En novembre, les Bleus s'étaient inclinés 2-0 en Ukraine, comme les Red Devils à Athènes lors du match aller, avant de l'emporter 3-0 au retour à Paris.
"On a laissé passer la tempête, s'est souvenu le Français. Le lendemain du match, c'était très compliqué. On s'est soutenu les uns les autres et on a joué pour ceux qui nous aiment, nos familles. Comme l'entraîneur l'a dit, c'est important de marquer tôt".
"La saison a été compliquée pour tout le monde au club. On n'est pas trop habitués à perdre des matches mais tout le monde se bat pour le club, l'aime. Dans la vie, vous avez toujours une seconde chance. Je ne suis pas en train de vous dire que l'on va se qualifier, mais je promets que l'on va se battre et que les supporteurs seront fiers de nous après le match", a-t-il encore assuré.
Evra, dont le contrat s'arrête en juin, s'est ensuite montré moins éloquent au moment de parler de son avenir. "Ce n'est pas le bon moment pour parler de ça parce qu'aujourd'hui, le plus important, c'est celui du club, a-t-il coupé court. Quand j'enfile le maillot, je donne tout, sans penser à l'avenir".
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