En 1998, et 2006 le péssimisme était de mise, contrairement à 2002 où l'optimisme prédominait, donc on va dire qu'il faut être confiant.
Comme l'Italie, nous avons une préparation basée, sur la montée en puissance au fil des semaines, (contrairement à une équipe comme les Pays-Bas, qui généralement commence très fort, mais fini par manquer de souffle, à partir du second tour). C'est risqué, car nous prenons le risque de rester à quai, lors du premier tour, mais pour aller au bout, je pense que c'est cette préparation à privilégier.
Où, je suis plus inquiet, c'est la différence de niveau, entre les joueurs, certains par manque de compétition, comme Gallas et Henry (leur expérience devrait gommer tout ça), d'autres simplement par un manque de talent évident, comme Govou et Reveillere (une farce celui-là, vivement l'arrivée de Debuchy).
Pas de péril en la demeure, mais un ajustement tactique avec Toulalan, Diaby à la récup, un Gourcuff en électron libre, Malouda à gauche et Ribèry à droite (le gros point faible de l'équipe), s'impose.
Je garde tout de même confiance, car on est jamais aussi fort et imprévisible, que lorsque l'on ne nous attend pas.