tsukino

Suis-je la seule à penser qu'à ses côtés, Evans parait plus serein ? Les deux me semblent avoir développé une bien belle complémentarité, ils forment un binôme au sein duquel chaque élément se meut à merveille jusqu'à présent. Un duo de choc ! Prions pour que cette osmose perdure, le nord-irlandais rutile lorsqu'il est associé à Jones. Et si d'aucuns mettent en exergue l'évidente qualité technique et les montées rageuses de l'anglais (à juste titre), je retiendrai de ce match sa formidable présence physique, laquelle a contraint Torres à se terrer dans le mutisme. Quel boeuf, ce mec !

C'est pas pour autant qu'ils se pareraient du maillot de Montpellier, à mon avis Paris ? Lyon ? Barça ?

Voir tous ces fielleux extatiques, c'est ce que je supporte le moins, lorsque l'OM perd.

Il m'a fait atteindre l'acmé du plaisir. LOL, il avait fait un trop bon match jusque-là, ce n'était pas possible.

Gagner, c'est un peu dur, Milan n'a pas gagné d'ailleurs Mais l'Inter, même en s'étant incliné, avait dégagé une impression de maîtrise bien plus grande. Là, ce soir, ça peut faire 5 à 1 sans aucun souci.

Tout le monde ici sera content, mais le nul du Milan est quand même scandaleux, un énorme hold-up. Contente pour Dortmund, et mention spéciale à Marc Keller qui, à travers ses commentaires, renvoyait l'image d'un mec dépité par ce but concédé par la bande à Wenger. Victoire de l'OM aussi, cool

Contre le PSV, Yoshida a inscrit un but splendide, ce week-end. http://www.youtube.com/watch?v=P9rn8n331U8 Et en pareil cas, le sempiternel constat qui s'impose est le suivant : si l'auteur de cette merveille avait été ce que l'on appelle un "joueur de renom", la vidéo aurait fait le tour du globe.

C'était pour reprendre la phrase des supporters mancuniens ce jour-là, rien de plus.

"Assieds-toi, pédophile !" Collector, cette scène.

Difficile de répondre, il y a du pour et du contre. Une chose est sûre, pour poursuivre sa lente ascension, le Japon se devait de débusquer hors de ses frontières un sélectionneur susceptible d'insuffler aux joueurs une culture de la gagne, mais aussi, de les aider à s'imprégner d'un autre football via des tactiques différentes.. Pour l'heure, il convient de mettre en exergue les résultats probants que l'équipe a obtenus sous sa coupe, celle-ci n'ayant essuyé le moindre revers en treize rencontres, tout en se payant le luxe de venir à bout de l'Argentine, du Paraguay, de l'Australie et de la Corée du Sud. En outre, elle a engrossé son palmarès d'une Coupe d'Asie acquise en début d'année. Lorsque l'on répond au nom de Japon, ce bilan apparait flatteur. Certes, en tant qu'étranger, on pourrait légitimement nourrir des doutes au sujet de l'implication de Zaccheroni, mais il fait preuve de bonne volonté et essaye, autant que possible, de s'imprégner de "l'esprit samouraï", plus simplement, de la mentalité japonaise. Pour ce faire, il assiste régulièrement à des matchs du Japon dans d'autres sports, et à titre personnel, j'apprécie son opiniâtreté à vouloir découvrir le pays, là ou d'autres ne consentiraient au moindre effort d'intégration. Maintenant, si je raisonne en termes de qualité de jeu, j'émets davantage de réserves, puisqu'il est particulièrement enclin à instaurer un 3-4-3 qu'il aspire à aligner face aux grandes nations, mais qui à l'évidence, sied peu aux joueurs, ceux-ci affichant certaines carences offensives dans ce dispositif. L'animation n'y est pas bonne, tout comme l'efficacité bien évidemment. Et dans le 4-2-3-1 -schéma au sein duquel les éléments nippons se meuvent le mieux-, les errances d'une charnière centrale encore inexpérimentée demeurent, ce qui amène parfois l'équipe à souffrir face à des formations modestes qui procèdent en contre. Mais en dépit de quelques écueils, elle parvient toujours à s'extirper de situations mal engagées, faisant étalage d'un refus de la défaite et de ressources morales que l'on ne lui connaissait pas jusqu'alors. Peut-on parler de Zac touch ? Je le pense, et bien que son désir d'installer des systèmes peu compatibles avec les forces en présence me déplaise, je loue sa réactivité, ainsi que sa capacité à réaliser des changements bénéfiques en cours de rencontre. Les victoires obtenues aux dépends de l'Australie et de la Corée du Nord sont, par exemple, à mettre au crédit de son coaching.

Hier se déroulait donc la deuxième journée de qualifications dans la zone Asie. Le Japon, fort de son court succès aux dépends de l'accrocheuse Corée du Nord, se rendait à Tachkent pour y défier l'Ouzbékistan, dans une rencontre que d'aucuns qualifiaient déjà de finale du groupe. En terme de style, les ouzbeks et leur jeu étincelant demeurent, en effet, aux antipodes de nord-coréens dont la qualité réside principalement dans leur capacité à jouer en bloc, et compte tenu de la tactique plutôt offensive des nippons, l'on se disait bien vite que cette opposition engendrerait un match totalement débridé, avec pléthore de situations chaudes de part et d'autre. Bien qu'alléchante pour tout spectateur neutre, cette perspective ne semblait cependant pas vouée à intimider une nation fraîchement auréolée de son quatrième titre continental. Pourtant, fidèle à ses désirs de faire du Japon une équipe caméléon susceptible de s'adapter à n'importe quel adversaire, Zaccheroni surprenait l'assistance une fois de plus. De son imagination luxuriante naissait un 4-3-3, schéma très expérimental, puisqu'ayant été abandonné au sortir du Mondial 2010. Pour l'occasion, Yuki Abe, sorte de Gattuso japonais, signait son grand retour au sein du onze titulaire, lui que son sélectionneur avait jusqu'alors décidé de mettre au ban. Eu égard à l'importance de ce match, cette improvisation incongrue n'avait pas de quoi rasséréner des supporters déjà sous tension, mais le premier enseignement à tirer de ce système restait la volonté du technicien transalpin de blinder un entre-jeu qu'il jugeait sans doute trop tendre pour remporter la fameuse bataille du milieu. Certes, cette velléité apparaîtrait tout à fait louable dans une confrontation mettant aux prises son équipe et une formation huppée telle l'Espagne, ou encore l'Allemagne, mais jusqu'à preuve du contraire, l'Ouzbékistan n'appartient pas à cette caste, de facto, le Japon se devait d'aborder la rencontre sans crainte, en optant pour une stratégie plus offensive ... Nanti de ce schéma impromptu, du retour de Kagawa sur l'aile, et donc, de l'absence du brillant Kiyotake, le fan lambda pouvait légitimement se regimber contre l'italien, mais puisqu'à la tête de la sélection nippone, ce dernier affiche un bilan qui plaide en sa faveur, le bénéfice du doute lui était accordé ... ... Durant quelques minutes à l'issue desquelles le Japon se voyait déjà submergé par les offensives adverses. Sur chaque ballon, les ouzbeks -agressifs dans le bon sens du terme- se révélaient être les plus prompts, et de leurs combinaisons chatoyantes germaient des situations chaudes dont l'une d'entre elles poussait Kawashima à s'employer, en déviant péniblement le cuir sur son poteau. Soupirant d'aise, le portier pensait très certainement avoir évité le pire à son écurie, mais hélas pour lui, le but allait survenir sur le corner subséquent. Libre de tout marquage, Server Djeparov -dont les traits saillants de l'apparence physique rappellent un acteur porno des années 60- effectuait une reprise peu académique, mais qui parvenait tout de même à expédier le ballon au fond des filets du gardien de Lierse (Non mais franchement, qu'est-ce qu'il fout dans ce club ?). Dans une ambiance indescriptible, les Loups Blancs prenaient donc l'avantage, mais ne jugulaient pas leurs efforts pour autant, puisqu'ils maintenaient ce niveau de pression jusqu'au coup de sifflet annonciateur de la mi-temps, profitant aussi des errements et de l'apathie de leurs rivaux d'un soir. Bousculés, et passablement perturbés par le dispositif innovant mis en place par Zaccheroni, les japonais se montraient néanmoins dangereux avec parcimonie, et dans un élan de maladresse, Lee, pourtant seul face à Nesterov, s'arrogeait le droit de vendanger, en expédiant le cuir sur le montant gauche de ce dernier. Sans surprise, l'italien s'était donc fourvoyé avec son 4-3-3. Mais puisqu'il est doté d'un esprit vivace, et qu'il nous a bien souvent gratifiés de changements salvateurs, il ne dérogeait pas à cette règle d'or, et remplaçait finalement Abe par l'ailier Kiyotake, faisant ainsi glisser Kagawa vers le poste de meneur de jeu -sa position de prédilection, pour qui en doutait encore-. Bifurquant vers un 4-2-3-1, l'ex-entraîneur du Milan AC admettait donc son erreur, et la corrigeait séance tenante, ce que nous demeurons en droit d'exiger d'un coach de renom. Et dès le retour des vestiaires, la rencontre changeait de physionomie, pour déboucher sur une opposition certes débridée, mais tournant à l'avantage d'un Japon plus hargneux, et au collectif parfaitement huilé. Kiyotake se greffait à merveille à cette mécanique, tandis que Kagawa pesait davantage sur un jeu avec lequel il paraissait enfin en syntonie. Le 2-0 et le 1-1 devenaient envisageables, mais deux face à face remportés par Kawashima entretenaient l'espoir de son équipe, qui grâce à une tête plongeante signée Okazaki -laquelle coupait un centre bien travaillé d'Uchida-, parvenait finalement à recoller au score à la 65ème, contraignant ainsi Nesterov à perpétrer son seul impair du match, la balle se faufilant entre ses jambes. Extatique, l'auteur de cette réalisation libératrice disparut ensuite d'une rencontre qu'il se contentait alors de traverser tel un fantôme errant. Ses coéquipiers furent proches d'adopter un comportement similaire, obérant ainsi la quête d'une victoire qui leur tendait pourtant les bras. En effet, suite à cette égalisation, plutôt que de porter l'ultime estocade, les japonais s'arc-boutèrent, apparement trop soucieux de conserver ce précieux point obtenu sur les steppes ouzbèques. Et si les deux (plutôt une, mais j'avais envie de dire "deux") occasions "gâchées" par un Kagawa trop altruiste vinrent parsemer la fin du match, l'on retiendra davantage que les samouraïs ont appréhendé la dernière demi-heure à la manière d'un Galtier dont la seule aspiration est de garder le 0-0 à l'extérieur. Ah ! Nous noterons également l'entrée de Makino à la 81ème. Oui, Makino, le clown de Cologne, dont l'objectif est d'amuser les titulaires avec ses facéties. Si nul ne le connaît, c'est normal. Mais stop les digressions, place au bilan : avec ce 1-1, le Japon perpétue sa belle série d'invincibilité et clot ses deux matchs qualificatifs avec quatre points au compteur, ce qui les place en tête de ce groupe pourtant si périlleux, et bien que la double confrontation à venir face au Tadjikistan devrait permettre aux nippons de réaliser un 6/6, la sensation qu'il y avait mieux à faire en Ouzbékistan laissera le soin au supporter de nourrir quelques regrets. La route menant à Copacabana est encore longue.

La France n'a pas gagné à cause de la pelouse !!!

Ah moi pour l'OM je serais pas contente, quand même Que le joueur signe à Paris, Lyon ou Lille d'ailleurs.

Il a le droit d'avoir changé depuis, Zeup. Bien que Mourinho l'ait tancé publiquement à plusieurs reprises, il s'est terré dans le silence, se contentant de travailler dans son coin, et aujourd'hui ça a payé, puisqu'il est en passe de devenir LE titulaire à la pointe de l'attaque madrilène. Ce joueur a évolué, et semble désormais familiarisé avec les us et coutumes du haut niveau, le portugais lui en a inculqué les exigences, et il fait désormais preuve d'un sérieux que l'on ne lui connaissait pas jusqu'alors.

Je ne parle pas des efforts qu'il fournit sur le terrain, mais de son rendement en EDF, qui lui, demeure bien supérieur à celui de Nasri, peu importe qu'il coure beaucoup ou non. Après, oui, il apparait évident que Benzema est trop facile, et à l'instar d'un Berbatov, sa nonchalance naît de son aisance balle au pied. Il possède les défauts de ses qualités, dirons-nous ~

Moi j'aime pas sa mentalité et ses déclarations pédantes, rien à voir avec Arsenal. Un Benzema parle moins, et fait plus.

Paye ta fatigue alors Sanchez joue ?

Le Chili n'avait pas déjà joué il y a deux jours ?

J'ignore si tu as raison, mais le cas échéant, Blanc n'avait qu'à quitter son poste de lui-même. De toute façon, les personnes ayant trempé dans cette triste affaire se font écarter les unes après les autres, et seul notre cher sélectionneur semble échapper à la sanction. Mouais, pourquoi pas. Reste que je ne le vois pas faire de vieux os en Équipe de France. Nous en reparlerons en temps voulu, mais je le pense capable de mettre un terme à cette aventure à l'issue de l'EURO, lui qui je le rappelle, a toujours signifié clairement qu'il ne se voyait pas exercer cette fonction sur une longue durée.

Ces palabres ubuesques pourraient aisément prétendre à s'intégrer dans le topic des déclarations hilarantes.

Je ne peux que t'approuver, puisque fonctionnant de la même manière que toi. Tout comme toi, je ponds des posts avant tout dans un souci de satisfaire ma petite personne, et évite de me triturer l'esprit en songeant à la manière dont autrui me perçoit. Si j'accordais une importance immodérée à l'opinion des lecteurs, ou que je craignais de ne pas être lue, je ne posterais jamais sur un topic "Japon" qui je le sais bien, ne déchaîne point les passions ici. Mais qu'importe, je ne porte guère attention à mon voisin, et me concentre avant tout sur mes propres productions (ces raisons font que je ne me sens en concurrence avec personne, sinon moi-même). Ceci étant, tout un chacun ne raisonne pas ainsi, et d'aucuns puisent, dans ces "+1", une source de motivation supplémentaire, -je ne vais pas divulguer de nom ici afin de ne mettre personne mal à l'aise, mais plusieurs membres me l'ont avoué (non non c'est pas Nathou cette fois-ci ^^)-. Ils n'en font, certes, pas un objectif prioritaire, et n'étayent pas leurs propos dans le seul but d'obtenir une note glorifiante, mais cela constitue néanmoins une carotte dont l'obtention représente une récompense les exhortant à poursuivre les efforts consentis. Je ne parlerais pas forcément de maturité, mais plutôt de caractères qui divergent d'un quidam à l'autre. Là où X se suffira à lui-même, et n'aura besoin de quiconque pour s'auto-stimuler, Y n'offrira son rendement optimal que lorsque ses homologues l'y encourageront fortement. C'est une question de personnalité. Et si cette pression positive ne dopait personne, je doute que le staff aurait eu l'idée de mettre en place un système de "VIP", classification dont chacun s'est affairé à portraiturer les probables effets pervers (jalousie, concurrence malsaine, etc ...). Encourager les membres par le biais d'un "+1", ou à travers des éloges habilement glissés au détour d'un post, je l'ai fait à moult reprises. Distribuer les bons points publiquement en couchant une liste des membres que JE juge "supérieurs" à d'autres, cela me séduit déjà moins (exception faite si l'on incite simplement les gens à s'inspirer d'eux).

Tout en restant dans le domaine de la "recherche de reconnaissance" (chose dont je n'ai, au demeurant, pas besoin), je souhaiterais mettre en exergue un fait trivial qui selon moi, revêt tout de même une certaine importance. Que l'on se comprenne bien, je ne cherche pas à pointer du doigt une quelconque "injustice" comme d'autres l'ont fait parfois, mon but est simplement de vous permettre de stimuler les membres au mieux. Voilà, j'ai remarqué, au détour de mes diverses lectures, que sur le topic "Opposition", l'on attribuait des "+1" à tire larigot. Dès que le post est assorti d'une argumentation convenable, la note positive est délivrée de manière quasi-systématique. Jusque là, pas de problème, cette pratique permettant aux utilisateurs qui accordent du crédit à ces réputations (Nathou si tu me lis) de se surpasser, mais le souci réside sur les autres topics de ce forum. En effet, mes yeux de lynx constatent qu'en dehors du topic "Opposition", il est plus difficile de gagner une note gratifiante. Les textes de qualité n'ont pas cette même propension à aimanter les "+1", et je trouve cela dommage. Un Rooney_8 (je n'aime pas distribuer les bons points, mais il faut bien illustrer ses propos), qui inonde la section "Effectif" de "pavés" plutôt pertinents, ne récolte à mon goût que trop peu de "+1", et je subodore que s'il participait avec assiduité au topic "Opposition"; sa réputation passerait du simple au double. Je l'accorde, l'exemple de ce membre est assez mauvais, sachant qu'il a réitéré à maintes reprises ses velléités réelles, lesquelles demeurent aux antipodes d'une quête de reconnaissance, mais je sais, par expérience, que l'obtention d'un "+1" stimule une multitude d'utilisateurs qui pour en grappiller, se transcenderont peu importe le topic. A ce titre, je trouve donc dommage que ces "récompenses" soient décernées de préférence sur "Opposition", comme si c'était THE topic du forum. Ce sujet n'est pas l'unique creuset de beaux posts, et si je respecte la sévérité qu'y prône un Charlie dont l'opiniâtreté à créer des débats intéressants apparait tout à fait louable, je sais également qu'il a pondu bien d'autres topics de qualité, qui eux aussi ont abrité de très bons posts méritant sans nul doute des "+1". Voilà pour ma petite suggestion anodine.

"Faire le jeu" ou "jouer offensif" s'avère malaisé lorsque tu alignes, au milieu, deux joueurs à vocation disons "défensive". M'Vila est, certes, autrement plus fin que Diarra techniquement, mais reste davantage affecté à la récupération, et quitte à ne conserver qu'un seul 6, j'opterais pour le Rennais. Celui-ci présente un profil plus "moderne" que son homologue dont les qualités résident essentiellement dans ce qu'on a pour coutume d'appeler l'impact physique. A mon sens, la jeune révélation suffirait amplement, à plus forte raison lors d'une confrontation "nous" mettant aux prises avec une formation modeste telle que l'Albanie. Titulariser deux râtisseurs dénote de la crainte dont le sélectionneur est épris, et j'ose à peine imaginer la composition que le Chevalier Blanc couchera lorsque se dressera devant lui un adversaire de la trempe de l'Espagne. Quatre six ? Soyons fous ! Par contre, bien qu'ayant peur d'avoir versé dans une paranoïa profonde, je trouve cette campagne de dénigrement d'Alou Diarra pour le moins surprenante, lorsque l'on sait tous les éloges dont l'ancien bordelais faisait l'objet jusqu'à ... L'an passé. Là, depuis que l'OM l'a enrôlé, on a presque la sensation qu'il est relégué au rang de sous-m**** ... Curieux. Et loin de moi l'idée de te fustiger personnellement, mon constat ayant été dressé après immersion dans le monde fabuleux des journaleux français. Cela s'apparenterait plutôt un coup de gueule général.

"Blanc essaie de faire du jeu", raisonnablement, car le coup des deux 6, qui représentait en quelque sorte la marque de fabrique de son prédécesseur, n'est pas vraiment en adéquation avec ses discours faisant l'apologie du jeu offensif.

Benzema et Lloris leur sauvent clairement la mise, ce soir. Le reste, c'est moche.