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Content que tu aies aimé. Quand il saute la nazie. :D

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Spring Breakers : pire film de l'histoire du cinéma. Period.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Spring Breakers : pire film de l'histoire du cinéma. Period.

 

T'attendais autre chose de ce film ?

 

Rien que les actrices sur le Grand journal la dernière fois "On était très libre dans ce qu'on faisait, le producteur ne donnait pas tellement de directives". Ouais ok, pas de scénario, et laissez des gens comme ça seules, c'est un fail.

Je vais pas oser le regarder.

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Justement, je n'en attendais rien. Mais il était à la Mostra de Venise et la critique est très enthousiaste (les Cahiers l'ont loué ce film) donc ma curiosité était évidemment piquée. Eh bien le constat est effarant.

 

Pep Guardiola : un réalisateur qui laisse ses acteurs s'épanouir devant la caméra ne produit pas forcément quelque chose de mauvais. Derek Cianfrance a procédé de la sorte avec le duo Michelle Williams/Ryan Gosling dans Blue Valentine et on a vu le résultat, par exemple. ^^

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Justement, je n'en attendais rien. Mais il était à la Mostra de Venise et la critique est très enthousiaste (les Cahiers l'ont loué ce film) donc ma curiosité était évidemment piquée. Eh bien le constat est effarant.

 

Pep Guardiola : un réalisateur qui laisse ses acteurs s'épanouir devant la caméra ne produit pas forcément quelque chose de mauvais. Derek Cianfrance a procédé de la sorte avec le duo Michelle Williams/Ryan Gosling dans Blue Valentine et on a vu le résultat, par exemple. ^^

A partir du moment où il y a selena gomez dans le film, les cahiers peuvent me dire que ce serait comme si Citizen Kane et Apocalypse Now avait eu un enfant que je le regarderais pas ^_^

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"De cet objet idiot s'écoule une sorte de poésie repoussante et naïve, burlesque et synthétique, vulgaire et bête, une sorte de poésie perdue, à ramasser, à rincer, impropre à la consommation, innommable en somme, mais qui exprime aussi la part poétique et misérable de notre époque." – Les Cahiers du cinéma.

 

:^:

 

 

La médiocrité ne connait-elle pas de limites ? C'est la seule question que ce film est amené à nous poser. De toute ma vie, au cinéma, je ne pensais pas un jour me retrouver devant un objet d'une telle indigence, sur le fond ou sur la forme. En prenant le postulat de faire une critique acerbe de la jeunesse désœuvrée, Harmony Korine livre un propos vide de sens qui essaie de se faire passer pour ce qu'il n'est pas. Ne nous voilons pas la face, cette exécution lapidaire de la jeunesse et plus largement du rêve américain, aurait pu être le produit d'un jeune homme de quinze ans trop fanatique d'Anonymous et de Bret Easton Ellis.

 

L'outil cinématographique étant ici utilisé comme un véritable jouet, qui essaie tant bien que mal de masquer les faiblesses de son réalisateur. Le montage déconstruit, qui est certainement le plus insupportable jamais fait, tente de noyer la nullité de la narration, ne parvenant qu'à la rendre d'autant plus ridicule, voire non assumée. Les quatre gonzesses, pantins désarticulés d'un monde en perdition, qui sombrent au plus profond de l'immoralité californienne, sont censées nous emprisonner dans leur spirale auto-destructrice. Pourtant, la voix-off de Selena Gomez, encore une fois la plus insupportable jamais faite, ne cesse de nous assassiner les oreilles.

 

Ce film et son propos sont une supercherie, une supercherie qui prétend flirter avec le génie aronofskien ou avarien et se poser comme un film-choc générationnel, étendard de l'année 2013. Rien n'est pourtant à retenir de ce film détestable en tout point : ni sa réalisation prétentieuse et adolescente, ni son propos ridiculement immature. Dans le genre « objet détestable », autant regarder le Projet X de 2012, qui assumait sa nullité et ne condamnait pas la jeunesse, essayant davantage de retranscrire avec un humour beauf le cri intérieur (et apocalyptique) d'une génération éperdue.

 

Ici, nous nous retrouvons dans un état d'esprit presque complaisant, faussement satirique et en plus de ça inintéressant de bout en bout. Sans humour, malgré un James Franco caricatural, le film ne cesse de nous perdre, de nous ennuyer, de nous énerver, avant de nous achever avec ses dernières voix-off – les pires de toutes – et sa fin interminable. Jamais ce film n'aurait dû durer si longtemps mais il reprend la formule van santienne (plusieurs passages selon un point de vue sensiblement différent) en l'ôtant de toute intelligence, de toute puissance cinématographique. Jamais un écran ne m'aura semblé si anodin, si vide, si répétitif dans sa médiocrité.

 

Harmony, tu aurais pu te contenter d'un court-métrage de cinq minutes, en un plan-séquence sur une piscine bourrée de c******* satisfaits et de s****** déchaînées, avant de le conclure par une explosion brutale et sanglante, « Glamorama style ». Pitié, ne laissons pas cette imposture s'octroyer une place qu'elle ne mérite pas. Le plus consternant restant cette conclusion effarante que nous sommes contraints de faire, à notre plus grand désarroi : Morsay, avec des moyens similaires, aurait pu faire aussi bien. Et ça, c'est implacable.

 

Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Ouais nan ça va, j'attends pas l'avis des Cahiers pour voir un film. Ça reste une revue intéressante.

Modifié par Best_07

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Matté Happiness Therapy aujourd'hui, et franchement j'ai été agréablement surpris. Je m'attendais pas du tout à ça.

Quand j'ai vu que Bradley Cooper était nominé pour l'Oscar du meilleur acteur, ma première réaction était WTF, mais là franchement je comprends, j'irai même jusqu'à dire qu'il lé méritait peut-être. En ce qui concerne Jennifer Lawrence... WOW tout simplement.

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Conseils de la semaine :

 

- Au bout du conte : regardez la bande-annonce, vous aurez vu ce qu'il y a de mieux dans le film.

- Hansel & Gretel : Euh. Ne payez pas pour ça, mais je pense que vous le savez déjà. Mais au moins c'est une daube qui ne se prend pas au sérieux. C'est déjà ça. Si jamais ça vous intéresse on voit le c** de Pihla Viitala.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Salut les gars, je voulais savoir si vous aviez des films à me conseiller qui mettent le personnage principal dans un doute constant, dans une situation de paranoïa aigüe. Dans le style de Le Procès ou The Game. Merci. ;)

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Je ne répondrai pas à ta question, mais dans un autre genre, un film qui devrait te plaire avec un personnage complexe c'est Man On The Moon ;)

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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C'est noté, merci. ;)

 

Même si, comme je l'ai déjà dit, mon programme est tellement surchargé que ce ne sera pas avant des mois. :)

 

(Je m'apprête à voir les deux derniers épisodes de Twin Peaks... Brr, j'en tremble).

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(Je m'apprête à voir les deux derniers épisodes de Twin Peaks... Brr, j'en tremble).

 

Dis moi quand tu auras ouvert le rideau.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Au fait je conseille un film que j'avais vu y a pas mal de temps et qui m'pète de conseiller : Very Cold Trip.

 

Un road trip de trois losers finlandais à la recherche d'un... adaptateur vidéo pour regarder le Titanic.

À voir En VOST bien évidemment. L'humour est juste parfait et dépaysant. ;)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Après son excellent Somewhere, SOFIA'S BACK !

 

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Pour ceux qui aiment les films de procès, je vous conseille l'excellent Témoin à charge de Billy Wilder (qui cependant en rajoute trop sur le final) ainsi que Le Procès Paradine de Hitchcock. ;)

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"L'affaire Dominici".

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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