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Ryan

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Messages posté(e)s par Ryan

  1. Ah oui j'ai encore les images de ce match traumatisant, rajouté à celui qu'on a gagné 4-3 contre le Real dans une moindre mesure.

     

    Mais contre Arsenal, un gardien comme lui qui a un super jeu de pied dégage "accidentellement" dans les pieds de Henry, ne me parait du tout crédible. Pour moi, il n'y a pas l'ombre d'un doute il a fait exprès

     

    Cela ne fait plus de doutes. Cinq mois après la finale de Berlin, Fabien Barthez va faire son retour. On n’attend plus que sa signature à Nantes. Sûrement pour six mois et certainement ce jeudi.

     

     

    Berlin, 9 juillet 2006. Finale de la Coupe du monde. Tout le monde pensait que ses dernières minutes de footballeur professionnel, Fabien Barthez les avaient vécues contre l’Italie dans la capitale allemande. Une ultime et malheureuse séance de tirs au but et puis s’en va. Erreur. Car il ne fait plus aucun doute que l’ancien gardien des Bleus renouera avec la compétition officielle sous le maillot de Nantes. Et ce très prochainement. Après une longue journée de négociations au siège du groupe Dassault, sur la plus belle avenue parisienne, Barthez et les dirigeants nantais seraient parvenus à un accord deux mois après l'annonce de la retraite de l'ancien gardien de Manchester United. Des discussions exclusivement financières qui devraient permettre ce jeudi au FCNA d’obtenir l’arrivée pour au moins six mois de l'ex-Marseillais.

     

    Un contrat de six mois assorti d’une option pour une saison supplémentaire en cas de maintien en L1 : voilà ce qu’avait initialement proposé Nantes au domicile de Barthez. Ce dernier, certes désireux de retrouver les pelouses de L1 mais pas dans n’importe quelle condition, préférait lui la possibilité de prolonger pour deux années de plus si maintien il y a. Finalement, un compromis aurait été trouvé. Et si le champion du monde et d’Europe n’a pas eu gain de cause au niveau de la durée de son engagement, il aurait été largement « dédommagé » financièrement. En signant dans la journée son retour aux affaires, Barthez pourrait en effet toucher deux millions d’euros. Prime de signature, de maintien et les six mois de salaire confondus.

     

    Hasard du calendrier ou pied de nez au destin, le probable futur successeur de Landreau dans le cœur des supporters nantais devrait faire ses débuts sous le maillot canari à... Toulouse. « Chez » le président Sadran. Lui qui avait refusé de répondre positivement à l’appel du pied durant l’intersaison d’un Barthez tellement tenté par une dernière tournée d’adieu au Téfécé. « Son truc, c'est de débuter à Toulouse, histoire de faire un pied de nez à Sadran, avoue un proche du joueur dans les colonnes de Ouest-France. C'est le genre de challenge qu'il aime. » Le 23 décembre au Stadium, le nouveau portier nantais devrait donc avoir de quoi s’offrir un magnifique cadeau de Noël sur des terres qu’il aime tant (Ndlr : Barthez réside toujours à Toulouse). En attendant, on continue de se pincer pour être bien sûr que l’on ne rêve pas. Mais non : Fabien Barthez va bel et bien faire son retour.

  2. Le FC Nantes aurait proposé un contrat à Fabien Barthez

    mer 13 déc, 09h21

     

    NANTES (AFP) - Le FC Nantes (L1) aurait proposé un contrat de six mois avec deux ans en option en cas de maintien au gardien Fabien Barthez, à la retraite depuis la finale de la Coupe du monde de football, indique mardi la radio France Inter.

     

    De même source, les avocats du joueur, qui a repris l'entraînement à Blagnac depuis plusieurs jours, étudieront à partir de mercredi le contrat.

     

    Lundi, Georges Eo, l'entraîneur nantais, avait reconnu que le club était en contact avec l'ex-gardien des Bleus.

     

    Annoncé partant, le gardien serbe des Canaris Vladimir Stojkovic, arrivé cet été, a fait savoir mardi qu'il voulait finir la saison.

  3. Jour de deuil national en Hongrie pour les obsèques de Ferenc Puskas

    sam 09 déc, 23h30

     

    BUDAPEST (AFP) - La Hongrie a rendu un dernier hommage samedi à son citoyen le plus connu dans le monde, le footballeur Ferenc Puskas, mort le 17 novembre à l'âge de 79 ans, et sous la direction duquel la "Golden Team" avait dominé la scène mondiale dans les années 1950.

     

    Le drapeau national a été mis en berne dans la matinée devant le parlement à Budapest en présence du président Laszlo Solyom et du Premier ministre Ferenc Gyurcsany, premier acte solennel de cette journée décrétée journée de deuil national par le gouvernement.

     

    Par milliers, les Hongrois ont ensuite assisté dans l'après-midi au stade national de Budapest, rebaptisé "Stade Puskas" en 2002, à un service religieux spécial.

     

    Cependant, l'affluence n'a pas été aussi forte que l'espéraient les organisateurs qui tablaient sur 40.000 personnes. Un spectateur, Zsolt Vezer, s'est dit "furieux qu'il n'y ait pas eu plus de monde car Puskas était la fierté de notre pays".

     

    De nombreux hauts responsables du football international se sont rendus à Budapest pour ce dernier hommage, tel Joseph Blatter, président de la Fédération internationale de football (Fifa), Michel Platini, l'ancien grand meneur de jeu français et actuel candidat à la présidence de l'UEFA ou encore Franz Beckenbauer, ancien président du comité organisateur du Mondial 2006.

     

    Le Real Madrid, avec Raymond Kopa et Francisco Gento, et tous les clubs de première et deuxième division hongroises avaient envoyé des représentants.

     

    "Ferenc a marqué" son temps, "non seulement comme joueur mais aussi comme être humain. Merci la Hongrie, merci Pancho", a lancé Ramon Calderon, le président actuel du Real Madrid, devant l'assistance au stade Puskas, en rappelant le sobriquet du légendaire joueur en Espagne.

     

    Après le service religieux au stade portant son nom, le cercueil a été transporté en début de soirée par un attelage de six chevaux à travers les rues de la capitale, jusqu'à la basilique St Etienne.

     

    Le cortège s'est arrêté sur la Place des Héros pour un adieu militaire au "major galopant", depuis promu à titre posthume au rang de général de brigade.

     

    "Dans le monde entier, la première personne qui vient à l'esprit des gens quand on leur parle de la Hongrie, c'est Puskas, tout le monde prononce son nom avec un sourire, avec joie", a souligné le président Laszlo Solyom lors de la dernière messe avant que le joueur ne soit enterré dans la basilique.

     

    Légende du football hongrois, Ferenc Puskas, qui a passé les six dernières années de sa vie à l'hopital, souffrant de la maladie d'Alzheimer, avait aussi largement contribué aux succès du club espagnol du Real Madrid dans les années 1960.

     

    En 1952, la "Golden team", avec son capitaine Puskas, avait enlevé la médaille d'or olympique, puis avait terminé deuxième de la Coupe du monde de 1954, battue par l'Allemagne.

     

    L'équipe a notamment révélé ses talents en 1953 par une victoire étonnante, 6 à 3 contre l'Angleterre à Wembley, devenant ainsi la première formation du continent à battre l'Angleterre à domicile.

     

    Au Real Madrid de 1958 à 1967 et avant d'en devenir le capitaine, Puskas, a conduit le club à trois titres en Coupe d'Europe des clubs champions et à sept victoires dans le Championnat d'Espagne.

     

    Gaucher redoutable, Puskas a été l'un des meilleurs buteurs du monde, ayant marqué pour la Hongrie 83 buts au cours de 84 matches internationaux entre 1945 et 1956.

     

    Il avait émigré en Espagne après l'écrasement de l'insurrection hongroise d'octobre 1956 et était rentré en Hongrie en 1991, après la fin de l'ère communiste.

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