RnB

imaginer Ribery ( avec ou sans le numero 7 sur le dos) sortir ses vannes moisies a tout va, quel discrédit il ferait planer sur le club

Les dirigeants de Manchester United ont confirmé qu'Alex Ferguson pouvait dépenser comme il le souhaitait l'argent récolté grâce au transfert de Cristiano Ronaldo. Par l'intermédiaire de son porte-parole, le club de Manchester United a indiqué qu'Alex Ferguson avait les pleins pouvoirs concernant les dépenses pour les transferts : « Sir Alex a le contrôle total de son équipe. Il a le pouvoir de prendre toutes décisions dans ce qu'il juge être l'intérêt de Manchester United » a-t-il déclaré sur ITV. Football365.fr je trouvais l'endroit plus approprié que le topic de Sir Alex

La plus chère recrue de l'histoire du football, la star portugaise Cristiano Ronaldo devrait porter le numéro 9 de Saviola au Real Madrid. CR7 pourrait devenir CR9. D'après « As », Cristiano Ronaldo héritera en effet au Real du numéro 9 de Saviola, sur le départ. Paré du légendaire numéro 7 de Cantona et Beckham, le Ballon d'Or 2008 ne pourra conserver ce n°7 dans la maison blanche, ce numéro restant la propriété de Raul. Football365.fr

halala le niveau de Madrid a Fifa ( et pes) va être phénoménal.. Dommage qu'on ai une nouvelle fois une politique de Galactiques qui se met en place

Lyon pense à Gignac L'Olympique lyonnais continue de multiplier les pistes en quête d'un attaquant. Après Lisandro Lopez (Porto), Dzeko, Grafite (Wolfsburg), Loïc Rémy (Nice) et Erding (Sochaux), les dirigeants du club rhodanien songeraient à s'attacher les services du Toulousain André-Pierre Gignac, selon les informations de L'Equipe. De passage à Lyon vendredi à l'occasion de France-Turquie (1-0), l'ancien Lorientais a rencontré après le match Jean-Michel Aulas. Mais le président lyonnais tenait simplement à le féliciter, assure l'entourage du joueur. Côté toulousain, Olivier Sadran a déjà fait savoir qu'il n'était pas prêt à lâcher un élément qu'il a prolongé jusqu'en juin 2012, l'hiver dernier. «Il ne partira pas et lui-même ne veut pas partir, a affirmé le président du TFC au quotidien. Je ne vais pas passer l'été à le répéter». Il y a deux mois, Sadran s'était montré moins catégorique : «Ce n'est pas le monde des Bisounours. Si, demain, il y a des offres très intéressantes, nous les regarderons». Un discours repris par Gignac. S'il a déjà fait part de son intention de rester, l'international français a également souvent indiqué que «dans ce milieu, on ne sait jamais». Niang également convoité Toujours selon L'Equipe, une autre piste est actuellement étudiée par les dirigeants lyonnais. Elle mène au Marseillais Mamadou Niang. Bernard Lacombe a récemment démenti cette information, mais l'intérêt de l'OL pour l'international sénégalais serait réel. Ce dossier a cependant peu de chances d'aboutir. Didier Deschamps, le nouvel entraîneur de l'OM, a déjà fait savoir qu'il comptait s'appuyer sur l'ancien Strasbourgeois. L'agent de Niang doit le rencontrer dans la semaine pour évoquer l'avenir de son poulain. lequipe.fr

Henrik Larsson ne jouera pas avec la Suède face à Malte mercredi soir. Le buteur suédois a quitté la sélection nationale après avoir appris le décès de son frère. L'ancien joueur du FC Barcelone, Henrik Larsson, ne participera pas au match de qualification pour la Coupe du Monde 2010 contre Malte. Le buteur suédois a quitté la sélection nationale après avoir appris la disparition de son frère. Les causes du décès n'ont pas été communiquées. football365.fr

Le club perd de l'argent Les audits financiers réalisés dernièrement à Liverpool confortent une tendance lourde : le club perd de l'argent. L'an passé, les propriétaires américains des Reds ont enregistré un déficit de près de 45 millions d'euros, principalement dus au remboursement des dettes qui criblent l'équipe de la Mersey. Le plus grave réside dans le fait que le club doit rembourser un peu plus de 350 millions d'euros de prêts avant le 24 juillet prochain. Le futur du club est donc très incertain pour le moment. lequipe.fr

Lors de sa première conférence de presse en tant qu'entraîneur de l'OM, mardi après-midi à Marseille, Didier Deschamps a tout de suite évoqué le recrutement. L'ancien coach de la Juve a expliqué qu'il comptait renouveler un tiers de l'effectif actuel et s'est montré optimiste quant à l'arrivée de David Trezeguet. Didier Deschamps (entraîneur de Marseille) Il y a trente pour cent de l'effectif à renouveler. Je préfère acheter trois gros joueurs que six joueurs moyens. Dans cette optique, le transfert de David Trezeguet est donc réalisable. En ce qui concerne Djibril Cissé, c'est à voir. football365.fr

Kaka n'ira pas au Real Madrid Le champion du monde brésilien 2002 Kaka ne rejoindra pas le Real Madrid la saison prochaine. C'est ce qu'il a confirmé mardi à la presse italienne. «Je le dis pour la dernière fois, je ne veux pas quitter Milan. Aux millions de supporters du Milan AC, je veux dire que ma décision est prise. Maintenant, laissez moi tranquille.» Depuis la nomination, lundi, du nouveau président du Real Madrid, Florentino Perez, l'information circulait que le Brésilien serait transféré pour 60 millions d'euro dès jeudi. Lequipe.fr

compétiteur et revanchard dans l'âme espérons une grande saison 10-11, il aura surement a cœur de briller a nouveau pour reconquérir ses titres!

La pression monte meme en cette heure matinale

tellement vrai

ça ne parle pas de nous mais de Barcelone , ça vient de Sofoot.fr et ça fait du bien! Peut-on critiquer le Barça ? Unicef, tiki taka, OK, Iniesta, Eto’o, Messi, OK. A écouter le monde entier, Barcelone représenterait le nec plus ultra en matière de beau jeu. Et si c’était en fait plus compliqué que ça ? « Barcelone a davantage mérité d’aller en finale de Ligue des Champions que Chelsea, car c’est la seule équipe des deux à avoir joué au football ». Johan Cruyff, le taliban néerlandais, n’y est pas allé par quatre chemins quand il a fêté la qualif’ de son équipe de cœur dans le quotidien El Periodico de Catalunya. D’un côté, les gentils cow-boys de Barcelone, et de l’autre, les méchants indiens de Londres. Comme si jouer au football, c’était seulement cela : jouer au football comme le fait le Barça. Autrement dit, pour faire vite : garder le ballon à terre, multiplier les passes, écarter puis revenir puis écarter encore pour revenir encore, et attendre la faille. Monopoliser la balle, endormir l’adversaire. Des actions qui durent des minutes entières, et qui se finissent par un but. Olé. Et le reste, alors ? Le contre fulgurant qui permet d’aller d’une surface à l’autre en trois passes et cinq secondes chrono ; les centres au cordeau déposés sur le front ami ; les frappes de mule déclenchées des 30 mètres ; de la belote ? “Jouer au football”, si ça se limitait à un seul style de jeu, ça se saurait depuis longtemps. Là-haut, chez Howard Wilkinson, éphémère sélectionneur anglais, on a une définition bien à soi, sommaire, et toute britannique : « Je suis fermement convaincu que si vous marquez un but de plus, l’autre équipe doit en marquer deux pour l’emporter ». En bas à droite, voici Helenio Herrera, philosophe du miracle italien : « Avant tout, il s’agit de défendre le point avec lequel on descend sur le terrain, à la première minute de jeu ». De l’autre côté de l’Atlantique, Osvaldo Soriano, écrivain argentin, fait dans le baroque : « Le football est une fantaisie, une sorte de dessin animé pour adultes ». Un Allemand vous parlerait de masse physique et de concentration, un Algérien de roulettes et de talonnades, un Uruguayen de bastons générales, et un Brésilien résumerait tout cela à une histoire de b**** et de sable chaud. Évidemment, tout le monde est persuadé d’avoir raison. Logique, donc, que les Barcelonais croient détenir la seule et unique vérité. D’autant que l’équation “nationalisme catalan + arrogance néerlandaise” qui marque l’identité du Barça n’est pas exactement faite pour favoriser l’humilité. Ce qui étonne, c’est que le reste du monde se fasse refourguer la came sans broncher. Encore que tout s’explique, là encore : à coups de partenariats Unicef, de patriotisme gauchisant et de diabolisation des opposants, le “mes que un club” semble avoir réussi à gagner la guerre psychologique. De manière définitive ? Pas si sûr : la dernière fois qu’une équipe a autant fait l’unanimité chez les piliers de bars, c’était le 18 mai 1994. En finale de la Ligue des Champions, le fabuleux Barça de Cruyff, loué par le monde entier, devait écraser le méchant Milan AC de Capello. Les Catalans étaient finalement repartis avec une valise, 4-0. Manière de rappeler que pour voir un beau match de handball, mieux vaut encore attendre les Jeux Olympiques. au moins il y en a qui arrive a se detaché de cet esprit "mouton" qui dirige le football

Deuxième volet de notre consultation Ligue des champions : ''êtes-vous Ronaldo ou Messi?''. La balance penche de plus en plus nettement pour l'Argentin. Même Alex Ferguson ne choisit pas ! Alex Ferguson (manager de Manchester United) : « Ce sont deux joueurs fantastiques, ils ont l'un et l'autre ce qu'on veut voir chez les footballeurs, le courage d'affronter leur défenseur sur chaque ballon, malgré tous les tacles et toutes les fautes qu'ils encaissent. Leurs qualités, et notamment leur physique, sont différents, mais au bout du compte, comment les départager ? C'est très dur.» - Cé. Ro. Christophe Dugarry (ex-international, consultant) : «Je suis Lionel Messi ! Je suis aussi Franck Ribéry et bien après, Cristiano Ronaldo ! Je ne connais pas leurs personnalités, donc je ne les jugerai pas là-dessus, mais je trouve que Messi et Ribéry ont une qualité pour faire jouer les autres, que n'a pas forcément Ronaldo. Et j'aime bien les gens qui ont ça, qui ne jouent pas seulement pour eux-mêmes, en dépit du fait que Ronaldo soit très fort, et même un génie du foot. J'aime les joueurs capables de faire autre chose que des numéros de solistes. Sur la finale, je suis plutôt pour le Barça, parce que son jeu est magique, et parce que l'on aimerait que le meilleur football soit récompensé. Mais je pense que ce sera compliqué pour Barcelone... même si ce sera à mon avis très léger : du 55/45 % pour Manchester. Il y a cette expérience, et ce football anglais qui pose problème au football espagnol, notamment dans la détermination et l'engagement. Je pense que c'est le genre de football qui peut embêter Barcelone, un peu à l'image de ce que l'on a vu avec Chelsea dernièrement.» - L.B. Raynald Denoueix (ex-entraîneur de Nantes) : «Je mets Messi en premier. Mais avoir l'un ou l'autre, c'est d'abord avoir l'équipe. Une fois qu'on a l'équipe, on choisit d'ajouter Messi ou Ronaldo. Le critère premier à retenir, c'est toujours l'efficacité. Je ne suis pas un homme de stats mais je crois quand même que cette année, c'est Messi qui a été un peu plus efficace. Après aujourd'hui si vous avez le Barça, il vaut mieux certainement avoir Messi par rapport à l'organisation, à la complémentarité avec les autres joueurs. Enfin de temps en temps, il y a un petit côté déplaisant chez Ronaldo qu'on ne retrouve pas chez Messi et j'espère qu'on ne le retrouvera jamais. Il y a quelques moments où il peut agacer ses partenaires, ses adversaires voire son public. Il y a des moments où il a des attitudes un peu désagréables. J'ai donc un petit penchant pour Messi.» - H. S. Péguy Luyindula (Paris-SG) : «Entre le Pepsi et le Coca, je préfère le Coca. Messi donc ». Nous avons consulté dix joueurs du Paris-SG mardi et tous ont voté Messi. Sauf l'entraîneur, Paul Le Guen, fidèle à lui-même : «Ma préférence va aux deux.» - Ch. M. Bruno Chazal (internaute) : «Ronaldo, c'est le joueur perso, qu'il a fallu gifler mille fois avant qu'il donne ses ballons. C'est le joueur qui se laissait tomber après avoir mis six passements de jambes inutiles. Le joueur aux gri-gris, énervant pour ses partenaires, ses adversaires et pour les supporters des deux camps. Un cas désespéré, en somme, s'il n'y avait pas eu Sir Alex. (...) Messi, quant à lui, est un exemple de volonté. Alors petit par la taille, mais grand par la grinta. Messi se prend tellement de balaillettes qu'il pourrait se reconvertir dans le taekwendo. Et surtout il n'abandonne jamais la bataille, et quitte à traverser des forêts de jambes, il va au but. Messi mouille son maillot. Il rend à chaque match ce que le Barça lui a donné: une chance de devenir grand. Et c'est ça peut-être la différence entre Ronaldo et Messi: l'intimité entre le club et le joueur, la volonté de défendre son maillot, et ce que quelques-uns me reprocheront d'appeler une philosophie... Et voilà ce qui fait que je suis plus Messi que Ronaldo: Lionel, c'est l'anti-héros. Il est petit, moche, et il fait rêver! Un gars moyen, en apparence, qui renferme un inroyable talent » Encore de quoi rire un peu, surtout quand Dugachy parle avec son Ronaldo individualiste a mort et son messi collectif, on a pas du voir les memes matchs Enfin c'est tres bien choisi par Lequipe ils prennent ce qu'ils souhaitent comme commentaires mais on verra sa demain des ce soir quand ils marquerons en gros sur leur Site MANCHESTER TOUJOURS ET ENCORE ROI D'EUROPE!

Pour Barcelone c'est Messi le genie, Iniesta le sauver et henry le finisseur je crois que c'est ça l'autre partie du spot

Barcelone se sent outsider Les joueurs et l'entraîneur du FC Barcelone n'ont pas prononcé le mot. Mais ils se sentent outsiders de la finale de la Ligue des champions contre Manchester United. Avant leur passage devant les micros, il y avait eu la confiance palpable de Ferguson, Ferdinand et Ronaldo. En une demi-heure, ils avaient eu le temps de se dire meilleurs que Chelsea, le Real Madrid et Barcelone, ce qui est probablement vrai (au moins pour les deux premières équipes) mais rarement dit avec autant de franchise devant tous les médias du monde. Ferguson, reprenant un thème qui lui était déjà cher avant les demi-finales, avait devisé sur le potentiel de son équipe, capable selon lui de réaliser une série comparable à celles de l'Ajax et du Bayern dans les années 70. Un mélange de décontraction et de certitudes propres aux équipes qui ont gagné trois finales de C1 sur trois jouées dans leur histoire. A Barcelone, Guardiola a souligné que l'un des enjeux de la partie consistait à «laisser la peur au vestiaire». «C'est la finale, le plus grand match de l'année, un tout ou rien, il peut y avoir un peu de crainte» a reconnu celui qui a gagné la finale de 1992 mais perdu celle de 1994 en tant que joueur. L'enjeu sera «d'être nous-mêmes», a insisté l'entraîneur catalan. «Je veux que les joueurs se sentent beaux, fiers, qu'ils jouent avec la sensation de devoir montrer à tout le monde combien ils sont bons. Nous sommes ici pour rendre hommage au football. Nous allons essayer de faire ce que nous avons fait durant toute la saison. Nous sommes une excellente équipe et nous allons jouer à 100%. Hors de question de rentrer au vestiaire en se disant que ça aurait pu tourner autrement.» Même si en face, il y a Manchester... MU, « meilleure équipe du monde » «On va jouer contre la meilleure équipe du monde, ce sera difficile, c'est tout ce que je sais, avait dit Guardiola pour ouvrir sa conférence. Elle maîtrise tous les aspects du jeu, c'est ce qui la rend exceptionnelle. Elle sait attaquer, très bien défendre, et joue très bien en contre.» Mais le Catalan refuse tout raccourci et, comme Ferguson avant lui, annonce deux équipes décidées à attaquer. «J'ai entendu dire que Manchester n'était qu'une équipe de contre. Mais je ne m'attends pas à un Manchester défensif, pas du tout. Ils nous poserons beaucoup beaucoup de problèmes.» Placé face à la réussite exceptionnelle de sa première année à la tête du Barça, Guardiola a dit : « J'ai fait du bon travail, mais c'est trop. Gagner la Liga, la Coupe et être là aujourd'hui pour affronter la meilleure équipe d'Europe... Mais en football, tout peut s'arrêter très vite. On a fait une bonne se saison, mais il y a encore beaucoup de travail pour bien la finir.» lequipe.fr ils veulent s'enlever de la pression pour la reporter sur nous! Guardiola et Co sont marrant dans leur interviews, une fois il racontent qu'ils meritent de gagner, qu'ils ont le plus beau jeu, le plus beau parcours, bref qu'ils sont les numero 1 et aprés ils racontent qu'on est les favoris, la meilleure equipe du monde

Henry-Iniesta : Guardiola optimiste Pep Guardiola s'est refusé à être formel, mais il a confirmé les sensations qu'avaient eues Xavi, lundi, au sujet de la participation de Thierry Henry et Andres Iniesta à la finale de la Ligue des champions, annoncée comme très probable. «On verra lors du dernier entraînement où en est leur condition, mais je pense qu'ils seront là mercredi, a dit l'entraîneur du Barça. Y a-t-il un risque ? Aucun. C'est la finale, le dernier match de la saison. S'ils jouent c'est qu'ils sont aptes. Ils sont là avec nous et nous sommes confiants.» lequipe.fr

ils retournent leurs vestes a la meme vitesse qu'Usain Bolt coure le 100 M. D'un coté ils ont pas totalement tord ils essayent de se faire une petit matelas pour amortir leur chute!

Vite fait bien fait, placé avec légèreté mais c'est tellement vrai je sais pas si cela a deja été posté mais Marcos a donné son Analyse du Jeu de MU Analyse Marcos

Manchester United aura-t-il l'audace de prendre Barcelone à son propre jeu ? A écouter Alex Ferguson, c'est probable. Les indices indiquant que les Reds Devils pouvaient s'appuyer sur leur force défensive se sont accumulés depuis les demi-finales. Brillante contre Arsenal (1-0, 3-1), son équipe avait été organisée pour couper le jeu de passes du onze d'Arsène Wenger et y était parvenue, entre autres, avec un mur de trois milieux défensifs. Chelsea ensuite, passé à un souffle d'éliminer le Barça (0-0, 1-1), avait montré combien l'équipe catalane souffrait contre une organisation défensive scientifique. «Mais nous ne jouons pas comme Chelsea, nous avons d'autres qualités» a tranché Ferguson à la veille de la finale. Pour le manager écossais, la possession du ballon sera la clef du match. «Défendre fait partie du jeu, nos défenseurs sont au top, et bien que la défense soit une des bases de la victoire, nous avons les joueurs pour créer, marquer et gagner de cette façon, a dit Ferguson. Je crois que nous aurons deux équipes qui voudront jouer à leur façon, qui voudront avoir le ballon. L'une et l'autre savent le garder et voudront le garder. Les facteurs cruciaux, ce seront : quelle équipe a le ballon ? Que crée-t-elle avec ? Et combien de temps pourra-t-elle le garder ?» «On aura des occasions de marquer, a souligné Ferguson. Généralement, ça arrive à chaque match. Nous sommes une menace pour toutes les équipes et j'espère qu'on continuera à pratiquer ce jeu-là.» Ferguson a tout juste concédé «avoir analysé les forces et les faiblesses de l'adversaire», pour suggérer que Barcelone n'avait pas un jeu offensif ordinaire. Mais sur le fond, il reste sûr de ses forces. Quand un journaliste lui a fait observer que la dernière qu'équipe en blanc à avoir affronté Barcelone avait pris un 6-2, il a ri, assuré être «très content» de cette tenue de rechangé, et précisé aussi vite : «Nous sommes meilleurs que le Real Madrid.» «Il faudra bien jouer, et certaines choses sont importantes comme la concentration et la chance» a conclu Ferguson. Lequipe.fr

La final la plus attendue dans le monde du football, deux équipes de stars, deux conception du football, deux club mythique, une opposition entre les deux grands joueurs du moment ( Voir Jeudi matin a la une de Footix Magazine, les actions décortiquées a la loupe, de la passe banale de Messi a Yaya touré, en passant par la frappe de Ronaldo dans les nuages..) Enfin bref de quoi rêver quoi! Non plus sérieusement, une finale historique pour MU et pour nous supporters, un moment qui ne se représentera peut être plus avant un moment ( espérons le contraire), une vie?! Une Finale pour marquée l'Histoire et faire entrer MANCHESTER UNITED encore un peu plus dans la LEGENDE du football.. On peut attendre la plus grande motivation de la part des gars qui seront sur le terrains d'un coté comme de l'autre. On a l'avantage sur le papier du fait de la défense décimée qui se présentera face a nous mercredi mais rien n'est gagné pour autant, et ça nos joueurs le savent. 50/50 on vu du niveau affichée par les équipes dans leur championnats respectifs. Je dirais un petit avantage pour nous sur l'ensemble du parcours en Champion's League ( qualification volée en demi pour la bande a Léo..) on a eu un parcours plus difficile avec de vrai adversaires, cette différences de challenge devrait nous être favorable vu que Barcelone risque d'éprouver les pires difficultés a nous contenir lors de nos attaques, même chose quand il leur faudra attaquer vu qu'il n'ont connu que Chelsea comme défense solide, Mercredi il vont déchanter en voyant leurs attaques être brisées par un Roc Défensif tout aussi voir plus impressionnant que celui de cheksii.

question HS Anelka vient de marquer pour Chekeuski , il devient meilleur buteur non?

La parade du polonais! match rassurant de sa part

Quelle frappe de gibson!!

MU désavantagé selon Ferguson L'entraîneur de Manchester United, Sir Alex Ferguson, craint que Barcelone ne soit avantagé par rapport à son équipe lors de la finale de la Ligue des champions, mercredi prochain à Rome, car les Catalans auront un jour de récupération supplémentaire. Les champions d'Espagne disputeront leur avant-dernier match de Championnat contre Osasuna samedi, alors que Manchester United jouera contre Hull 24 heures plus tard, même si Ferguson devrait aligner une équipe de remplaçants pour son dernier match de Premier League. «Barcelone joue samedi soir, et il n'y a qu'un seul match au programme dans le pays samedi, une finale d'accession en 3e division», a déclaré l'entraîneur écossais. «L'Angleterre a une équipe en finale tous les ans depuis quatre ans, donc ce n'est pas comme si la Premier League ne savait pas que ça pouvait arriver à nouveau, a-t-il ajouté. Ils auraient très bien pu déplacer la journée de championnat à samedi. Cela aurait pu nous aider.» lequipe.fr