rooneydu93500

21h30

Ferrer qui déclare forfait, ce qui diminue les difficultés de Nadal, ça devait être Bellucci/Lopez/Ferrer ce sera Lorenzi/Lopez/Cilic. Demain Wawrinka-Djokovic, méfiance...

Auxerre finira à moins de 5 points de l' Europe, lol.

Ferguson a d' autre chose à penser que d' offrir les médailles, être champion par exemple. Et puis Neville est supporter, ça ne change rien pour lui!

Chiant pour Berba? Parce que nous...

Ouais d' accord avec ça!

Ouais enfin le Lissandro ses matchs il les choisit, face a Toulouse il a été assez scandaleux.m, et question pleureuse il est pas mal aussi. Lucho est un très bon joueur, un peu surcoté certes mais quand devant t' as un Gignac ou un Rémy, leurs appels sont pas bnos, que veux tu qu' il fasse. Et puis la ligue 1 c' est pas pour lui, t' as toujours un 6 qui lui colle aux basques.

N' oublie pas la multitude de passes décisives l' année dernière.

En plus City n' a pas un très bon coeff UEFA il me semble, ça risque de faire un petit choc au tour préliminaire.

On s' attendait une bagarre pour la 4ème, ce sera une bataille pour la 3ème, ils méritent leur 4ème place largement, je les vois bien se planter en tour préliminaire. Tottenham aussi à sa place même pas en EL, normal au vu de leur saison.

Bellucci a perdu, ce qui va faciliter le tableau de Nadal, s' il y a enchainement Lopez-Ferrer, la 1ère place put être mis en danger, mais il me semble bien que Djoko va devoir attendre encore un peu, je suis convaincu que si Nadal avait gagné dimanche, il ne serait pas venu. Premier tour difficile pour Federer avec Tsonga d' entrée!

C'est bon pour Fabio!

De toute façon au milieu, il faudra un joueur de talent, Giggs est titulaire mais 37 ans, face à Arsenal, il manquait ce relais, Carrick est un joueur qui monte en puissance au bon moment, mais à part sa première saison, il n' en n' a pas fait une de A à Z, Scholes va sûrement s' en aller. Avec Andy-Fletch-Giggs-Carrick-Clev'-Gibson-la recrue, on sera parré pur la saison assurément!

Seul Brown ne l' aura pas, il est à 7, Valencia n' a été titulaire que 7 fois + 2 remplacements donc ça va être bon!

S'ils descendent, il ne voudra pas rester,faudra chercher ailleurs!

Je suis d' accord avec ça, j' étais pas trop chaud pour Wesley, vu que je veux absolument garder Rooney derrière l' attaquant, mais en regardant nos compos actuelles, c'est un 4-4-2, avec un joueur offensif au milieu, Giggs, donc si Fergie estime que Wesely est capable d' évoluer à ce poste, c'est parfait, parce que le 4-4-2 actuel est la base de nos futurs succès pour moi. Ce qui le rendait encore plus intéressant, puisqu' il peut jouer dans un 4-5-1, et sur l' aile gauche, un tireur de corner, de coup franc, âge parfait, pied gauche pas mauvais, si on ne se ruine pas, je ne suis plus (aussi) contre!

Ah bon, à part les Wolves, on en a plus perdu dans le temps additionnel!

Ouais c' est ça les paroles il me semble! Quoique hier le GoodBye aurait collé parfaitement aussi

Ya pas mal de clubs qui la chantent, musique de 30 ans une chanteuse avait fait une reprise il y a 1-2 années.

Cet air là?

On leur laisse celui là, pas intéressant de toute façon!

La raison du meilleur est toujours la plus forte, et le meilleur, une fois encore, a été Manchester United. Ou, plutôt, Sir Alex Ferguson. Entre faire la fine bouche et jouer les bégueules, la différence est aussi mince qu’une tranche de jambon dans un sandwich SNCF. Je m’excuse de l’image, qui évoquera des souvenirs douloureux à beaucoup d’entre vous – et à moi donc ! Mais ces billets sont écrits au fil de la plume, et c’est la première qui me soit venue à l’esprit. Le fait est qu’on entend de ci de là des experts, ou présumés tels, qui accueillent la nouvelle d’un 19ème titre de champion pour Manchester United (ce ne sont ni Blackburn ni Blackpool qui empêcheront cette équipe de prendre un point sur les six offerts), et d’un 12ème pour Sir Alex Ferguson, avec une petite moue de réserve qui a le don de m’horripiler. Ce ne serait pas un grand cru de United, parait-il. C’est possible. Même la Romanée-Conti a des millésimes en dessous de la moyenne, ce qui n’empêche pas qu’il s’agisse d’un grand vin. Ou que MU soit encore, toujours, une grande équipe. Authentiquement grande. Plus grande encore que quelques formations mythiques d’hier, qui font perler une petite larme à l’œil des connaisseurs (dans mon cas, le Dynamo Kiev de Lobanovski, par exemple). L’hommage marqué de Guardiola hier était celui d’un authentique homme de football, qui sait qu’il a encore beaucoup à faire pour arriver sur le piédestal ou Ferguson est installé. Un piédestal placé sur le banc de touche, bien sûr, d’où cet immense manager peut continuer de vivre le football comme si sa vie en dépendait ; ce qui est le cas. Quand on s’arrête un instant, et qu’on s’attarde sur les résultats, sur la seule vérité du terrain, car il n’y en a pas d’autre, on est pris de vertige à la vue de ce qu’a accompli Sir Alex depuis son arrivée d’Aberdeen en 1986. United est devenu un grand club grâce à Matt Busby et Jimmy Murphy. Mais United est bien devenue l’une des plus grandes équipes de l’histoire grâce à Ferguson, le presque septuagénaire qui n’a cessé et, dieu soit loué, ne cessera pas de sitôt de la réinventer. Au début de la saison, vous vous en souvenez peut-être, je faisais de Chelsea mon favori pour le championnat, et de United mon ‘coup de bluff’ pour la Ligue des Champions. Je ne me suis pas trompé de beaucoup, mais je me suis trompé tout de même. On a toujours tendance à sous-estimer Man U. On peine à croire qu’un homme puisse être habité d’une telle énergie, et d’une imagination aussi libre que la sienne. Pour moi, le football anglais n’en a connu que deux : Herbert Chapman, hélas disparu trop tôt, mais qui, avec Huddersfield puis Arsenal, inventa le rôle du manager moderne, alignant trophée sur trophée en changeant radicalement sa fonction ; et Ferguson, celui que Mourinho appelle ‘le maître’, sans l’ombre de la moindre ironie. On a encore vu dimanche ce qui faisait la grandeur de Ferguson et de Manchester United. Quel autre club a le don d’instiller dans un groupe aussi disparate la conviction de participer à une mission commune, et le désir de le prouver ballon au pied ? Je n’oublierai pas de sitôt l’image de Berbatov, si injustement soupçonné d’être une diva imperméable à cette dimension du football, étreignant un Chicharito, son ‘rival’ – non, son coéquipier, messieurs les cyniques - en larmes au coup de sifflet final ; le bonheur du Bulgare était aussi intense que celui du Mexicain. Et quel football cette équipe soi-disant diminuée nous a offert ! Le mouvement Giggs-Park-Hernandez qui a mené au premier but était sublime. Certains des enchaînements qui ont suivi ne l’étaient pas moins. Luis Antonio Valencia…que dire ? Mon ‘homme du week-end’ ne sera jamais une méga-star, ce n’est pas dans son tempérament. Il est beau, pourtant ; le visage est magnifique, la silhouette racée, élégante ; le joueur, puissant, technique, généreux (presque autant que Park, c’est dire). Ceux qui le côtoient m’assurent qu’il est aussi humble, ouvert, facile à approcher, ce qui ne me surprend pas le moins du monde. Une équipe dans laquelle on trouve un Valencia, un Park, un Rooney, un Chicharito, un van der Sar (on pourrait les citer tous) est bien une grande équipe. Saluons-la sans équivoque. Saluons aussi Chelsea, son entraîneur, et l’image qu’aura donnée le football anglais en ce dimanche. Un football où l’on ne truque pas. Où l’on ne brandit pas de cartons imaginaires. Où les arbitres ne sont pas encerclés de joueurs aux expressions haineuses à chaque décision. Un football qui a ses limites techniques (encore que…), mais qui, malgré tout le reste, les propriétaires douteux entre autres, sait rester dans le vrai, dans la franchise du combat. Je n’ai pas vu Drogba plonger à Old Trafford. Je n’ai pas vu Stoke mettre la semelle contre Arsenal. Je n’ai pas vu les Wolves ‘balancer’ contre West Brom. J’ai vu des équipes qui, les Gunners exceptés, ont tout donné. Ce que je dis de la Premier League vaudrait aussi pour le Championship, la League One, la League Two, la Conference, et les divisions au dessous. Il y avait 11 000 spectateurs à Bradford (D4), pour voir les Bantams se faire taper 5-1 par Crewe, 32 000 à Southampton (D3) pour le match de la montée contre Walsall. Il y en aura plus de 40 000 à Eastlands pour le barrage de D3 entre les MK Dons et Peterborough dimanche prochain. Ce monde-là est celui de Manchester United, qui en est un digne champion. Auclair

Juste dans le. sens bon, pas limitée.

Ouais Arsenal si ça n' a pas de conséquences n' aura fait rajouter que du piment, et pour la haie d' honneur, bof, aujourd' hui on rit de bonheur, et la semaine prochaine aussi peut être on peut faire coup double!