C'était écrit. Le dernier - tueur de gros - qui met fin à la une série d'invincibilité du premier, le jour où il y avait un record à la clé et que le dauphin s'est fait remonté 4 buts. C'était écrit, j'ai envie de dire!
Si dans un quart d'heure, on est toujours pas revenu à la marque, voire un scénario bien plus sombre, il faut d'office faire rentrer notre mexicain adoré.
Rafael c'était également le seul joueur qui était en état d'éveil sur le corner. Les autres étaient assoupis et pourtant Vidic et compagnie en ont de l'expérience.