-
Compteur de contenus
23361 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
179
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par Jiminy
-
La calendrier vient d'être dévoilé, ce sera donc Tottenham la première journée, à domicile ! La compétition reprendra le 2 août avec le Community Shield qui opposera Chelsea à Arsenal. Le 3e tour de la Cup, qui voit les équipes de Premier League entrer en lice, aura lieu le 9 janvier et la finale se jouera le 21 mai 2016 à Wembley. Sat Aug 8 Tottenham Hotspur H Sat Aug 15 Aston Villa A Sat Aug 22 Newcastle United H Sat Aug 29 Swansea City A Sat Sep 12 Liverpool H Sat Sep 19 Southampton A Sat Sep 26 Sunderland H Sat Oct 3 Arsenal A Sat Oct 17 Everton A Sat Oct 24 Manchester City H Sat Oct 31 Crystal Palace A Sat Nov 7 West Bromwich Albion H Sat Nov 21 Watford A Sat Nov 28 Leicester City A Sat Dec 5 West Ham United H Sat Dec 12 A.F.C. Bournemouth A Sat Dec 19 Norwich City H Sat Dec 26 Stoke City A Mon Dec 28 Chelsea H Sat Jan 2 Swansea City H Wed Jan 13 Newcastle United A Sat Jan 16 Liverpool A Sat Jan 23 Southampton H Tue Feb 2 Stoke City H Sat Feb 6 Chelsea A Sat Feb 13 Sunderland A Sat Feb 27 Arsenal H Tue Mar 1 Watford H Sat Mar 5 West Bromwich Albion A Sat Mar 12 Crystal Palace H Sat Mar 19 Manchester City A Sat Apr 2 Everton H Sat Apr 9 Tottenham Hotspur A Sat Apr 16 Aston Villa H Sat Apr 23 West Ham United A Sat Apr 30 Leicester City H Sat May 7 Norwich City A Sun May 15 A.F.C. Bournemouth H Attention, les dates peuvent encore changer.
-
Ben voilà, il n'y a plus qu'a ...
-
Actualités/évolutions du site et du forum
Jiminy a répondu à un(e) sujet de Ryan dans ACTUALITÉS DU SITE & DU FORUM
Le plus gros soucis de la version mobile (qui est top en vitesse de chargement) est qu'on peut pas avancer de plusieurs pages d'un coup, quand on consulte un sujet Ah oui, et que le fond est bleu, alors qu'il serait plus chouette en rouge -
Quelle passe décisive Ouais, sinon il a un peu grossi et le souffle court quand même, mais comme on dis, form is temporary class is permanent.
-
On fait un jeu, je t'y met, et je te repasse Devils quand tu auras trouvé
-
Oui, tu veux vérifier par toi même ?
-
Amos vendu ? Du coup si DDG part il faut aussi promouvoir un jeune à ce poste en A, en plus d'un recrutement ? Au moins que Valdes->Lindegaard +jeune ?
-
Tient, le Réal, c'est plus tout, et tout de suite ?
-
Pour Ronaldo, c'est pire on a pas négocié, ils sont arrivés ils ont posé la somme (connue 1 an avant déjà médiatiquement) et on a accepté. SAF était comme ça, il respectait les désirs (sauf abus) de ses joueurs, et tampis pour le prix de vente. Le Réal serait arrivé avec 65M (prix de Kaka) on aurait quand même accepté. SAF parti, j'attends vraiment que maintenant on défende notre steak.
-
Ouais c'est chaud... le mec il a un contrat de deux ans avec l'infirmerie des Vilains, et la il se retrouve sans mutuelle de groupe. Sale méthode ! Bent, un de plus bouffé par les blessures; pas sur que ça va s'arranger à Derby... en D2...
-
Evra a au moins pour lui d'éclaircir très vite sa position. On savait depuis l'année avant son départ (2 mercatos) qu'il partait pour raisons familiales et non sportives. Il voulait même partir l'année d'avant, et comme Ronaldo avant lui, est resté une année supplémentaire sur demande SAF. Donc oui, ça fait ne différence, ne serais que de communication. Et également, United est apogée de sa carrière sur presque 10 ans, pas un tremplin sur 3.
-
Un mec capable de planter Chelsea en 36 secondes par exemple ?
-
Formé à Leeds, 5 ans à City et une fin de saison à Liverpool, encore un qui doit nous porter dans son cœur
-
Jeune et pas de temps de jeu, mais bon on est pas au bon endroit pour en parler
-
Quelqu'un doutait que Di MAria allait rester ? Le mec est le plus cher transfert du club, et il partirait au bout d'un an ? Faut pas rêver, même le joueur pense rester (du moins un temps) ou alors faut être débile pour se faire tatouer ça, si tu penses partir 6 mois après:
-
Il jouait blessé au début de la saison ? Et la saison dernière ? J'ai pas du bien voir. car Sturridge, lui aussi je l'ai bien vu, entre deux blessures, justement.
-
Sans blessures, Sturridge il met Rooney/Rvp sur le banc. Enfin, si tu retires le capitanat à ces deux la .
-
A mon sens ce qu'il a surtout plus martyrisé, c'est les ramasseurs de balles. Mais bon il sort d'une bonne saison, champion, donc il parle.
-
On le remerciera jamais assez de nous avoir fait sortir des poules.
-
Avec le jeu d'un relégable espagnol, ouais on verra ce que ça donne !
-
Le même Mendes n'aurait pas agis de la même manière avec SAF...
-
Classe.
-
So foot sur la retraite de Rio: C'était Rio... Durant douze années, il fut l'un des plus fidèles fantassins de la garde rapprochée de Ferguson. Comme apothéose, l'été dernier, il avait décidé de retrouver ses racines, sa ville : Londres. Rio Ferdinand a décidé de quitter le football à 36 ans par le haut et restera, à jamais, celui devant qui Sir Alex s'est incliné. 10 Note 1 votes Rio Ferdinand ADVERTISEMENT L'annonce a fait l'effet d'un souffle sur l'histoire d'un début de siècle. Comme apprendre la perte d'un être cher que l'on aurait toujours connu, une figure tutélaire à laquelle on aimait repenser lorsque l'on évoquait une douce époque entre amis. Libéré de son contrat par les Queens Park Rangers, Rio Ferdinand a donc rangé les crampons. Pour de bon. Devant quelques milliers d'amoureux, l'éternel Rio a éclaboussé la lucarne illuminée du salon par ses sentiments qui, pour une fois, avaient pris le dessus sur le chemin parcouru durant vingt ans de ballon rond. « Quand j'étais un gamin de 12 ans, tapant le ballon dans mon quartier, je n'avais jamais rêvé d'être un joueur de West Ham, capitaine de Leeds, de remporter la Ligue des champions avec Manchester United, ou de retrouver mon premier manager, Harry Redknapp, à QPR. » Les phrases s'entrechoquent, le grand Ferdinand tire sa révérence. On prend la télécommande et on rembobine. « Alex, file et achète-le ! » 1997. Un appel sur le téléphone de Sir Alex Ferguson, dans les bureaux de Carrington, la base de vie du club de Manchester United. « Alex, j'ai un gamin en prêt de West Ham. File et achète-le ! » À l'autre bout du fil, Mel Machin, le manager de l'AFC Bournemouth, est stupéfait du talent qu'il a récupéré depuis quelques semaines en provenance de Londres. Un jeune esthète monté sur deux échasses qui évolue en défense. « Comment s'appelle-t-il ? - Rio Ferdinand. » Dans son autobiographie, Sir Alex Ferguson raconte l'épisode : « Je connaissais ce nom qui circulait beaucoup dans les sélections de jeunes en Angleterre. Mel était très proche d'Harry Redknapp, qui était à l'époque le coach de West Ham où Ferdinand avait été formé, donc j'étais sûr que son appréciation était fondée. On a été sur place l'observer de plus près et une fois de retour, Martin Edwards, l'un de nos scouts, a appelé le propriétaire de West Ham, Terry Brown. Sa réponse a été claire : "Donnez-nous un million de livres plus David Beckham." En d'autres termes, il n'était pas à vendre. » L'épisode est révélateur, et l'Angleterre sait déjà à ce moment précis qu'une bombe à retardement évolue sur les pelouses du Royaume. Le gamin se construit, apprend à maîtriser sa technique et un physique encombrant. Le 5 mai 1996, c'est déjà lui qu'on avait vu brasser l'air de fin de saison d'Upton Park à l'occasion de la réception de Sheffield Wednesday par West Ham (1-1). Rio Ferdinand avait alors effectué ses débuts aux côtés d'un autre rejeton du club, un certain Frank Lampard, fils de Frank Richard Lampard – également ancien joueur des Hammers – qui avait alors réussi l'exploit à l'époque de rapatrier Ferdinand à l'académie de West Ham. Un diamant à polir récupéré des Loups de Charlton, Chelsea, Milwall ou encore des Queens Park Rangers, déjà. Un travail d'orfèvre qui sera même nommé deux ans plus tard, à même époque, joueur de l'année du club à seulement 19 ans. Rio Ferdinand était né. Partouze, bordel et art de l'esquive West Ham sera aussi l'école de la vie, celle où on apprend à devenir un homme dans un milieu forcément privilégié. Lui, l'enfant de Peckham où ses copains d'enfance alternent entre la cabane et le chômage, vit. Tout simplement. Il vit à en perdre la raison. Il vit à filmer ses orgies chypriotes à l'été 2000 aux côtés de Lampard et de Kieron Dyer. Il vit à écumer les boîtes du centre de Londres où son mètre quatre-vingt-neuf deviendra rapidement une allure connue. Le jeune joueur plane en plein rêve, où la nuit devient au moins aussi intensive que l'entraînement du matin. « À West Ham, on fumait, on buvait, on pariait, on sortait sans arrêt. Dans le bus de l'équipe professionnelle, Julian Dicks et John Moncur s'asseyaient toujours à l'arrière avec leur stock de bières et ils nous ont initiés, Frank et moi, aux coutumes du "vrai footballeur". Je passais au moins quatre nuits par semaine dehors, et je m'enfilais des bouteilles de Jack Daniel's. J'étais complètement accroc. » Voilà ce que raconta Rio Ferdinand dans les colonnes du Sunday Times en 2006. Certains coéquipiers de l'académie ne suivront plus ensuite. Rio, lui, « la Rolls-Royce des défenseurs » dixit Redknapp, s'envolera. À Leeds dans un premier temps, où il deviendra en 2000 le défenseur le plus cher du monde avec un transfert estimé à 18 millions de livres. Les premiers exploits, les premières critiques et la Coupe du monde 2002 avant de rejoindre son graal : Manchester United, et un père spirituel en la personne de Sir Alex Ferguson, celui « sans qui, (s)a vie n'aurait pas été la même ». Là aussi par un transfert fracassant, là aussi par un chèque record de 30 millions de livres, soit le footballeur anglais le plus cher de l'histoire du football. Un homme qui brassait déjà des millions grâce à des partenariats bien ficelés qui feront ensuite fructifier sa richesse personnelle. PUBLICITÉ L'homme se forge alors un nom, le football apprend toujours la leçon. Peut-être la plus retentissante des dix dernières années. Celle d'un 23 septembre 2003, au complexe de Carrington, qualifiée par Ferguson de « plaie jamais refermée ». Ce jour-là, Rio Ferdinand esquive un contrôle antidopage où son nom avait été tiré au sort. Les règles sont claires : huit mois de suspension, 50 000 livres d'amende et des adieux prématurés à l'Euro 2004 portugais. On ne reverra pas Rio du 20 janvier au 2 septembre 2004. Il reviendra lors d'un match contre Liverpool aux côtés de Mika Silvestre. Il sera décisif et Ferguson se laissera aller au seul écart d'égo de sa carrière : « Je souhaite m'excuser du traitement qui a été fait à Rio. Cette victoire est celle d'un homme sur la justice. » La dernière parade Rio, c'était donc ça. Un mélange de douce folie et une carrière de footballeur immense qui l'amena à soulever la Ligue des champions 2008 et six Premier League pour les yeux d'un seul homme. « Fergie », celui qui lui donnera les clés pendant de nombreuses années, et qui lui offrira un doublon parfait en la personne de Vidić avec qui il forma durant trois années (2008-11) la meilleure paire centrale du monde. Douze ans où Old Trafford fut son jardin, son pré au sein duquel il marqua le but décisif du dernier titre de l'ère Ferguson en 2013, au milieu duquel il applaudira l'arbitre turc Cuneyt Cakir un soir de défaite contre le Real Madrid (1-2). C'est aussi là qu'il recevra son dernier hommage, il y a quelques semaines, bien que n'étant pas sur le terrain, pour saluer la mémoire de sa femme, Rebecca, décédée brutalement d'un cancer. Sa dernière parade, Ferdinand l'aura faite sous le maillot des Queens Park Rangers où son frère, Anton, et son cousin, Les, ont déjà évolué. Une saison en demi-teinte sur le plan sportif, mais en forme de règlement de comptes. Pour montrer, d'abord, qu'il n'était pas mort, que son dos en carton pouvait encore le faire avancer. Pour ensuite prendre la revanche d'un frère dont la carrière est marquée par les dérives racistes à son encontre, notamment sorties de la bouche de John Terry. Après dix-neuf ans royaux, où la sélection restera comme une gueule de bois marquée par 81 apparitions sous le maillot des Three Lions et une absence de trophée, Rio a donc rangé son costume. Et peut ressortir le Jack. Par Maxime Brigand
-
-
Monaco le garde pas, fin de contrat. Source: Radio Monaco