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15/03/2007 17.25 Domenech : "Wenger me fatigue" Le sélectionneur de l'Equipe de France Raymond Domenech a réagi aux attaques d'Arsène Wenger qui tenait pour responsable la mauvaise gestion de Thierry Henry par les Bleus au sortir du Mondial en Allemagne. Le technicien des Gunners avait suggéré que la FFF avait obligé son attaquant à jouer trop de matches sans avoir correctement récupéré après la Coupe du Monde. Mais Domenech a rapidement répliqué à ces propos : "Je pense qu'il va falloir régler les problèmes de Mr Wenger qui commence sérieusement à me fatiguer. Quand il se plaint que Thierry Henry a joué avec les Bleus en aôut et qu'il se blesse en mars, je ne sais pas comment il peut il peut expliquer ça. Nous n'avons jamais pris le risque, nous, de faire un joueur blessé." a déclaré de manière cinglante le patron des tricolores. "Mr Wenger a critiqué Roger Lemerre quand il était sélectionneur, et il a critiqué Michel Platini le jour de son élection. Il y a un moment où ça suffit. Il devrait plutôt analyser le problème. Nous ne sommes pas à blâmer." a-t-il conclu. 15/03/2007 11.03 McClaren harangue ses troupes Le sélectionneur de l’Angleterre, Steven McClaren, espère que les cadres des Three Lions sortiront un gros match pour battre Israël. L’Angleterre est plutôt en ballottage défavorable et la prochaine rencontre à Tel Aviv contre Israël est décisive. Elle pourrait même être un point de non retour en cas de défaite de la part de la bande à Gerrard. McClaren supporte donc sur ses épaules une pression terrible et ainsi, il compte sur ses « big » joueurs pour tirer le meilleur de ce match éliminatoire : « C’est quand nous sommes dos au mur que les « gros » joueurs nous font avancer. Nous avons des mauvais résultats en qualificatif et la clé est de rester calme. Nos joueurs doivent gagner avec une bonne agressivité et une positive attitude. Nous l’avons déjà fait, et nous sommes assez forts pour le refaire encore ». goal.com
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14/03/2007 - Rugby -Tournoi Harinordoquy revient en douceur Après une long passage à vide, Imanol Harinordoquy effectue un retour discret mais marquant dans le XV de France. Titulaire en numéro 8 contre l'Ecosse samedi, le Biarrot espère signer un nouveau long bail avec les Bleus, et surtout disputer une deuxième Coupe du monde cet automne. «Imanol Harinordoquy, vous êtes de retour en tant que titulaire samedi. Quelle est votre première impression ? Je suis très heureux, et très content d'attaquer le match. J'avais déja très envie d'attaquer le match contre les Anglais. Maintenant je sais que ce sera difficile parce que je n'ai pas beaucoup joué depuis quatre matches, donc au niveau du rythme ça va être dur. En tout cas j'ai beaucoup d'envie. Que représente ce retour en Bleu, après plusieurs saisons en pointillés, notamment à cause des blessures ? Il représente déjà une marque de confiance qui me fait plaisir. Je vois qu'on compte sur moi, et j'ai envie de le rendre. La semaine dernière, je commençais un peu à tourner en rond, comme un tigre dans sa cage. Mais je ne vais pas me plaindre non plus, parce que si on m'avait dit il y a deux mois que je ferais tout le tournoi, j'aurais signé tout de suite. J'étais déjà très heureux de retrouver ce groupe des 22. Il y a quelque temps, je n'étais même pas dans les 40, donc je sais d'où je reviens. Je reviens sur la pointe des pieds, mais avec une grosse envie et un gros enthousiasme. Comment se reconcentre-t-on après la défaite à Twickenham et la perte du Grand Chelem ? C'est toujours difficile de recréer une dynamique. On était sur une dynamique de victoires, on avait en point de mire le Grand Chelem, qui est un truc formidable à vivre mais très dur à faire. Tout le monde avait fait ce qu'il fallait pour arriver, malheureusement il y a eu un coup d'arrêt en Angleterre, tout le monde a été touché, déçu, mais il faut évacuer tout ça parce qu'il y a encore le Tournoi à gagner. Et ce n'est pas rien. Il faut se dire en tout cas qu'il y encore du travail, c'est sûr. Il y a toujours du bien dans quelque chose de mal, surtout dans le sport. Le Grand Chelem aurait été bien, mais du coup on va jouer un peu avec la pétoche, et ça ne va pas nous faire de mal. Que pensez-vous de l'Ecosse, votre adversaire samedi ? Cela va être un match très difficile, parce que l'équipe d'Ecosse aurait pu gagner tous ses matches. Contre l'Italie, elle prend 21 points en 5 minutes alors qu'elle fait tout le jeu et qu'elle doit gagner, contre les Irlandais et les Anglais, elle peut gagner aussi. C'est une équipe qui a beaucoup évolué, notamment défensivement, et c'est difficile d'imposer son jeu offensif contre eux parce qu'ils pressent beaucoup et sont très agressifs. Ils tiennent bien le ballon aussi, amènent l'adversaire à la faute, ils sont bien organisés et ils ont des joueurs dangereux comme Paterson, Lamont, Parks ou Taylor...Bref, ça ne sera pas simple, à nous de bien nous préparer. Vous êtes de retour en numéro 8, après avoir joué troisième ligne aile contre l'Irlande ? Êtes-vous content de retrouver "votre poste" ? Je ne sais plus si c'est mon poste à vrai dire, j'ai joué un peu 7 et 8 ces dernières années, et ça ne me dérange pas de jouer à un poste ou un autre. Sur ce Tournoi, je suis rentré à chaque fois en 8, sauf en Irlande. Par apport au jeu que l'on pratique, avec une troisième ligne qui suit le ballon, une fois que le jeu est lancé, 7 ou 8 il n'y pas une grosse différence. Il faut toujours être appliqué autour de la mêlée, en touche, en conquête... Après je ne m'attendais pas à ce qu'ils me mettent en 8, puisque Vermeulen était dans le groupe et je pensais qu'il jouerait. Je me voyais donc plutôt numéro 7, enfin j'espérais être numéro 7! On parle beaucoup de votre polyvalence en troisième ligne justement. Pensez-vous qu'elle vous sert ? Il ne faut pas qu'elle me desserve surtout. C'est un atout mais ça peut être un handicap. En fait c'est un atout quand tu es titulaire, mais un handicap quant tu es sur le banc. Aujourd'hui je me sens bien sur les deux postes. J'ai toujours plus ou moins couvert les deux postes. Ce qui compte c'est d'y être. Quel premier bilan tirez-vous de ces sept semaines à Marcoussis ? Pour ma part je suis content parce que j'ai joué, mais je pense que cela a été difficile pour ceux qui n'ont pas joué un match. Il y a toujours des points positifs et des points négatifs. Au début on est partis plus sur une politique de turnover, mais il y a eu beaucoup de blessés, puis on a commencé à gagner donc c'est plus délicat de faire des changements. Donc c'est peut-être plus dur pour eux, même s'ils ont fait une bonne préparation physique. Mais globalement c'est une bonne chose parce que ça nous permet de travailler ensemble, et on a peu d'occasions de le faire. La Coupe du monde en France approche. Est-elle déjà dans toutes les têtes ? C'est sûr que tout le monde y pense, et j'y pense. J'ai une grosse envie de la faire. Je pense plus à la faire que le contraire pour l'instant. Je vais dans ce sens-là, sans fausse modestie. J'ai de l'enthousiasme, envie de jouer. Je reviens sur la pointe des pieds après une période compliquée, avec pas mal de blessures. On voit bien pour l'instant que tout est possible, tout le monde a les cartes en mains pour jouer cette compétition. Je pense que tous les fauteuils sont éjectables, et tout le monde en a conscience. Chacun essaie de donner le meilleur pour prétendre jouer, mais même si beaucoup de joueurs méritent de la faire, il n'y aura pas beaucoup de places. Moi j'ai eu la chance d'en jouer une, et c'est une expérience formidable, tu vis en équipe et humainement c'est fabuleux. Alors en France ça va être énorme. Il reste quelques mois encore pour bosser, pour progresser.» lequipe.fr
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14/03/2007 Kolobnev s'impose Le Russe Alexandre Kolobnev (CSC) s'est imposé en solitaire dans la troisième étape de Paris-Nice, mercredi à Maurs. Le champion de Russie 2004 a devancé de 12" le peloton emmené par Tom Boonen (Quick Step). Troisième de l'étape, l'Italien Daniele Bennati (Lampre) s'est rapproché du leader du général, son compatriote Franco Pellizotti (Liquigas) arrivé au sein du peloton, qui ne dispose plus que de 2" d'avance. Kolobnev a été l'un des principaux animateurs de cette étape courue sur 215,5 km, soit la plus longue de l'épreuve, puisqu'il a dirigé une échappée dès le deuxième kilomètre, en compagnie de l'Italien Fabio Baldato, de l'Allemand Heinrich Haussler et du Français Nicolas Vogondy. Les quatre hommes ont compté jusqu'à 10'20" d'avance avant que l'écart ne se réduise à l'initiative des coéquipiers de Pellizzotti. Alexandre Kolobnev est passé à l'offensive à 10km de l'arrivée et a bien résisté au retour du peloton dans la descente finale. Le premier Français, Romain Feillu s'est classé 10e. lequipe.fr
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14/03/2007 13.11 L’agent de Ronaldinho était à Milan ! Le frère et agent de Ronaldinho, Roberto de Assis, s’est rendu à Milan le week-end dernier. Il a notamment rencontré Berlusconi. Le frère de Ronaldinho a assisté au grand derby milanais en présence des hommes forts des Rossoneri (Berlusconi et Galliani). Après la rencontre, il a dîné avec les cadres milanais et ils ont abordé ensemble la question du contrat de Ronaldinho. Roberto de Assis s’est exprimé au sujet du Milan AC : " Pour notre part, nous avons un grand respect pour le Milan AC. Il n’y a aucun problème avec le FC Barcelone…mais ici, il y a une famille brésilienne qui l’attend ". goal.com
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14/03/2007 9.11 L’agresseur de Ramos arrêté L’agresseur de Juande Ramos est un abonné du Betis Séville âgé de 30 ans. Il a été reconnu comme l’auteur du jet de la bouteille en plastique, remplie de liquide, qui a percuté le technicien sévillan en Coupe du Roi. Pour rappel, en quart de finale retour de la Copa del Rey, le FC Séville a ouvert la marque en seconde période par l'intermédiaire de Kanouté. Alors que Juande Ramos exultait, il a reçu un objet au niveau de la tête qui l’a mis ko. Le Betis Séville a indiqué que l’agresseur est aux mains de la police : « Le club confirme que la personne détenue par la police est un abonné et son abonnement n’est bien évidemment plus valide. Nous prendrons aussi des mesures contre cette personne car son geste a nui à l’image du club ». goal.com
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14/03/2007 9.26 C3 : Celta affaibli Le Celta Vigo devra affronter le Werder Brême en match retour des huitièmes de finale de la Coupe de l’Uefa sans le défenseur Contreras et le milieu De Ridder. Ces deux joueurs devraient rester loin des terrains pour une période de trois semaines. Contreras souffre d’une déchirure musculaire à sa jambe gauche alors que De Ridder s’est blessé au genou au match aller, à Vigo. L’absence de ces deux joueurs est un coup dur pour le technicien du Celta, Fernando Vazquez. Ce dernier comptait effectivement sur son Chilien et son Hollandais pour rattraper le retard concédé à domicile la semaine dernière (défaite un à zéro). goal.com
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14/03/2007 8.57 Une Norvège rajeunie ! La Norvège donnera à plusieurs jeunes joueurs l’occasion de mettre leur talent au service de leur équipe nationale. Les Norvégiens jouerons deux matchs importants contre La Bosnie et la Turquie. Le sélectionneur norvégien, Aage Hareide, a parler des jeunes joueurs qu’il a appelé pour ces tests importants : « C’est très intéressant de voir que nous avons des jeunes joueurs à disposition, ils ont plein de talent et ils le montrent à l’entraînement ». Il a en effet convoqué des novices en ce domaine ; Lillestroem, Simen Brenne, Daniel Fredheim Holm de Vaalarenga et Almenning, Jarstein d’Odd Grenland. A noter que la Norvège devra se passer des services de son attaquant vedette de Manchester United, Ole Gunnar Solskjaer. Il est toujours blessé au genou et donc, Carew sera le seul grand avant-centre expérimenté de cette sélection. La liste d’Hareide : Gardiens de but : Rune Almenning Jarstein (Odd Grenland), Thomas Myhre (Charlton Athletic), Haakon Opdal (Brann); Défenseurs : Erik Hagen (Zenit St. Petersburg), Brede Hangeland (FC Copenhagen), Marius Johnsen (Koln), Frode Kippe (Lillestroem), Anders Rambekk (Lillestroem), Jarl-Andre Storbaek (Vaalerenga), John Arne Riise (Liverpool); Milieux de terrain : Martin Andresen (Brann), Simen Brenne (Lillestroem), Christian Grindheim (Vaalerenga), Kistofer Haestad (Wigan), Tommy Svindal Larsen (Odd Grenland), Morten Gamst Pedersen (Blackburn), Fredrik Stroemstad (Start); Attaquants : John Carew (Aston Villa), Thorstein Helstad (Brann), Daniel Fredheim Holm (Vaalerenga), Steffen Iversen (Rosenborg), Frode Johnsen (Nagoya Grampus Eight), Ole Martin Aarst (Tromsoe) 14/03/2007 9.48 Bilic appelle Rukavina Le sélectionneur de la Croatie a convoqué le jeune attaquant de l’Hajduk Split parmi les 23 convoqués pour affronter la Macédoine le 24 mars prochain à Zagreb. Rukavina honorera donc sa toute première sélection mais toutefois, Bilic devra encore une fois se passer d’Ivan Klasnic du Werder Brême, blessé. La Croatie est aux commandes de son Groupe E avec 10 points acquis en l’espace de quatre rencontres. Le président du football croate, Vlatko Markovic, a signalé que cette confrontation sera très difficile pour la Croatie : « Les matchs les plus délicats sont ceux où vous êtes favoris. La Macédoine est une équipe rapide et disciplinée qui joue toujours très bien à l’extérieur, donc ce sera une rencontre décisive ». La liste de Bilic : Gardiens de but : Stipe Pletikosa (Shakhtar Donetsk), Vedran Runje (Besiktas), Mario Galinovic (Panathinaikos); Défenseurs : Vedran Corluka (Dinamo Zagreb), Dario Simic (Milan AC), Josip Simunic (Hertha Berlin), Hrvoje Vejic (Tomsk), Boris Zivkovic (Hajduk Split), Marko Babic (Bayer Leverkusen); Milieux de terrain : Niko Kovac (Salzbourg), Jerko Leko (Monaco), Darijo Srna (Shakhtar Donetsk), Milan Rapaic (Standard Liège), Luka Modric (Dinamo Zagreb), Niko Kranjcar (Portsmouth), Jurica Vranjes (Werder Brême), Danijel Pranjic (Heerenveen); Attaquants : Mladen Petric (FC Bâle), Eduardo Da Silva (Dinamo Zagreb), Bosko Balaban (Bruges), Ivica Olic (CSKA Moscou), Igor Budan (Parme), Ante Rukavina (Hajduk Split) 14/03/2007 8.39 Blokhin se passe de Milevsky Le sélectionneur de l’Ukraine a fait connaître sa liste de convoqués pour les prochains matches de l’Ukraine en éliminatoire. Blokhin a en effet sélectionné six joueurs du Dynamo Kiev toutefois il a décidé de se passer des services de Artem Milevsky (22 ans). Il a également convoqué cinq joueurs du Shakhtar et du Dnipro. L’Ukraine est actuellement seconde du groupe B, qui inclut également la France, l’Italie et l’Ecosse. La bande à Shevchenko ira aux îles Féroé le 24 mars prochain pour tenter d’empocher trois nouveaux points puis elle accueillera la Lituanie dix jours plus tard. La Liste complète de Blokhin : Gardiens de But : Olexander Shovkovsky (Dynamo Kiev), Bohdan Shust (Shakhtar Donetsk), Andriy Pyatov (Vorskla Poltava); Défenseurs : Andriy Nesmachniy (Dynamo Kiev), Dmytro Chigirinsky (Shakhtar Donetsk), Olexander Kucher (Shakhtar Donetsk), Andriy Rusol (Dnipro Dnipropetrovsk), Volodymyr Yezersky (Dnipro Dnipropetrovsk), Oleg Shelayev (Dnipro Dnipropetrovsk), Olexander Romanchuk (Dnipro Dnipropetrovsk), Vyacheslav Svidersky (Chornomorets Odesa); Milieux de terrain : Oleg Gusev (Dynamo Kiev), Ruslan Rotan (Dynamo Kiev), Taras Mikhalik (Dynamo Kiev), Serhiy Rebrov (Dynamo Kiev), Maxim Kalinichenko (Spartak Moscow), Yevhen Levchenko (Groningen), Anatoly Tymoshchuk (Zenit St Petersburg), Serhiy Nazarenko (Dnipro Dnipropetrovsk); Attaquants : Oleksiy Belik (Shakhtar Donetsk), Andriy Vorobei (Shakhtar Donetsk), Andriy Shevchenko (Chelsea), Andriy Voronin (Bayer Leverkusen) goal.com
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14/03/2007 16.00 Sept mois de suspension pour Navarro L’Union Européenne de Football a décidé d’infliger une suspension de sept mois au joueur du FC Valence, David Navarro, principal protagoniste du rixe ayant opposé des joueurs de sa formation à celle de l’Inter Milan, la semaine dernière en quarts de finale retour de la Ligue des Champions. Navarro va donc être privé de compétition pendant six mois. Outre la Coupe d’Europe, il ne pourra pas non plus participer aux rencontres de la Liga espagnole. C’est ce qu’a décidé le Comité disciplinaire des instances suprêmes du foot européen. Navarro n’est pas le seul joueur à avoir été sanctionné. Cinq autres joueurs l’ont été également, mais d’une manière moins sévère. Les Intéristes Maicon et Burdisso ont écopé de six matches (de Coupe d’Europe) de suspension, le défenseur de Valence, Carlos Marchena, a écopé, lui, de quatre, tandis que Cordoba et Cruz respectivement de trois et deux rencontres. Pour rappel, Navarro, remplaçant lors de la rencontre en question, s’est empressé à l’issue de ce match d’entrer sur la pelouse pour semer le désordre, cassant notamment le nez de Burdisso. S’en est suivi ensuite une bagarre générale, dont les principaux acteurs ont donc été punis. Ces différentes sanctions tombent très mal pour le FC Valence. Toujours en lice en Ligue des Champions, le club sera amoindri, notamment en raison de l’absence de Marchena, lors de son prochain match contre Chelsea. goal.com
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13/03/2007 17.15 Domenech déplore les blessés Le sélectionneur de l'équipe de France Raymond Domenech a regretté les multiples blessures auxquelles il doit faire face à l'approche du match qualificatif en Lituanie pour l'Euro 2008. Avec 9 points en matches, les tricolores ne devancent l'Ecosse qu'à la différence de but en tête du Groupe B, devant l'Italie à 2 unités. La liste des Bleus sélectionnés sera dévoilée vendredi pour la rencontre capitale le 24 mars en Lituanie avec à la clé, l'absence d'une multitude de joueurs importants pour cette rencontre capitale. "Thierry Henry est définitivement out. Louis Saha, Mickael Silvestre et Franck Ribery seront indisponibles. Patrick Vieira est incertain à 95%. Ca fait beaucoup." a déploré Domenech. Patrice Evra et Julien Rodriguez, qui avaient été sélectionnés contre l'Argentine, sont aussi blessés mais le sélectionneur français pourra compter sur le retour de William Gallas et Lilian Thuram en défense : "J'ai besoin d'avoir 20 joueurs disponibles à tout moment. Si l'on veut se qualifier, on se doit d'utiliser des éléments de classe internationale comme William et Lilian" a-t-il conclu. goal.com
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LENS PREND DE L'AVANCE Solide deuxième en L1, bien placé en Coupe de l'UEFA avant le huitième de finale retour à Leverkusen (2-1 à l'aller), Lens est lancé dans sa meilleure saison depuis quasiment dix ans. Il s'appuye pour cela sur son vécu. Jamais aussi bons depuis 1998 ? En 2004, Gervais Martel avait annoncé que le RC Lens devait monter en puissance pour terminer systématiquement dans les cinq premiers en L1 à partir de 2009 et disputer la Ligue des Champions trois fois sur cinq. Quatrièmes la saison dernière, les Sang et Or sont en mesure de devancer l'appel. Ils sont aujourd'hui en position de force pour finir deuxièmes, se qualifier directement pour la C1, et boucler leur meilleure saison depuis l'unique titre de champion en 1998. Meilleure que 2001-2002, quand ils avaient fait la course en tête toute la saison avant «d'abandonner» le titre à Lyon un triste soir de mai ? Très probablement. Car à l'époque, Pédron, Blanchard, Moreira, Diouf et Warmuz ne courraient pas deux lièvres à la fois comme cette année. Meilleure aussi, sans doute, que 1999-2000 et la place de demi-finaliste de la Coupe de l'UEFA face à Arsenal (1-0, 1-2), ou 2002-2003, année d'une campagne en Ligue des Champions rapidement avortée. La qualité des adversaires du groupe G (AC Milan, La Corogne et Bayern de Munich) avait alors rendu la mission impossible. La fin des désillusions Phénomène nouveau : Lens sourit en même temps sur les pelouses de France et d'Europe. L'explication est double. D'une part, Francis Gillot dispose d'un groupe qui a appris à se connaître depuis un an et demi et dont l'ossature (Itandje, Hilton, Coulibaly, Se. Keita, Demont, Carrière, Dindane, Cousin, Barul) n'est plus mouvante - contrairement à l'après 2001-2002 et à la "saignée" constituée par les départs de Wallemme, Ismaël et Diouf. De l'autre, ils ont emmagasiné un sacré vécu au niveau continental depuis leur succès en Intertoto à l'été 2005. Si le Racing dispute régulièrement la C1 ou l'ex-C3 depuis quelques saisons, il semble n'avoir pris la mesure des exigences européennes que récemment, loin des désillusions face à Porto (2002), Gaziantep (2003) et l'Udinese (2006). D'une certaine manière, ouvrir la marque ou marquer face à Lens ne constitue plus un gage de victoire. Monterrubio : «le groupe est serein» «Bien sûr qu'on a progressé mentalement en Coupe d'Europe comme en Championnat», acquiesce Eric Carrière (voir ci-contre). Quelle peuvent être alors les limites de ce Racing plein de ressources ? Peut-être celles engendrées par l'enchaînement des rencontres, tout simplement. «Passer d'un style de jeu à l'autre n'est pas une difficulté, avance Olivier Monterrubio. Le problème réside plus dans le fait de ne pas avoir le temps de préparer les matchs. On joue tous les trois jours. On n'a pas trop le temps de bosser. Mais le groupe est serein et il aime vivre ensemble. A nous de faire un gros match à la BayArena mercredi. On peut marquer à tout moment. Leverkusen est une équipe solide mais on a vu qu'on pouvait la contrer.» Au petit jeu de la récupération, c'est finalement la chance ou l'état de fraîcheur physique, tout bêtement, qui peuvent faire la différence. lequipe.fr
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RENAULT, CHAMPION ET OUTSIDER Sans Fernando Alonso, parti chez McLaren, et sans Michelin, l'écurie française s'attaque à une tâche ardue : conserver les titres de champion du monde pilotes et constructeurs. Giancarlo Fisichella est sous pression. 1996 : un souvenir douloureux Renault a beau accumuler les trophées, il reste toujours, plus ou moins, un bel outsider. Au maximum un favori ex aequo comme en 2006, où la conservation - finalement réussie - des titres pilotes et constructeurs n'allait surtout pas de soi face au réveil attendu de Ferrari et "Schumi". Annoncé de longue date, le départ du double champion sortant, Fernando Alonso, associé à l'arrêt du fidèle partenaire Michelin (voir ci-contre), rappelle cette saison le douloureux précédent de 1996. Cette année-là, Benetton, ancêtre de l'équipe Renault actuelle, avait dû compenser la perte de Michael Schumacher, qui venait, à l'instar de l'Espagnol, de remporter ses deux premiers titres consécutivement. Or ni Jean Alesi, ni Gerhard Berger, n'étaient alors parvenus à remporter le moindre Grand Prix. Les voitures turquoises marquèrent 68 points, un tout petit plus de deux fois moins que la saison précédente. Giancarlo Fisichella et Heikki Kovalainen ont pour mission de ne pas reproduire une telle chute. Un défi de taille. 2007 : Briatore croit en Fisichella A la fin des essais hivernaux, à Bahreïn, Kovalainen a donné son pronostic, sans trop se mouiller : «Les Ferrari se montrent au dessus du lot. Pour moi, il est clair que Renault, McLaren et BMW se tiendront dans un mouchoir.» Si Ferrari est bien le favori, McLaren est aussi «un ton au dessus» selon Fisichella. Les deux pilotes auraient tort, il est vrai, de claironner car, sur le papier, leur duo est considéré comme le maillon faible de l'écurie. Cela concerne en particulier l'Italien, propulsé très théoriquement premier pilote après avoir marqué 137 points de moins qu'Alonso depuis deux saisons, mais qui risque de ressentir, comme son jeune équipier, la pression exercée par Nelson Piquet Jr, le troisième pilote. «Fisichella et Kovalainen sont assez bons pour gagner des courses, répond Flavio Briatore, le patron de l'écurie. L'an dernier, il y avait deux pilotes au dessus du lot et derrière, un petit groupe du même niveau. Dont Fisico. C'est sûr, avec Alonso, nous avons perdu quelqu'un mais les ingénieurs ont choisi de rester.» Le poids du départ de Michelin Bob Bell (responsable châssis) et Rob White (moteur) sont donc toujours là, à l'instar de Pat Symonds, promu coordinateur, mais il faut garder à l'esprit que les géniaux Ross Brawn et Rory Byrne avaient patienté un an avant de rejoindre Schumacher chez Ferrari. C'est d'ailleurs le même Bell qui refroidit l'ambiance en rappelant le poids des reponsabilités de Fisichella : «S'il n'y parvient pas cette année, je doute qu'il y parvienne jamais : cette année, pour lui, ça passe ou ça casse». «Ces deux dernières années, j'ai plus travaillé pour l'équipe que pour moi même», rectifie "Fisico", qui ne pourra plus compter cette saison sur Michelin pour corriger, voire renverser, l'écart de niveau entre Renault et Ferrari. Pour minorer ce problème, Flavio Briatore a d'ailleurs fait venir de Toyota Ricardo Zonta, bon connaisseur des gommes japonaises. Encore un concurrent pour l'talien. lequipe.fr
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13/03/2007 - Tennis - Le programme de mardi STADIUM 1 (à partir de 11h00, heure locale, 19h00, heure française) Sharapova (RUS/1) - Zvonareva (RUS/15) (à partir de 13h00, heure locale, 21h00, heure française) Ljubicic (CRO/8) - Nalbandian (ARG/10) Ferrero (ESP/22) - Nadal (ESP/2) Hingis (SUI/3) - Hantuchova (SLQ) (à partir de 19h00, heure locale, 03h00, heure française) Sugiyama (JAP/16) - Kuznetsova (RUS/2) (à partir de 21h00, heure locale, 05h00, heure française) Gasquet (FRA/15) - Roddick (USA/3) STADIUM 2 (à partir de 11h00, heure locale, 19h00, heure française) Henman/Murray (GBR) - Haggard (AFS)/Wassen (PBS) Li (CHN) - Jankovic (SER) Hanley (AUS)/Ullyett (ZIM) - Allegro/Federer (SUI) Chela (ARG) - Russell (USA) Golovin (FRA) - Petrova (RUS) STADIUM 3 (à partir de 10h00, heure locale, 18h00, heure française) A. Bondarenko/K. Bondarenko (UKR) - Hradecka/Voracova (RTC) Clément/Llodra (FRA) - Lindstedt (SUE)/Nieminen (FIN) Peer (ISR) - Chakvetadze (RUS) Vaidisova (RTC) - Bartoli (FRA) Bammer (AUT) - Ivanovic (SER) Ruano Pascual (ESP)/Suarez (ARG) - Safina (RUS)/Vaidisova (RTC) COURT 4 (à partir de 12h30, heure locale, 20h30, heure française) Knowle (BAH)/Melzer (AUT) - Butorac (USA)/J. Murray (GBR) Garbin (ITA)/Krajicek (PBS) - Dechy (FRA)/Zvonareva (RUS) Almagro/Verdasco (ESP) - Berdych (RTC)/Ljubicic (CRO)
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13/03/2007 - Natation - Retraite Inge de Bruijn se retire Inge de Bruijn a annoncé lundi qu'elle mettait un terme à sa carrière. La nageuse néerlandaise, âgée de 33 ans, estime «qu'elle a atteint son maximum et que son corps ne peut plus faire de sacrifices.» Elle restera comme l'une des nageuses les plus titrées de la natation. Seule la Hongroise Krisztina Egerszegi la devance au palmarès olympique. De Bruijn a notamment remporté quatre titres olympiques: 50 et 100 m nage libre et 100 m papillon aux JO de Sydney (2000) et d'Athènes (2004). «La compétition va me manquer terriblement, a t-elle regretté mais je ne peux plus remporter des médailles d'or aussi facilement que par le passé.» Elle a également raflé cinq titres mondiaux. Ses deux dernières médailles d'or remontent aux Championnats du monde de Barcelone en 2003 où elle s'était imposée sur le 50 m papillon et 50 m nage libre. En outre, elle détient toujours le record du monde du 100 m papillon (56''61). Ses trois médailles d'or olympiques remportées à Sydney à l'âge de 27 ans, assorties de trois records du monde, lui avaient valu beaucoup à l'époque de critiques et de suspicions de dopage. lequipe.fr
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13/03/2007 - Rugby - Tournoi Elissalde de retour Jean-Baptiste Elissalde, blessé depuis le début du tournoi, fait son retour dans le groupe des 23 joueurs de l'équipe de France, dévoilé mardi, pour affronter l'Ecosse, samedi au Stade de France lors de la cinquième et dernière journée du Tournoi. Le Toulousain remplace ainsi le Biarrot Dimitri Yachvili, méconnaissable contre l'Angleterre dimanche dernier, au poste de demi de mêlée. Autre retour dans le groupe, celui du Clermontois Elvis Vermeulen en lieu et place du troisième ligne centre, Sébastien Chabal. Vermeulen a été aligné seulement contre le pays de Galles (32-21) durant ce Tournoi. Enfin, Damien Traille, qui lui aussi n'a pas encore joué dans le Tournoi, revient également. Il est rappelé en raison de la blessure de David Skrela, qui souffre au péroné droit. Notons que si ce dernier renonce après un point effectué jeudi, c'est Lionel Beauxis Beauxis qui sera titularisé à l'ouverture. La composition de l'équipe qui débutera la rencontre sera dévoilée mercredi. Avants (12): Ibanez (Wasps/ANG, cap.), Bruno (Sale/ANG), Milloud (Bourgoin), Mas (Perpignan), De Villiers (Stade Français), Nallet (Castres), Papé (Castres), Thion (Biarritz), Betsen (Biarritz), Bonnaire (Bourgoin), Harinordoquy (Biarritz), Vermeulen (Clermont) Arrières (11): Mignoni (Clermont), Elissalde (Stade Toulousain), Skrela (Stade Français), Beauxis (Stade Français), Jauzion (Stade Toulousain), Marty (Perpignan), Traille (Biarritz), Heymans (Stade Toulousain), Dominici (Stade Français), Clerc (Stade Toulousain), Poitrenaud (Stade Toulousain) lequipe.fr
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13/03/2007 13.14 Doll rebondit à Dortmund Le club de Borussia Dortmund a fait appel aux services de Thomas Doll en tant qu’entraîneur jusqu’en 2008. Après la démission de Roeber hier, le club de la Ruhr s’est retrouvé sans coach pour la seconde fois de la saison. Les dirigeants du club ont ainsi jeté leur dévolu sur Thomas Doll, l’ancien entraîneur de Hambourg, pour driver les champions d’Europe 1997. Ce dernier s’est d’ailleurs dit très content de la tâche qui lui a été confiée : « Je suis très content de ma nouvelle mission » a-t-il déclaré, certifiant : « Borussia Dortmund est assez forte pour rester en première division ». Le règne de Roeber à la tête de Dortmund n’aura duré que l’espace de deux mois. Son bilan est des plus catastrophique avec six défaites concédées en sept matches. Le dernier revers, subi samedi contre Bochum, et qui voit Frei et les siens se retrouver à la 13e place de la Bundesliga, quatre points seulement devant le premier reléguable, aura été celle de trop. Âgé de 40 ans, Doll s’est illustré l’année dernière en réussissant à qualifier Hambourg en Ligue des Champions. Cette saison, il n’a pu rééditer le même parcours et a été limogé en début février. goal.com
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13/03/2007 11.05 Calderon : « Le Real peut gagner la Liga » Le président de la Casa Blanca espère que son équipe remportera la Liga cette saison. Selon lui, si le Real Madrid remporte toutes ses rencontres à domicile, il pourra décrocher le titre de champion d’Espagne. Les Merengue ne sont qu’à cinq unités derrière le FC Barcelone et le FC Séville et donc, tout reste possible mathématiquement. Bien que ces cinq points soient un handicap, Calderon espère que les sept prochaines rencontres à domicile les aideront à remporter ce championnat. En effet, sur les douze derniers matchs, le Real n’ira qu’à cinq reprises loin de ses bases. Calderon s’est exprimé au sujet de la fin de saison : « La Ligue est étrangement ouverte. C’est un fait, je ne veux pas être trop confiant mais toutes les équipes peuvent perdre des points…Je pense que nous pouvons gagner la Liga si nous remportons les 21 points qu’il reste à prendre à domicile ». Il a par ailleurs conclu son intervention sur le Clasico et sur Capello : « Nous ne perdrons plus de points si nous jouons toujours comme ça. L’attitude des joueurs contre le Barça a été exceptionnelle. Capello n’a pas un boulot facile et certaines circonstances ne l’ont pas aidé dans son travail, et cela nous a fait perdre des rencontres que nous devions gagner ». goal.com
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13/03/2007 10.42 Chelsea furieux contre Mourinho ! La direction des Londoniens a exprimé son mécontentement envers son tacticien lusitanien après qu’il ait dévoilé à la presse tout l’intérêt qu’il porte pour le Real Madrid. Selon The Sun, Mourinho va sans doute se faire remonter les bretelles par son président Abramovich. Le Portugais s’est rendu en Espagne, à Pampelune, pour superviser son futur adversaire en Ligue des Champions, Valence. A cette occasion, il aurait à nouveau fait part de son attirance pour la Casa Blanca. Un dirigeant du club de Chelsea a tenu à montrer du doigt le comportement de Mourinho : « A chaque fois, il dit qu’il aime Chelsea et la minute suivante, quand il est interrogé sur le Real Madrid, il en fait autant avec ce club ». Hier, Mourinho a clarifié la situation en expliquant qu’il respectera son contrat avec les Blues mais cependant, il a aussi certifié, à l’instar de tous les entraîneurs, qu’il aimerait prendre un jour la tête du grand Real Madrid. En attendant, Mourinho et Abramovich devraient se rencontrer dans les plus brefs délais. Il semblerait que la relation des deux hommes forts du club ne cesse de s’enliser depuis quelques mois. Affaire à suivre ! goal.com
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13/03/2007 13.31 Arsenal veut conserver Baptista Le manager d’Arsenal, Arsène Wenger, est déterminé à enrôler le brésilien Julio Baptista, actuellement prêté aux Gunners par le Real Madrid, d’une manière permanente. Baptista a rallié Londres l’été dans le cadre d’un prêt d’un an, qui incluait également le départ de Reyes dans la direction opposée. Bien que rarement aligné en Premiership, le milieu de terrain sud-américain pourrait se voir offrir l’opportunité de rester du côté de l’Emirates Stadium plus longtemps que prévu. Le quotidien anglais The Mirror a fait savoir que les Gunners sont actuellement en pourparlers avec les responsables du club madrilène dans l’espoir d’obtenir définitivement les services de l’ancien sévillan. Néanmoins, le transfert en question pourrait ne pas se faire en raison de la réticence de Real à engager José Antonio Reyes. Ce dernier serait plus proche d’un humiliant retour en Angleterre. Avec la blessure récente de Thierry Henry, il est à prévoir que Baptista puisse dispose d’un temps de jeu plus important en cette fin de saison. goal.com
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Actualités des clubs européens
Sanji a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
13/03/2007 8.59 Mancini : "Ibrahimovic est phénoménal" L'entraîneur est revenu sur le derby contre le Milan AC de dimanche, remporté par les nerazzurri. "C'était un match très important et décisif car il arrivait après celui de Valence. On savait que ça serait difficile et que notre élimination en Ligue des Champions pouvait peser, mais mes joueurs ont bien réagi tout de suite. On n'a même pas perdu contre Valence sur l'ensemble des 2 rencontres, il y avait une équipe qui devait être éliminée à la sortie, et ça n'était sûrement pas nous qui le méritions le plus." a déclaré le technicien de l'Inter. Interrogé sur la saison exceptionnelle de son suédois , Mancini n'a pas tari d'éloge : "Ibrahimovic? C'est un vrai phénomène. Et comme je l'ai déjà dit, il a un potentiel énorme à développer." goal.com -
tu débarque toi, ça serait une demie ça. les finales possibles sont MU-LIverpoule, MU-Chelski, MU-PSV, MU-Valence je te signale que Bayern a battue le Real donc ils sont mieux que le PSV quand meme
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tu devrais changer ton pseudo et mettre ca ce serait plus vrai... mettre quoi?
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Actualités des clubs Français
Sanji a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
AUXERRE DANS L'ENTRE-DEUX Pour son entraîneur Jean Fernandez, Auxerre a franchi «un grand pas» vers le maintien en s'imposant dimanche au Parc contre le PSG (1-0). Après une saison dans l'anonymat, l'AJA aspire à parachever sa période de transition. Sans s'interdire de rêver à un beau final qui pourrait l'envoyer en Coupe d'Europe. Une vieille habitude. Deux défaites en treize matches Juste la moyenne. Dixième depuis dimanche et sa victoire au Parc des princes aux dépens du Paris-SG (1-0), Auxerre apparaît dans la première moitié du classement pour la troisième fois seulement de la saison. Une discrétion inhabituelle pour un club abonné aux places d'honneur et régulièrement invité aux joutes européennes. Pendant l'ère Guy Roux, la (fausse) modestie du coach allait de pair avec des résultats inversemment proportionnels à la taille de sa bonne ville - 40 000 habitants. Pour sa première saison sur les bords de l'Yonne, Jean Fernandez n'a pas eu ce luxe. A force de flirter avec la zone rouge, l'AJA a fini par jouer - vraiment - le maintien. Mais la pression est un peu retombée depuis dimanche : «Ces trois points, explique le technicien bourguignon, nous font beaucoup de bien. On a fait un grand pas vers le maintien. Mais tant qu'on n'aura pas 43 ou 44 poins, il va falloir lutter». Des points, Auxerre en compte 38 avant d'affronter Lens, Bordeaux, Lyon et Lille à domicile, la fin de saison lui promettant aussi trois confrontations avec des clubs en (plus grand) danger : Nice, Troyes et Valenciennes. Jean Fernandez n'en démord pas : sa saison, Auxerre l'a plombé lors des matches aller, lorsque s'enchaînaient Intertoto et poule UEFA : «C'était très difficile de jouer tous les trois jours et on a perdu beaucoup trop de points pour jouer le haut de tableau.» Selon lui, le Paris-SG doit d'ailleurs beaucoup de sa défaite de dimanche à son match contre Benfica trois jours avant (voir encadré). Les plus récents résultats d'Auxerre semblent lui donner raison : les pensionnaires de l'Abbé-Deschamps n'ont concédé que deux défaites (Marseille et Monaco) lors de leurs 13 dernières prestations. Championne du match nul (11), l'équipe a «progressé» selon son entraîneur et propose désormais «une meilleure qualité de jeu». Au point d'espérer faire (au moins) aussi bien que la sixième place de l'an dernier ? De l'autre côté de la salle de presse, Benoît Pedretti fait observer qu'Auxerre n'est qu'à cinq points des troisièmes. Mais l'ancien Lyonnais retouve bien vite les accents maison : «On ne va pas s'enflammer, il y a encore deux matches, on nous parlait de maintien, alors on ne va pas parler d'Europe.» La prudence, consubstantielle à l'AJA, n'est pas la seule raison à ce profil bas. Auxerre est aussi en pleine transition. «Trouver une identité» A regarder la feuille de match, dimanche, il est en effet frappant d'observer que le milieu et l'attaque auxerroises ont été profondémment bouleversés avec Jean Fernandez. Kanga Akalé, au club depuis cinq saisons et capitaine d'un jour (voir encadré), faisait figure de grand ancien. Younes Kaboul, 21 ans, buteur à la retombée d'un corner mal dégagé, à peine moins. Outre Benoît Pedretti, arrivé tardivement (fin août), longue est la liste des nouveaux joueurs, Frédéric Thomas et Issa Ba dans l'entrejeu, Ireneusz Jelen, Daniel Niculae et Moussa N'Diaye sur le front de l'attaque. «On est en train de construire quelque chose, analyse Jean Fernandez. Il a fallu trouver un équilibre, une identité, apprendre à connaître les joueurs.» C'est ainsi que se dégage l'idée qu'Auxerre, au delà de cette année de transition, a déjà commencé la saison suivante. En espérant secrètement accrocher un ticket pour l'Europe. Pour la sixième saison consécutive. Aucun club en France n'a fait mieux ces dernières années. Sauf Lyon, bien entendu. lequipe.fr -
Actualités des clubs Français
Sanji a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
12/03/2007 - Foot - L1 - OM Zubar : «Le point du coeur» Venus entre Rhône et Saône en TGV, les Marseillais sont repartis de Lyon dans la nuit en car. Ce qui n'est pas le moyen de transport le plus adéquat pour profiter de leur performance rhodanienne, mais qu'importe. Les Phocéens étaient surtout soulagés de ce match nul (1-1), acquis grâce à un but de Mamadou Niang à la 87e minute, répondant à l'ouverture du score de Milan Baros (20e). «C'est le point du coeur, c'est une grosse bouffée d'oxygène», souligne Ronald Zubar, qui analyse ce match avec une once de regret, celui de ne pas avoir obtenu mieux. «Car avec un peu plus de réussite, on aurait pu marquer ce deuxième but. Mais les Lyonnais, de leur côté, se sont également procurés des occasions. Finalement, la match nul est donc équitable. Et puis ce point va nous stimuler.» Même son de cloche chez le capitaine Habib Beye : «On repart avec un certain capital confiance. On savait bien qu'on n'allait pas gagner 3-0, mais il fallait être costaud. On l'a été. Maintenant, il ne faudra pas être compétitif que contre Lyon.» Zubar : Emon «est un humaniste» L'avis est évidemment partagé par Pape Diouf : «Ce soir (dimanche soir), on a rompu le cycle infernal de défaites et tordu le coup à l'habitude de perdre à chaque fois que nous sommes menés. Au niveau des ressources morales, on a su répondre et réagir. Nous nous sommes remis dans le sens de la marche pour conclure désormais le championnat de manière positive. On doit renouer avec le succès de façon plus constante pour revenir sur les objectifs initiaux.» Autrement dit, il faudra battre Nice, samedi prochain au Vélodrome, histoire d'engranger une première victoire depuis sept matches, de débuter une série victorieuse et de se rapprocher des places qualificatives pour la Ligue des champions. En attendant de se rassurer complètement, l'OM a au moins sauvé la tête de son entraîneur. «On est très content aussi pour Albert Emon, indique Zubar. C'est un mec proche de nous. C'est un humaniste. On avait envie de tout donner pour lui.» «Albert, il remplit son contrat à 100% depuis le début de la saison, renchérit Beye. Les premiers responsables (des récents mauvais résultats), c'est nous. C'est à nous d'assumer. » Pape Diouf a eu également un mot pour son coach. «Ecoutez, il a vécu des jours difficiles car certains ont fait de sa situation ce que j'appellerais une affaire. Je lui ai toujours maintenu ma confiance. J'ai juste dit qu'en football, le poste d'entraîneur varie en fonction des résultats et du contexte. » Les dirigeants marseillais en ont profité pour placer une pique à Gérard Houllier qui, samedi, avait soutenu Albert Emon. «Il devrait d'abord s'occuper de son club et trouver par exemple trouver la recette pour gagner la Ligue des champions», lâche José Anigo. «Il ne devrait pas s'intéresser à ce qui se passe à l'Olympique de Marseille, souligne pour sa part Pape Diouf. Il perd les pédales, il déraille un peu. Il dit avoir vécu l'enfer lors de son élimination en Coupe de France il y a quelques semaines, mais il devait certainement être absent ce soir-là. Sinon, il aurait gagné le match.» Ambiance tendue. Cela n'a pas empêché le président marseillais, dans le couloir des vestiaires, de serrer la main tendue par le coach lyonnais. lequipe.fr -
12/03/2007 17.18 Roeber quitte Dortmund ! Le séjour de Roeber à la tête du Borussia Dortmund n’aura été que de courte durée. Arrivé en janvier dernier, Roeber s’est démis de ses fonctions à la suite des mauvais résultats de son équipe. Roeber a pris cette décision après la défaite du Borussia contre Bochum (2-0). Le grand club de la Ruhr est en danger car un seul point le sépare des premiers reléguables. Devant la colère des supporteurs de Dortmund, Roeber a décidé d’écourter son séjour : « Dans le meilleur intérêt du BVB, j’ai décidé de résilier mon contrat ». A noter que Roeber avait pourtant commencé au mieux avec une victoire sur le Bayern Munich. Mais hormis ce bon résultat, ses joueurs se sont inclinés à six reprises en l'espace de huit rencontres. Le prochain entraîneur n’est pas encore connu. goal.com
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12/03/2007 - Rugby - «Volonté payante des Anglais» Notre consultant Laurent Bénézech revient sur la défaite de l'équipe de France face à l'Angleterre (26-18). Pour lui, «ce qui était séduisant, c'est l'état d'esprit affiché par les Anglais : toujours attaquer, toujours produire du jeu quelques soient les circonstances. Après dans la réalisation, cela a été loin d'être parfait mais cette volonté et cette envie collective ont fini par payer.» «Comment expliquer que les Français n'aient jamais pu trouver la faille dans la défense anglaise ? D'abord et surtout parce que les Français ont peu eu le ballon et les rares fois où ça a été le cas, ils s'en sont trop vite débarrassé au pied. Le meilleur exemple pour moi est l'action qui amène l'essai de Tindall, qui part d'un coup de pied de Dimitri Yachvili : celui-ci récupère le ballon sur un coup de pied anglais et s'en débarrasse de suite au pied alors que la situation semblait se prêter à une relance et ce d'autant plus que les Français étaient menés d'un point au score. En première mi-temps, les Bleus ont eu une occasion franche mais Raphaël Ibanez a fait un en-avant près de la ligne d'essai. D'une manière générale, j'ai trouvé l'équipe de France en-deçà physiquement. La tactique anglaise de créer beaucoup de volume de jeu était la bonne pour la battre. Elle a permis aux Anglais de garder la possession du ballon la majeure partie du temps, d'éprouver la défense française en la sollicitant beaucoup et de se créer des occasions de marquer qui ont fait basculer le match en leur faveur. Jamais en seconde mi-temps les Français n'ont été capables d'inverser cette tendance en mettant la main sur le ballon et en imposant leur jeu. Le sang neuf apporté par Catt, Flood, Geraghty, et autres Rees a ainsi donné un avantage à l'équipe anglaise, qui a paru sur ce match beaucoup plus fraîche que les Français... La blessure de David Skrela suffit-elle à expliquer les carences françaises ? Non. Même si David Skrela a fait une bonne première mi-temps, son absence a bien été compensée à la fois par Dimitri Yachvili comme buteur et par Lionel Beauxis comme animateur des rares ballons français. Non, encore une fois, ce qui a manqué aux Français aura été le ballon et du tranchant pour être capable de donner de la vitesse à leurs rares attaques. Cette défaite remet-elle en question les louanges adressées aux Français, et en particulier à certains joueurs, à l'issue des trois premiers matches ? C'est sûr que cette défaite sonne comme un coup d'arrêt, d'abord et surtout parce que les Anglais ont montré comment il fallait jouer pour battre la France : que le rideau de fer défensif des Bleus pouvait être pris à défaut à force d'être sollicité notamment sur la largeur, que lorsque le pack français n'était pas conquérant, c'est toute l'équipe qui était en difficulté, que l'animation offensive française avait ses limites. Avant de parler joueurs, il faut quand même faire un constat d'échec collectif à cause de ce match. Lorsque la conquête française est moyenne, il n'y a pas de créativité suffisante dans l'organisation et l'alternance du jeu pour se montrer menaçant. Pire, sur certaines actions, les Français jouaient arrêtés et n'arrivaient pas à donner de vitesse au ballon. C'est d'abord et avant tout cela qui pose questions à quelques mois de la Coupe du monde. Si l'on fait un premier bilan de ce Tournoi, il y a une évidence criarde qui fait jour : la France a besoin de dominer ses adversaires devant pour gagner ! Contre l'Italie et le pays de Galles et peut-être même plus encore devant l'Irlande, les Bleus ont gagné parce qu'ils ont été capables, au moins par moment, de mettre leurs adversaires sur le reculoir, ce qui n'a pas été le cas contre les Anglais, comme cela ne l'avait pas été contre les Néo-zélandais en novembre. La seule chose qui puisse ici tempérer mon propos, c'est l'état de fraîcheur physique. Autant il est disparate à ce moment de la saison et de toute façon jamais vraiment à l'avantage des Français pour cause du trop important nombre de matchs joués, autant au moment de la Coupe du monde, toutes les équipes devraient être sur un pied d'égalité. Le XV de la Rose, largement remanié après la défaite en Irlande (43-13), a proposé un jeu séduisant... Ce qui était séduisant, c'est l'état d'esprit affiché par les Anglais : toujours attaquer, toujours produire du jeu quelles que soient les circonstances. Après, dans la réalisation, cela a été loin d'être parfait mais cette volonté et cette envie collective ont fini par payer. Au niveau des joueurs, on a retrouvé un superbe Matt Catt qui, dans un rôle avant tout d'organisateur en quasi demi d'ouverture, a su peser sur le jeu en faisant toujours le choix juste dans l'organisation et l'animation. Il a permis aux jeunes joueurs de pouvoir s'exprimer dans de bonnes conditions, ce qui n'était pas toujours le cas ces derniers temps : Flood s'est senti en sécurité, Strettle a été un vrai poison avec toujours cette envie de porter le danger, Geraghty s'est de suite, à son entrée, senti comme un poisson dans l'eau, Ellis continue de progresser comme organisateur du jeu anglais et reste un danger potentiel grâce à sa vitesse de course. Devant aussi, les Anglais ont été performants. Rees s'est positionné comme le digne successeur de Niel Back, la mêlée anglaise a été surprenante avec Payne et White efficaces dans leurs rôle de pilier et un Martin Corry finalement à l'aise en deuxième ligne. Je pense qu'il y a des choses encore à améliorer dans cette équipe mais elle a été, contre la France, surprenante dans son envie de toujours défier l'adversaire. La belle résistance offerte par l'Ecosse face à l'Irlande (18-19) constitue-t-elle un avertissement pour la France, dans l'optique du match de samedi prochain ? Je crois que c'est surtout aux Français de savoir se remettre dans le sens de la victoire. Les entraîneurs doivent garder l'ossature des joueurs qui ont participé aux matches de manière à capitaliser sur le travail fait pendant six semaines, tout en faisant tourner quelques joueurs. Ensuite, il faut aller puiser dans le réservoir constitué de Harinordoquy, Beauxis, Papé, Fritz, Vermeulen, Mas, Heymans, Rougerie, Floch, pour apporter quelques retouches et surtout amener un sang neuf qui permettra à l'équipe de France de brillamment terminer ce Tournoi contre une équipe d'Ecosse qu'il faut avant tout dominer devant, de manière à ne pas s'exposer à la furia de joueurs qui sont plutôt à l'aise dans le désordre d'un jeu attaque-défense totalement débridé. Et surtout, il faudra mettre la pression sur la charnière du Chardon pour marquer au moins un essai sur contre puisque apparemment les Ecossais sont assez généreux de ce côté là ! L'Italie, qui a bénéficié d'une erreur de l'arbitre en fin de match, méritait-elle quand même de battre le pays de Galles (23-20) ? Je ne crois pas qu'il y ait eu une erreur d'arbitrage et de toute façon, la question ne se pose pas car les Gallois ont été stupides de ne pas tenter la pénalité : quand on a la chance d'avoir l'occasion, à la dernière minute d'un match, de pouvoir égaliser, il ne faut pas se croire supérieur au point de refuser cette possibilité ! Franchement je ne crois pas que les Gallois auraient de toute façon marqué un essai sur cette dernière action car la volonté italienne de gagner se match était très forte, la manière dont les Transalpins sont allé chercher l'essai de la victoire en atteste. Cette équipe d'Italie progresse de manière intéressante, même si elle fait encore trop de fautes et offre des essais ''faciles'' à ses adversaires. C'est une bonne nouvelle pour le rugby européen et mondial que de voir les Italiens jouer une place dans les trois premiers du Tournoi et un possible quart de finale de Coupe du monde cet automne.» lequipe.fr